]> git.donarmstrong.com Git - lilypond.git/commitdiff
Doc-fr: updates to LM and NR
authorJean-Charles Malahieude <lilyfan@orange.fr>
Thu, 31 May 2012 17:21:24 +0000 (19:21 +0200)
committerJean-Charles Malahieude <lilyfan@orange.fr>
Thu, 31 May 2012 17:21:24 +0000 (19:21 +0200)
 - LR/tweaks
 - NR/changing-defaults
 - NR/fretted-strings
 - NR/rhythms

Documentation/fr/learning/tweaks.itely
Documentation/fr/notation/changing-defaults.itely
Documentation/fr/notation/fretted-strings.itely
Documentation/fr/notation/rhythms.itely

index 22f6020ab5978d13eb58239615785967ff513aa9..9e912c04609f27bba17ee587a40ed440c9138a64 100644 (file)
@@ -1,13 +1,13 @@
 @c -*- coding: utf-8; mode: texinfo; documentlanguage: fr -*-
 @ignore
-    Translation of GIT committish: 0f93dd92ffa0319328e58148458d22c5448b3d58
+    Translation of GIT committish: 2a87f1e1f98b76751482cae4474d41aa5e38e37b
 
     When revising a translation, copy the HEAD committish of the
     version that you are working on.  For details, see the Contributors'
     Guide, node Updating translation committishes..
 @end ignore
 
-@c \version "2.15.10"
+@c \version "2.15.39"
 
 @c Translators: Valentin Villenave, Nicolas Klutchnikoff, Damien Heurtebise
 @c Translation checkers: Jean-Charles Malahieude, John Mandereau
@@ -51,14 +51,14 @@ LilyPond regroupe sous le terme de @qq{retouches} (@emph{tweaks} en
 anglais) les différents moyens dont dispose l'utilisateur pour
 intervenir sur l'interprétation du fichier d'entrée et pour modifier
 l'apparence du fichier de sortie.  Certaines retouches sont très
-simples à mettre en œuvre@tie{}; d'autres sont plus complexes.  Mais
+simples à mettre en œuvre ; d'autres sont plus complexes.  Mais
 à elles toutes, elles permettent d'obtenir tout ce qu'on veut en matière
 de musique imprimée.
 
 Dans ce chapitre, nous traitons des concepts de base nécessaires
 pour comprendre l'art de la retouche.  Puis nous présentons de
 nombreuses commandes déjà prêtes, qu'il suffit de recopier pour
-obtenir un résultat identique dans vos partitions@tie{}; nous en
+obtenir un résultat identique dans vos partitions ; nous en
 profitons pour expliquer comment ces commandes ont été construites, si
 bien que vous pouvez apprendre par la même occasion à développer
 vos propres retouches.
@@ -98,7 +98,7 @@ nom et son armure, ainsi que le détail des graveurs qui ont été
 désignés pour fonctionner dans ce contexte de portée.
 Certains objets peuvent contenir les propriétés de tous les autres
 contextes, comme les objets @code{Voice}, les objets @code{Score},
-les objets @code{Lyrics}@tie{}; d'autres se rapportent à tous les
+les objets @code{Lyrics} ; d'autres se rapportent à tous les
 éléments de notation, comme les barres de mesure, les liaisons, les
 nuances, etc. Chaque objet dispose de son propre échantillon de valeurs
 pour le réglage des propriétés.
@@ -106,12 +106,12 @@ pour le réglage des propriétés.
 Certains types d'objet portent des noms spécifiques.  Les objets qui se
 rapportent à des éléments de notation sur le fichier de sortie, comme
 les notes, les hampes, les liaisons de phrasé ou de prolongation, les
-doigtés, les clefs, etc. sont appelés @qq{Objets de rendu}@tie{}; ils
+doigtés, les clefs, etc. sont appelés @qq{Objets de rendu} ; ils
 sont aussi connus sous le nom d'@qq{Objets graphiques} (en
-anglais@tie{}: @emph{Graphical objects} ou @emph{Grobs} pour faire
+anglais : @emph{Graphical objects} ou @emph{Grobs} pour faire
 court).  Ce sont bien des objets au sens générique ci-dessus et, en
 tant que tels, ils reçoivent des propriétés qui leur sont associées,
-comme leur position, leur taille, leur couleur, etc.
+comme leur position, leur taille, leur couleur etc.
 
 Certains objets de rendu, comme les liaisons de phrasé, les soufflets
 de crescendo, les marques d'octaviation et beaucoup d'autres
@@ -124,7 +124,7 @@ anglais).
 Il reste à expliquer ce que sont les @qq{interfaces}.  De nombreux
 objets, qui peuvent être très différents les uns des autres, ont pour
 point commun de devoir être compilés simultanément.  Par exemple, tous
-les @emph{grobs} ont une couleur, une taille, une position, etc., et
+les @emph{grobs} ont une couleur, une taille, une position etc., et
 toutes ces propriétés sont compilées simultanément durant
 l'interprétation du fichier d'entrée par LilyPond.  Pour alléger ces
 opérations internes, ces actions et propriétés communes sont regroupées
@@ -144,8 +144,8 @@ que nous serons amenés à utiliser dans ce chapitre.
 
 @cindex conventions de nommage des objets
 @cindex conventions de nommage des propriétés
-@cindex objets, conventions de nommage des
-@cindex propriétés, conventions de nommage des
+@cindex objets, conventions de nommage
+@cindex propriétés, conventions de nommage
 
 Nous avons eu un aperçu, dans @ref{Contextes et graveurs}, de
 la façon de nommer les objets.  Voici maintenant une liste de
@@ -216,7 +216,7 @@ précision quelle est la propriété à modifier, pour quel objet et dans
 quel  contexte, et quelle doit être sa nouvelle valeur.  Voyons de quoi
 il retourne.
 
-La syntaxe générale de cette commande est@tie{}:
+La syntaxe générale de cette commande est :
 
 @example
 \override @var{Contexte}.@var{ObjetDeRendu} #'@var{propriété-rendu} = #@var{valeur}
@@ -247,7 +247,7 @@ présents sous cette forme.  Voici la commande la plus fréquente
 pour faire des retouches, et pratiquement tout le reste de ce
 chapitre aura pour but montrer, à travers des exemples, comment
 l'utiliser.  L'exemple ci-dessous change la couleur des têtes de
-notes@tie{}:
+notes :
 
 @cindex couleur,exemple d'utilisation de la propriété
 @cindex NoteHead, exemple de dérogation
@@ -271,7 +271,7 @@ Une fois qu'elle a été modifiée, la propriété conserve sa nouvelle
 valeur jusqu'à ce qu'elle soit à nouveau modifiée ou qu'elle rencontre
 la commande @code{\revert}.  La commande @code{\revert} obéit à
 la syntaxe ci-dessous et ramène la valeur de la propriété à sa valeur
-d'origine.  Attention@tie{}: dans le cas où plusieurs @code{\override}
+d'origine.  Attention : dans le cas où plusieurs @code{\override}
 ont été employés, il ne s'agit pas de la valeur précédente mais bien de
 la valeur par défaut.
 
@@ -282,7 +282,7 @@ la valeur par défaut.
 Tout comme pour la commande @code{\override}, la mention du
 @var{Contexte} est souvent facultative.  Elle sera omise dans de
 nombreux exemples ci-dessous.  Voici un exemple qui ramène la
-couleur des deux dernières notes à leur valeur par défaut@tie{}:
+couleur des deux dernières notes à leur valeur par défaut :
 
 @cindex couleur,exemple d'utilisation de la propriété
 @cindex NoteHead, exemple de dérogation
@@ -309,7 +309,7 @@ l'instant musical en cours, avant que la propriété ne reprenne
 sa valeur antérieure -- qui n'est pas forcément la valeur par défaut
 lorsqu'un autre @code{\override} est toujours effectif.  Toujours à
 partir du même exemple, il est possible de ne changer la couleur que
-d'une seule note@tie{}:
+d'une seule note :
 
 @cindex couleur,exemple d'utilisation de la propriété
 @cindex NoteHead, exemple de dérogation
@@ -333,7 +333,7 @@ b c |
 
 Il existe une autre forme de commande @code{\override},
 @code{\overrideProperty}, qui est parfois utile.  Nous la mentionnons
-ici par souci d'exhaustivité@tie{}; pour le détail, voir
+ici par souci d'exhaustivité ; pour le détail, voir
 @rextend{Retouches complexes}.
 
 @c Maybe explain in a later iteration  -td
@@ -350,11 +350,11 @@ La dernière commande disponible pour les retouches est
 surviennent simultanément dans la musique, comme par exemple les
 notes d'un accord.  La commande @code{\override} modifierait toutes
 les notes de l'accord, tandis que @code{\tweak} permet de ne modifier
-que l'élément suivant dans la chaîne de saisie.
+que l'élément immédiatement suivant dans la chaîne de saisie.
 
 Voici un exemple.  Supposons que nous voulions changer la taille de
 la tête de note du milieu (le mi) dans un accord de do majeur.  Voyons
-d'abord ce que donnerait @code{\once \override}@tie{}:
+d'abord ce que donnerait @code{\once \override} :
 
 @cindex font-size, exemple d'utilisation de la propriété
 @cindex NoteHead, exemple de dérogation
@@ -366,27 +366,21 @@ d'abord ce que donnerait @code{\once \override}@tie{}:
 <c e g>4
 @end lilypond
 
-Nous voyons que @code{\override} modifie @emph{toutes} les têtes
+Nous voyons que @code{\override} modifie @strong{toutes} les têtes
 de notes de l'accord, car toutes les notes de l'accord surviennent au
-même @emph{instant musical} et que la fonction de @code{\once}
+même @strong{instant musical} et que la fonction de @code{\once}
 est de faire porter la modification sur tous les objets du type spécifié
 qui surviennent au même instant musical, comme le fait la commande
 @code{\override} elle-même.
 
 La commande @code{\tweak} opère différemment.  Elle agit
-sur l'élément immédiatement suivant dans la chaîne de saisie.  Elle ne
-fonctionne toutefois que sur des objets créés directement à partir de
-la chaîne de saisie, c'est-à-dire essentiellement des têtes de notes et
-des articulations@tie{}; des objets comme les hampes ou les
-altérations accidentelles sont créés ultérieurement et ne peuvent
-être retouchés de cette manière.  En outre, quand la retouche porte
-sur une tête de note, celle-ci @emph{doit} appartenir à un accord,
-c'est-à-dire être comprise à l'intérieur de chevrons gauche/droite.
-Pour retoucher une note isolée, il faut donc placer la commande
-@code{\tweak} avec la note à l'intérieur des chevrons gauche/droite.
+sur l'élément immédiatement suivant dans la chaîne de saisie.  Dans sa
+forme la plus simple, elle ne fonctionne que sur les objets créés
+directement à partir de l'élément suivant dans la chaîne de saisie,
+c'est-à-dire essentiellement des têtes de notes et des articulations.
 
 Pour reprendre notre exemple, la taille de la note du milieu d'un
-accord peut être modifiée de cette manière@tie{}:
+accord peut être modifiée de cette manière :
 
 @cindex font-size, exemple d'utilisation de la propriété
 @cindex @code{\tweak}, exemple
@@ -398,17 +392,18 @@ accord peut être modifiée de cette manière@tie{}:
 
 Vous noterez que la syntaxe de @code{\tweak} est différente de
 celle de la commande @code{\override}.  Ni le contexte,
-ni l'objet n'ont besoin d'être spécifiés@tie{}; au contraire, cela
+ni l'objet n'ont besoin d'être spécifiés ; au contraire, cela
 produirait une erreur si on le faisait.  Tous deux sont sous-entendus
-par l'élément suivant dans la chaîne de saisie.  La syntaxe générale
-de la commande @code{\tweak} est donc, tout simplement@tie{}:
+par l'élément suivant dans la chaîne de saisie.  Il n'est pareillement
+pas nécessaire d'insérer un signe égal.  La syntaxe générale
+de la commande @code{\tweak} est donc, tout simplement :
 
 @example
-\tweak #'@var{propriété-de-rendu} #@var{valeur}
+\tweak #'@var{propriété-de-rendu} #@var{valeur}
 @end example
 
 La commande @code{\tweak} est aussi utilisée quand on veut, dans
-une série d'articulations, n'en modifier qu'une seule.  Ainsi@tie{}:
+une série d'articulations, n'en modifier qu'une seule.  Ainsi :
 
 @cindex couleur, exemple d'utilisation de la propriété
 @cindex @code{\tweak}, exemple
@@ -420,8 +415,30 @@ a4^"Black"
 @end lilypond
 
 @noindent
-Attention@tie{}: la commande @code{\tweak} doit être précédée d'une
-marque d'articulation, comme si elle-même était une articulation.
+Attention : la commande @code{\tweak} doit être précédée d'une
+marque d'articulation, comme si elle-même était une articulation.  Dans
+la cas de multiples positionnements forcés (@code{^} ou @code{_}), celui
+le plus à gauche aura préséance puisqu'il sera appliqué en dernier.
+
+@cindex @code{\tweak} et altération
+@cindex @code{\tweak} et objet de rendu spécifique
+
+Les objets tels que hampes et altérations seront créés postérieurement à
+l'événement qui survient.  L'utilisation de la commande @code{\tweak}
+sur de tels objets indirectement créés peut se faire en nommant
+explicitement l'objet de rendu, si tant est que LilyPond puisse remonter
+jusqu'à l'événement originel :
+
+@lilypond[quote,fragment,ragged-right,verbatim,relative=2]
+<\tweak Accidental #'color #red   cis4
+ \tweak Accidental #'color #green es
+                                  g>
+@end lilypond
+
+Cette forme développée de la commande @code{\tweak} correspond à :
+@example
+\tweak @var{objet-de-rendu} #'@var{propriété-de-rendu} @var{valeur}
+@end example
 
 @cindex nolets imbriqués
 @cindex triolets imbriqués
@@ -435,7 +452,7 @@ Quand plusieurs nolets sont imbriqués et commencent au même instant
 musical, c'est encore la commande @code{\tweak} qui est utilisée pour
 changer l'apparence de l'un d'entre eux.  Dans l'exemple suivant, le
 long crochet de nolet et le premier des trois crochets courts commencent
-au même instant musical@tie{}; une commande @code{\override}
+au même instant musical ; une commande @code{\override}
 s'appliquerait donc à la fois aux deux.  En revanche, @code{\tweak}
 permet de les dissocier.  La première commande @code{\tweak} indique que
 le long crochet doit être placé au-dessus des notes, et la seconde
@@ -458,7 +475,7 @@ premier crochet de triolet court.
 
 Si les nolets imbriqués ne commencent pas au même moment,
 leur apparence peut alors être modifiée de la façon habituelle,
-avec la commande @code{\override}@tie{}:
+avec la commande @code{\override} :
 
 @cindex texte, exemple d'utilisation de la propriété
 @cindex tuplet-number, exemple de fonction
@@ -480,7 +497,6 @@ avec la commande @code{\override}@tie{}:
 }
 @end lilypond
 
-
 @seealso
 Manuel de notation :
 @ruser{La commande d'affinage (@emph{tweak})}.
@@ -511,21 +527,21 @@ Manuel de notation :
 
 Imaginons que votre partition contienne une liaison trop fine à votre
 goût et que vous vouliez la rendre plus épaisse.  Comment vous y
-prendre@tie{}?  Vous êtes convaincu, avec tout ce qui a été dit sur la
+prendre ?  Vous êtes convaincu, avec tout ce qui a été dit sur la
 souplesse de LilyPond, qu'une telle retouche est réalisable et
 vous vous dites qu'elle fera sans doute intervenir la commande
 @code{\override}.  Mais existe-t-il une propriété épaisseur qui
 s'applique à une liaison et, dans l'affirmative, comment faire pour la
-modifier@tie{}?  C'est là qu'intervient la Référence des propriétés
+modifier ?  C'est là qu'intervient la Référence des propriétés
 internes.  Elle contient toutes les informations dont vous avez besoin
 pour construire n'importe quelle commande @code{\override}.
 
 Avant de nous plonger dans la Référence des propriétés
 internes, un mot d'avertissement.  Il s'agit d'un document de
 @strong{références}, de sorte qu'il ne contient pas ou peu
-d'explications@tie{}: son but est de présenter les informations de
+d'explications : son but est de présenter les informations de
 façon précise et concise.  Cela peut paraître décourageant
-à première vue.  Pas d'inquiétude@tie{}!  Les conseils et les
+à première vue.  Pas d'inquiétude !  Les conseils et les
 explications fournis ici vous permettent de retrouver par vous-même les
 informations dans la Référence des propriétés internes.  Il
 suffit d'un peu de pratique.
@@ -535,7 +551,7 @@ suffit d'un peu de pratique.
 @cindex Références internes, exemple d'utilisation
 @cindex @code{\addlyrics} -- exemple
 
-Prenons un exemple concret tiré d'un morceau de musique connu@tie{}:
+Prenons un exemple concret tiré d'un morceau de musique connu :
 
 @c Mozart, Die Zauberflöte Nr.7 Duett
 
@@ -555,9 +571,9 @@ Prenons un exemple concret tiré d'un morceau de musique connu@tie{}:
 @end lilypond
 
 Admettons que nous voulions rendre les traits de liaison plus épais.
-Est-ce possible@tie{}?  Une liaison est assurément un objet de rendu, si
+Est-ce possible ?  Une liaison est assurément un objet de rendu, si
 bien que la question est @qq{Existe-t-il une propriété attachée aux
-liaisons et qui en contrôle l'épaisseur@tie{}?} Pour y répondre, nous
+liaisons et qui en contrôle l'épaisseur ?} Pour y répondre, nous
 consultons la Référence des propriétés internes (ou RPI pour faire
 court).
 
@@ -585,7 +601,7 @@ plus simple est de consulter la RPI.
 
 La page de la RPI sur les liaisons commence par préciser que les objets
 Liaison sont créés par le graveur Slur_engraver.  Vient ensuite la liste
-des réglages standard.  Attention@tie{}: ceux-ci @strong{ne suivent pas}
+des réglages standard.  Attention : ceux-ci @strong{ne suivent pas}
 l'ordre alphabétique.  Il faut donc les parcourir en entier pour trouver
 la propriété susceptible de contrôler l'épaisseur des traits de liaison.
 
@@ -612,7 +628,7 @@ Pour construire la commande @code{\override}, il suffit donc de
 remplacer les valeurs que nous avons trouvées en guise de noms, en
 laissant de côté le contexte.  Commençons par une valeur très élevée
 dans un premier temps, pour nous assurer que la commande fonctionne.
-Nous obtenons@tie{}:
+Nous obtenons :
 
 @example
 \override Slur #'thickness = #5.0
@@ -621,10 +637,10 @@ Nous obtenons@tie{}:
 N'oublions pas le @code{#'} qui doit précéder le nom de la propriété et
 le @code{#} qui doit précéder la nouvelle valeur.
 
-La dernière question est@tie{}: @qq{Où placer cette commande@tie{}?}
+La dernière question est : @qq{Où placer cette commande ?}
 Tant qu'on n'est pas sûr de soi, la meilleure réponse est @qq{À
 l'intérieur de l'expression musicale, avant la première liaison et
-proche d'elle.}  Essayons@tie{}:
+proche d'elle.}  Essayons :
 
 @cindex Slur, exemple de dérogation
 @cindex thickness, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -658,17 +674,18 @@ suivants sont là dans cette intention.
 
 
 @subheading Détermination du contexte adéquat
+@c VO Finding the context
 
 @cindex contexte, détermination du
 @cindex contexte, identification correcte du
 
 Tout d'abord, de quoi avions-nous besoin pour préciser le
-contexte@tie{}?  À quoi devait-il ressembler@tie{}?  Gageons que les
+contexte ?  À quoi devait-il ressembler ?  Gageons que les
 liaisons appartiennent au contexte Voix, dans la mesure où
 elles sont étroitement liées à une ligne mélodique, mais
-comment en être sûr@tie{}?  Pour répondre à cette question,
-revenons en haut de la page de la RPI consacrée aux liaisons@tie{};
-il est écrit@tie{}: @qq{Les objets Liaison sont créés par le graveur
+comment en être sûr ?  Pour répondre à cette question,
+revenons en haut de la page de la RPI consacrée aux liaisons ;
+il est écrit : @qq{Les objets Liaison sont créés par le graveur
 Slur_engraver}.  Ainsi les liaisons seront créées dans n'importe
 quel contexte où se trouve le @code{Slur_engraver}.  Suivons
 le lien vers la page @code{Slur_engraver}.  Tout en bas, on
@@ -681,6 +698,7 @@ en train de saisir des notes, on peut ici ne pas le mentionner.
 
 
 @subheading Redéfinition pour une seule occurrence
+@c VO Overriding once only
 
 @cindex dérogation pour une seule fois
 @cindex usage unique, dérogation à
@@ -690,14 +708,13 @@ en train de saisir des notes, on peut ici ne pas le mentionner.
 
 Dans le dernier exemple ci-dessus, @emph{toutes} les liaisons étaient
 plus épaisses.  Et si on veut épaissir uniquement la première
-liaison@tie{}?  On recourt alors à la commande @code{\once}.  Placée
+liaison ?  On recourt alors à la commande @code{\once}.  Placée
 juste avant la commande @code{\override}, elle lui indique de ne changer
 que la liaison commençant avec la note @strong{juste après}.  Si la note
 juste après n'ouvre pas une liaison, la commande sera sans aucun effet
 -- elle ne reste pas en mémoire jusqu'à la prochaine liaison, elle est
 purement et simplement ignorée.  Il faut donc que la commande introduite
-par @code{\once} soit insérée comme suit@tie{}:
-
+par @code{\once} soit insérée comme suit :
 
 @cindex Slur, exemple de dérogation
 @cindex thickness, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -730,6 +747,7 @@ La commande @code{\once} peut aussi être utilisée devant la commande
 
 
 @subheading Rétablissement
+@c VO Reverting
 
 @cindex revert
 @cindex rétablissement
@@ -740,15 +758,14 @@ La commande @code{\once} peut aussi être utilisée devant la commande
 @funindex revert
 
 Et si l'on voulait que les deux premières liaisons soient plus
-épaisses@tie{}?  On pourrait bien sûr utiliser deux commandes, chacune
+épaisses ?  On pourrait bien sûr utiliser deux commandes, chacune
 précédée de @code{\once}, et placées juste avant la note par laquelle
-débute la liaison@tie{}:
+débute la liaison :
 
 
-@cindex Slur, exemple de dérogation
+@cindex liaison, exemple de dérogation
 @cindex thickness, exemple d'utilisation de la propriété
-@cindex Liaison, exemple de dérogation
-@cindex Épaisseur, exemple d'utilisation de la propriété
+@cindex épaisseur, exemple d'utilisation
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 {
@@ -773,12 +790,12 @@ débute la liaison@tie{}:
 @noindent
 mais on peut aussi, au lieu de la commande @code{\once}, utiliser après
 la seconde liaison la commande @code{\revert}, qui ramène la propriété
-@code{thickness} à sa valeur par défaut@tie{}:
+@code{thickness} à sa valeur par défaut :
 
 @cindex Slur, exemple de dérogation
 @cindex thickness, exemple d'utilisation de la propriété
-@cindex Liaison, exemple de dérogation
-@cindex Ã\89paisseur, exemple d'utilisation de la propriété
+@cindex liaison, exemple de dérogation
+@cindex Ã©paisseur, exemple d'utilisation
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 {
@@ -808,7 +825,7 @@ défaut.
 
 Ici s'achève notre introduction à la RPI et aux retouches
 simples.  Vous trouverez d'autres exemples dans les prochaines
-sections de ce chapitre@tie{}; ils vous permettront, d'une part,
+sections de ce chapitre ; ils vous permettront, d'une part,
 d'apprendre à connaître un peu mieux la RPI et, d'autre part, de
 vous entraîner un peu plus à y chercher les informations.  Ces
 exemples seront progressivement accompagnés d'explications et
@@ -825,7 +842,7 @@ introduiront des termes nouveaux.
 
 Supposons maintenant que nous voulions imprimer des paroles en italique.
 Quelle formulation de la commande @code{\override} allons-nous
-utiliser@tie{}?  Nous consultons en premier lieu, comme précédemment, la
+utiliser ?  Nous consultons en premier lieu, comme précédemment, la
 page de la RPI qui contient la liste @qq{Tous les objets de rendu}, et
 recherchons un objet qui contrôle les paroles.  Nous trouvons
 @code{LyricText}, qui semble approprié.  Nous cliquons dessus et nous
@@ -855,10 +872,10 @@ contrôlent les polices de caractères, et notamment
 
 Vous remarquerez que @code{font-series} et @code{font-size} figurent
 aussi dans la liste.  La question qui ne manque pas de se poser
-est@tie{}: @qq{Comment se fait-il que les propriétés @code{font-series}
+est : @qq{Comment se fait-il que les propriétés @code{font-series}
 et @code{font-size} se retrouvent à la fois dans @code{LyricText} et
 dans l'interface @code{font-interface} alors que ce n'est pas le cas
-pour @code{font-shape}@tie{}?}  La réponse est que lorsqu'un objet
+pour @code{font-shape} ?}  La réponse est que lorsqu'un objet
 @code{LyricText} est créé, les valeurs globales par défaut de
 @code{font-series} et @code{font-size} sont modifiées, mais pas celles
 de @code{font-shape}.  Les possibilités de modification dans
@@ -882,12 +899,12 @@ interprétés comme tels par LilyPond.  Certains symboles peuvent être des
 noms de propriété, comme @code{thickness} ou @code{font-shape},
 d'autres sont des valeurs à attribuer aux propriétés, comme
 @code{italic}.  À ne pas confondre avec les chaînes de caractères
-libres, qui se présentent comme @code{"un texte libre"}@tie{}; pour plus
+libres, qui se présentent comme @code{"un texte libre"} ; pour plus
 de détails sur les symboles et les chaînes de caractères, voir le
 @rextend{Tutoriel Scheme}.
 
 Ainsi, la commande @code{\override} pour mettre les paroles en italique
-est@tie{}:
+est :
 
 @example
 \override LyricText #'font-shape = #'italic
@@ -895,7 +912,7 @@ est@tie{}:
 
 @noindent
 et doit être placée juste devant et tout près des paroles à modifier,
-comme ceci@tie{}:
+comme ceci :
 
 @cindex font-shape, exemple d'utilisation de la propriété
 @cindex italic, exemple
@@ -923,6 +940,7 @@ et voilà les paroles en italiques.
 
 
 @subheading Spécification du contexte en mode lyrique
+@c VO Specifying the context in lyric mode
 
 @cindex contexte, spécification en mode lyrique
 @cindex mode lyrique, spécification de contexte en
@@ -937,7 +955,7 @@ il faut une espace ou un saut de ligne avant le @code{@}} final, pour
 insérer des espaces de part et d'autre du point, @qq{.}, qui sépare le
 nom de contexte du nom de l'objet, faute de quoi les deux noms seront
 joints et l'interpréteur ne pourra pas les reconnaître.  La formulation
-correcte est donc@tie{}:
+correcte est donc :
 
 @example
 \override Lyrics . LyricText #'font-shape = #'italic
@@ -960,7 +978,7 @@ Manuel d'extension :
 
 @cindex propriété, types de
 
-Nous avons vu jusqu'à maintenant deux types de propriétés@tie{}:
+Nous avons vu jusqu'à maintenant deux types de propriétés :
 @code{nombre} et @code{symbole}.  Pour pouvoir fonctionner, la valeur
 associée à une propriété doit correspondre au type attendu et suivre les
 règles liées à ce type.  Le type de propriété est toujours donné entre
@@ -1019,7 +1037,6 @@ précédés par apostrophe-hash, @code{'#}
   @tab @code{'#(#t #t #f)}
 @end multitable
 
-
 @seealso
 Manuel d'extension :
 @rextend{Tutoriel Scheme}.
@@ -1030,7 +1047,7 @@ Manuel d'extension :
 @translationof Appearance of objects
 
 Il est temps de mettre en pratique les notions apprises précédemment
-pour modifier l'allure de la partition@tie{}; les exemples qui suivent
+pour modifier l'allure de la partition ; les exemples qui suivent
 montrent l'utilisation des différentes méthodes de retouche.
 
 @menu
@@ -1049,7 +1066,7 @@ d'une partition, que les élèves doivent ensuite compléter.  Imaginons,
 par exemple, un exercice dans lequel il faudrait rétablir les barres de
 mesure dans un morceau de musique.  En temps normal, les barres de
 mesure s'insèrent automatiquement.  Comment faire pour les effacer de la
-partition@tie{}?
+partition ?
 
 Avant de nous y attaquer, souvenons-nous que les propriétés d'objets
 sont parfois groupées dans ce qu'on appelle des @emph{interfaces} --
@@ -1060,7 +1077,7 @@ objet, elle s'appliquera à tous les autres.  Certains objets tirent
 alors leurs propriétés de telle ou telle interface, d'autres objets de
 telle ou telle autre interface.  La liste des interfaces qui contiennent
 les propriétés liées à un objet graphique (@emph{grob}) figure dans la
-RPI, en bas de la page de description du @emph{grob}@tie{}; pour voir
+RPI, en bas de la page de description du @emph{grob} ; pour voir
 ces propriétés, il faut aller voir ces interfaces.
 
 Nous avons vu, dans @ref{Propriétés des objets de rendu}, comment
@@ -1069,7 +1086,7 @@ même manière et consultons la RPI pour connaître l'objet chargé
 d'imprimer les barres de mesure.  En cliquant sur @emph{Backend} puis
 sur @emph{Tous les objets de rendu}, nous trouvons un objet appelé
 @code{BarLine}.  Parmi ses propriétés, deux d'entre elles déterminent
-son aspect visuel@tie{}: @code{break-visibility} et @code{stencil}.
+son aspect visuel : @code{break-visibility} et @code{stencil}.
 L'objet @code{BarLine} est également lié à plusieurs interfaces, dont la
 @code{grob-interface} où figurent les propriétés @code{transparent} et
 @code{color}.  Toutes peuvent modifier l'aspect visuel des barres de
@@ -1080,12 +1097,13 @@ d'elles tour à tour.
 @subheading stencil
 
 @cindex stencil, propriété
+@c VO stencil
 
 Cette propriété contrôle l'apparence des barres de mesure en précisant
 le type de symbole (glyphe) à imprimer.  Comme pour de nombreuses
 autres propriétés, on peut lui indiquer de ne rien imprimer en lui
 attribuant la valeur @code{#f}.  Essayons en laissant de côté, une fois
-encore, le contexte concerné (@code{Voice} en l'occurrence)@tie{}:
+encore, le contexte concerné (@code{Voice} en l'occurrence) :
 
 @cindex BarLine, exemple de dérogation
 @cindex stencil, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -1100,10 +1118,10 @@ encore, le contexte concerné (@code{Voice} en l'occurrence)@tie{}:
 }
 @end lilypond
 
-Les barres de mesure sont encore là@tie{}!  Pourquoi@tie{}?  Retournons
+Les barres de mesure sont encore là !  Pourquoi ?  Retournons
 à la RPI et regardons de nouveau la page qui traite des propriétés de
-BarLine.  En haut de la page, il est précisé que @qq{Les objets BarLine
-sont créés par le graveur Bar_engraver}.  Allons à la page de
+@code{BarLine}.  En haut de la page, il est précisé que @qq{Les objets
+BarLine sont créés par le graveur Bar_engraver}.  Allons à la page de
 @code{Bar_engraver}.  Tout en bas se trouve la liste des contextes dans
 lesquels fonctionne ce graveur.  Tous sont du type @code{Staff}, de
 sorte que, si la commande @code{\override} n'a pas fonctionné comme
@@ -1111,7 +1129,7 @@ prévu, c'est parce que @code{Barline} n'appartient pas au contexte par
 défaut, @code{Voice}.  Si le contexte spécifié est erroné, la commande
 ne fonctionne pas.  Cela n'entraîne pas de message d'erreur, et rien
 n'apparaît dans le fichier log.  Essayons de corriger en mentionnant le
-bon contexte@tie{}:
+bon contexte :
 
 @cindex BarLine, exemple de dérogation
 @cindex stencil, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -1134,7 +1152,7 @@ doit d'avoir des dimensions pour les nécessités du traitement.  Ce sera
 le cas, par exemple, si vous effacez le @code{stencil} d'un objet
 @code{NoteHead}.  Il vaut mieux, en pareil cas, utiliser la fonction
 @code{point-stencil} qui, quant à elle, attribue à l'objet une taille à
-zero@tie{}:
+zero :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 {
@@ -1146,6 +1164,7 @@ zero@tie{}:
 
 
 @subheading visibilité des barres (break-visibility)
+@c VO break-visibility
 
 @cindex break-visibility, propriété
 
@@ -1155,7 +1174,7 @@ booléens.  Ceux-ci indiquent respectivement si les barres de mesure
 doivent être imprimées ou non à la fin de la ligne, à l'intérieur de la
 ligne et au début de la ligne.  Dans notre cas, nous voulons que toutes
 les barres soient supprimées, si bien que la valeur dont nous avons
-besoin est @code{'#(#f@tie{}#f@tie{}#f)}.  Essayons, sans oublier
+besoin est @code{'#(#f #f #f)}.  Essayons, sans oublier
 d'ajouter le contexte @code{Staff}.  Vous remarquerez que, en plus de
 cette valeur, nous ajoutons @code{#'#} devant la parenthèse ouvrante.
 Le @code{'#} est nécessaire car il fait partie intégrante de la valeur
@@ -1180,6 +1199,7 @@ de mesure.
 
 
 @subheading transparence
+@c VO transparent
 
 @cindex transparent, propriété
 @cindex transparence
@@ -1195,7 +1215,7 @@ cherchons les propriétés de l'objet @code{TimeSignature}.  Celui-ci est
 géré par le graveur @code{Time_signature_engraver} qui, comme vous
 pouvez le constater, appartient au contexte @code{Staff} et peut se
 rattacher à la @code{grob-interface}.  Dans ces conditions, la commande
-pour rendre la métrique transparente est@tie{}:
+pour rendre la métrique transparente est :
 
 @cindex TimeSignature, exemple de dérogation
 @cindex transparent, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -1215,7 +1235,7 @@ La métrique a bien disparu mais la commande a laissé un blanc en lieu et
 place du chiffrage.  Ce peut être souhaitable dans le cadre d'un
 exercice, afin que les élèves aient la place pour compléter, mais dans
 d'autres circonstances, ce peut être gênant.  Pour y remédier,
-attribuons plutôt au stencil des métriques la valeur @code{#f}@tie{}:
+attribuons plutôt au stencil des métriques la valeur @code{#f} :
 
 @cindex TimeSignature, exemple de dérogation
 @cindex stencil, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -1231,12 +1251,13 @@ attribuons plutôt au stencil des métriques la valeur @code{#f}@tie{}:
 @end lilypond
 
 @noindent
-La différence est flagrante@tie{}: le fait d'attribuer au stencil la
+La différence est flagrante : le fait d'attribuer au stencil la
 valeur @code{#f} supprime totalement l'objet, tandis que le fait de le
 rendre @code{transparent} le laisse en place, mais de façon invisible.
 
 
 @subheading couleur
+@c VO color
 
 @cindex color, propriété
 
@@ -1252,11 +1273,11 @@ couleurs.
 
 La @code{grob-interface} indique que la valeur de la propriété
 @code{color} est une liste, sans plus d'explication.  En fait, cette
-liste est une liste de valeurs en unités internes@tie{}; pour éviter
+liste est une liste de valeurs en unités internes ; pour éviter
 d'avoir à chercher ce qu'il faut y mettre, il existe différents moyens
 d'indiquer la couleur.  Le premier moyen consiste à utiliser l'une des
 couleurs @emph{normales} de la première @ruser{Liste des couleurs}.
-Pour mettre les barres de mesure en blanc, on écrit@tie{}:
+Pour mettre les barres de mesure en blanc, on écrit :
 
 @cindex BarLine, exemple de dérogation
 @cindex color, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -1273,7 +1294,7 @@ Pour mettre les barres de mesure en blanc, on écrit@tie{}:
 
 @noindent
 et nous constatons que les barres de mesure sont une fois de plus
-invisibles.  Attention@tie{}: aucune apostrophe ne précède @code{white}
+invisibles.  Attention : aucune apostrophe ne précède @code{white}
 -- il ne s'agit pas d'un symbole mais d'une @strong{fonction}.  Quand on
 l'invoque, elle fournit une liste de valeurs internes requises pour
 changer la couleur en blanc.  Les autres couleurs aussi, dans la
@@ -1290,7 +1311,7 @@ Le deuxième moyen de changer la couleur consiste à utiliser la deuxième
 @ruser{Liste des couleurs}, dite noms de couleurs X11.  Ceux-ci doivent
 obligatoirement être précédés d'une autre fonction, qui convertit les
 noms de couleurs X11 en une liste de valeurs internes, @code{x11-color},
-comme ceci@tie{}:
+comme ceci :
 
 @cindex BarLine, exemple de dérogation
 @cindex color, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -1307,7 +1328,7 @@ comme ceci@tie{}:
 
 @noindent
 Vous noterez que, dans ce cas, la fonction @code{x11-color} admet un
-symbole comme argument@tie{}; il faut donc placer une apostrophe devant
+symbole comme argument ; il faut donc placer une apostrophe devant
 le symbole et insérer les deux à l'intérieur de parenthèses.
 
 @cindex rgb, couleur
@@ -1320,8 +1341,8 @@ en couleurs internes -- la fonction @code{rgb-color}.  Elle comporte
 trois arguments, donnant respectivement l'intensité du rouge, du vert et
 du bleu.  Ces arguments prennent des valeurs comprises entre 0 et 1.
 Ainsi, pour choisir la couleur rouge, la valeur serait
-@code{(rgb-color 1 0 0)}@tie{}; pour le blanc, ce serait
-@code{(rgb-color 1 1 1)}@tie{}:
+@code{(rgb-color 1 0 0)} ; pour le blanc, ce serait
+@code{(rgb-color 1 1 1)} :
 
 @cindex BarLine, exemple de dérogation
 @cindex color, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -1339,7 +1360,7 @@ Ainsi, pour choisir la couleur rouge, la valeur serait
 Enfin, il existe une échelle de gris parmi les possibilités de couleurs
 X11.  Elle va du noir (@code{'grey0}) au blanc (@code{'grey100}), avec
 un pas de 1.  Essayons de l'utiliser en attribuant à tous les objets de
-notre exemple différentes nuances de gris@tie{}:
+notre exemple différentes nuances de gris :
 
 @cindex StaffSymbol, exemple de dérogation
 @cindex TimeSignature, exemple de dérogation
@@ -1370,7 +1391,7 @@ Vous remarquerez le contexte associé à chacun des objets.  Une erreur
 sur ce point empêcherait la commande de fonctionner.  Souvenez-vous que
 le contexte est celui dans lequel est placé le graveur approprié.  Pour
 chaque graveur, on peut trouver son contexte par défaut en partant de
-l'objet lui-même, puis en cherchant le graveur qui le produit@tie{}; la
+l'objet lui-même, puis en cherchant le graveur qui le produit ; la
 page du graveur dans la RPI nous indique alors le contexte dans lequel
 le graveur se trouve normalement.
 
@@ -1410,7 +1431,7 @@ nouvelle portée temporaire, du type @rglos{ossia}.
 Normalement, les ossias ne comportent ni clef ni indication de mesure,
 et elles sont imprimées légèrement plus petit que la portée principale.
 Nous avons déjà appris à enlever la clef et la métrique -- il suffit de
-régler le stencil de chacun sur @code{#f}, comme ceci@tie{}:
+régler le stencil de chacun sur @code{#f}, comme ceci :
 
 @cindex alignAboveContext, exemple d'utilisation de la propriété
 @cindex @code{\with}, exemple
@@ -1447,7 +1468,7 @@ d'ossia.
 
 Mais alors, quelle différence y a-t-il à modifier le contexte de portée
 au moyen de @code{\with} ou à modifier les stencils de la clef et de la
-métrique  avec @code{\override}@tie{}?  La principale différence est que
+métrique  avec @code{\override} ?  La principale différence est que
 les changements opérés dans une clause @code{\with} sont réalisés au
 moment où le contexte est créé et restent par la suite les valeurs
 @strong{par défaut} aussi longtemps que ce contexte existe, tandis que
@@ -1473,7 +1494,7 @@ puisqu'il ne fait pas de doute qu'il s'agit du contexte en cours de
 modification par la clause @code{\with}.  Il se produirait même une
 erreur si le contexte était précisé.
 
-Remplaçons donc l'exemple ci-dessus par celui-ci@tie{}:
+Remplaçons donc l'exemple ci-dessus par celui-ci :
 
 @cindex alignAboveContext, exemple d'utilisation de la propriété
 @cindex @code{\with}, exemple
@@ -1520,7 +1541,7 @@ modifiées de façon particulière.
 Si l'on revient à l'exemple d'ossia, commençons par changer la taille de
 police.  Nous pouvons employer deux méthodes.  Soit nous changeons la
 taille de police de chaque type d'objet avec des commandes comme
-celle-ci pour les têtes de notes (@code{NoteHead})@tie{}:
+celle-ci pour les têtes de notes (@code{NoteHead}) :
 
 @example
 \override NoteHead #'font-size = #-2
@@ -1536,7 +1557,7 @@ dans une clause @code{\with} (mais alors sans le @code{\set}).
 
 Chacune de ces méthodes réduira la taille de police de deux points par
 rapport à sa valeur précédente, sachant que chaque point réduit ou
-augmente la taille d'environ 12@tie{}%.
+augmente la taille d'environ 12 %.
 
 Essayons sur l'exemple d'ossia :
 
@@ -1594,18 +1615,18 @@ Les propriétés d'épaisseur (@code{thickness}), quant à elles, sont
 généralement mesurées en unités d'une propriété interne appelée
 @qq{épaisseur de ligne} (@code{line-thickness}).  Par exemple, les
 lignes de crescendo/decrescendo présentent par défaut une épaisseur de
-1@tie{}unité de @code{line-thickness}, alors que l'épaisseur d'une hampe
-est de 1,3.  Toutefois, certaines propriétés d'épaisseur sont
-différentes@tie{}: par exemple, l'épaisseur des ligature --
+1 unité de @code{line-thickness}, alors que l'épaisseur d'une hampe
+est de 1,3.  Toutefois, certaines propriétés d'épaisseur sont
+différentes : par exemple, l'épaisseur des ligature --
 @code{beam-thickness} -- se mesure en espaces de portée.
 
 Dans ces conditions, comment ajuster les longueurs à la taille des
-polices de caractères@tie{}?  La solution consiste à utiliser une
+polices de caractères ?  La solution consiste à utiliser une
 fonction spéciale appelée @code{magstep} -- pseudo facteur de zoom --,
 créée précisément dans ce but.  Elle comporte un argument, le changement
 de taille de police (#-2 dans l'exemple précédent), à partir duquel elle
 applique un facteur de mise à l'échelle qui réduit, ou augmente, les
-objets en question.  Voici comment elle s'utilise@tie{}:
+objets en question.  Voici comment elle s'utilise :
 
 @cindex alignAboveContext, exemple d'utilisation de la propriété
 @cindex @code{\with}, exemple
@@ -1708,7 +1729,7 @@ LilyPond, la règle est de placer verticalement ces objets extérieurs à
 la portée le plus près possible de la portée, tout en évitant la
 collision avec d'autres objets.  LilyPond utilise la propriété
 @code{outside-staff-priority} pour déterminer l'ordre selon lequel
-placer ces objets, de la manière suivante@tie{}:
+placer ces objets, de la manière suivante :
 
 D'abord, LilyPond dresse la liste de tous les objets extérieurs à la
 portée.  Puis ceux-ci sont classés suivant leur
@@ -1771,7 +1792,7 @@ nombre de commandes déjà prêtes qui évitent, pour les modifications les
 plus courantes, d'avoir à encoder les retouches.
 
 Certains objets comme les traits des liaisons se recourbent tantôt
-vers le haut, tantôt vers le bas@tie{}; d'autres encore, comme les
+vers le haut, tantôt vers le bas ; d'autres encore, comme les
 hampes et les crochets, peuvent se décaler vers la gauche ou vers la
 droite selon qu'ils pointent vers le haut ou vers le bas.  Ce
 comportement est géré automatiquement dès lors que @code{direction} est
@@ -1784,7 +1805,7 @@ activé.
 
 L'exemple ci-dessous montre dans la première mesure le comportement par
 défaut des hampes -- celles des notes les plus hautes pointant vers le
-bas et celles des notes les plus basses pointant vers le haut@tie{};
+bas et celles des notes les plus basses pointant vers le haut ;
 viennent ensuite quatre notes avec les hampes forcées vers le bas, puis
 quatre autres avec les hampes forcées vers le haut, et pour finir quatre
 notes de nouveau avec le comportement par défaut.
@@ -1807,8 +1828,8 @@ correspondent respectivement aux valeurs @code{-1} et @code{+1},
 que l'on peut utiliser à la place.  La valeur @code{0} peut aussi être
 utilisée dans certains cas.  Elle est interprétée comme un @code{UP}
 pour les hampes, et comme un @qq{centré} pour d'autres objets.  Il
-existe une direction, @code{CENTER}, qui correspond à la valeur
-@code{0}.
+existe une direction, @code{CENTER}, qui correspond à la
+valeur @code{0}.
 
 Quoi qu'il en soit, ces retouches manuelles sont rarement utilisées car
 il existe des équivalents sous forme de commandes prédéfinies.  Voici un
@@ -1835,7 +1856,7 @@ signification est précisée.
 @item @code{\phrasingSlurDown}
   @tab @code{\phrasingSlurUp}
   @tab @code{\phrasingSlurNeutral}
-  @tab Attention@tie{}: à distinguer des commandes de liaison ci-dessous
+  @tab Attention : à distinguer des commandes de liaison ci-dessous
 @item @code{\slurDown}
   @tab @code{\slurUp}
   @tab @code{\slurNeutral}
@@ -1858,14 +1879,15 @@ signification est précisée.
   @tab Les nolets sont au-dessous/au-dessus des notes
 @end multitable
 
-Attention : ces commandes prédéfinies @strong{ne doivent pas} être
+Attention : ces commandes prédéfinies @strong{ne doivent pas} être
 précédées de @code{\once}.  Pour limiter l'effet à une seule note, il
-faut soit utiliser la commande équivalente @code{\once \override}, soit
+faut soit utiliser la commande équivalente @code{\once \override}, soit
 utiliser la commande prédéfinie, suivie, après la note à modifier, de la
 commande @code{\xxxNeutral} correspondante.
 
 
-@subheading Doigtés
+@unnumberedsubsubsec Doigtés
+@c VO Fingering
 
 @cindex doigtés, positionnement
 @cindex doigtés, accords
@@ -1880,7 +1902,7 @@ au-dessus, en dessous, à gauche ou à droite de chaque note.
 Tout d'abord, voici l'effet de @code{direction} sur le doigté lié à une
 note simple.  La première mesure montre le comportement par défaut, et
 les deux suivantes montrent l'effet lorsqu'on indique @code{DOWN} et
-@code{UP}@tie{}:
+@code{UP} :
 
 @cindex doigtés, exemple de dérogation
 @cindex direction, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -1895,9 +1917,9 @@ c4-5 a-3 f-1 c'-5 |
 
 Le fait d'intervenir sur la propriété @code{direction} n'est sûrement
 pas la façon la plus simple de placer manuellement les doigtés au-dessus
-ou en dessous des notes@tie{}; mieux vaut utiliser @code{_} ou @code{^}
+ou en dessous des notes ; mieux vaut utiliser @code{_} ou @code{^}
 devant le chiffre de doigté plutôt que @code{-}.  Voici ce que donne
-l'exemple précédent avec cette méthode@tie{}:
+l'exemple précédent avec cette méthode :
 
 @cindex doigtés, exemple
 
@@ -1910,7 +1932,7 @@ c4^5 a^3 f^1 c'^5 |
 La propriété @code{direction} ne fonctionne pas pour les accords alors
 que les préfixes de direction, @code{_} et @code{^}, fonctionnent.  Par
 défaut, le doigté est placé automatiquement à la fois au-dessus et
-au-dessous des notes d'un accord, comme ceci@tie{}:
+au-dessous des notes d'un accord, comme ceci :
 
 @cindex doigtés, exemple
 
@@ -1922,7 +1944,7 @@ au-dessous des notes d'un accord, comme ceci@tie{}:
 
 @noindent
 mais il est possible de forcer manuellement vers le haut ou vers le bas
-le placement de tous ou certains chiffres de doigté, comme ceci@tie{}:
+le placement de tous ou certains chiffres de doigté, comme ceci :
 
 @cindex doigtés, exemple
 
@@ -1934,8 +1956,8 @@ le placement de tous ou certains chiffres de doigté, comme ceci@tie{}:
 
 On peut aller encore plus loin dans le positionnement des doigtés pour
 chacune des notes d'un accord grâce à la commande
-@code{\set@tie{}fingeringOrientations}.  La syntaxe de cette commande
-est@tie{}:
+@code{\set fingeringOrientations}.  La syntaxe de cette commande
+est :
 
 @example
 @code{\set fingeringOrientations = #'([up] [left/right] [down])}
@@ -1989,7 +2011,7 @@ Voici quelques exemples :
 Si les indications de doigtés paraissent un peu serrées, on peut
 toujours réduire la taille de police (@code{font-size}).  La valeur
 par défaut donnée dans la RPI à la page de l'objet
-@code{Fingering} étant @code{-5}, essayons @code{-7}@tie{}:
+@code{Fingering} étant @code{-5}, essayons @code{-7} :
 
 @lilypond[quote,fragment,ragged-right,verbatim,relative=1]
 \override Fingering #'font-size = #-7
@@ -2020,7 +2042,7 @@ Les objets extérieurs à la portée sont placés automatiquement de façon à
 propriété @code{outside-staff-priority} sont placés au plus près de la
 portée, tandis que les autres sont écartés autant qu'il faut pour éviter
 les collisions.  La @code{outside-staff-priority} est définie dans la
-@code{grob-interface}@tie{}; elle est donc une propriété commune à tous
+@code{grob-interface} ; elle est donc une propriété commune à tous
 les objets de rendu.  Par défaut, elle est réglée sur @code{#f} pour
 tous les objets de la portée, et porte une valeur numérique appropriée à
 chacun des objets extérieurs à la portée, à mesure qu'ils sont créés.
@@ -2029,6 +2051,7 @@ quelques-uns des objets extérieurs à la portée les plus courant.
 
 @cindex spanners
 @cindex bandeaux
+@cindex extenseurs
 
 Vous noterez au passage certaines particularités quant au nom des
 objets.  En effet, des objets à extension sont automatiquement créés
@@ -2037,7 +2060,7 @@ extrémités d'un @emph{grob} qui commencerait et se terminerait à des
 instants musicaux différents.  C'est la raison pour laquelle modifier le
 @code{outside-staff-priority} du @emph{grob} sous-jacent n'aura aucun
 effet.  C'est par exemple le cas lorsque vous modifiez l'alignement d'un
-objet @code{Hairpin} à l'aide de @code{outside-staff-priority}@tie{};
+objet @code{Hairpin} à l'aide de @code{outside-staff-priority} ;
 puisque le soufflet est associé à un objet @code{DynamicLineSpanner},
 c'est sur celui-ci que doit porter l'effet de
 @code{outside-staff-priority}.  L'instruction dérogatoire se place au
@@ -2120,7 +2143,7 @@ Cet exemple montre comment créer des extensions de texte (@emph{Text
 Spanners} en anglais) -- texte avec des longues lignes au-dessus d'un
 passage musical.  L'extension s'étend depuis la commande
 @code{\startTextSpan} jusqu'à la commande @code{\stopTextSpan} et le
-format de texte est défini par la commande @code{\override TextSpanner}.
+format de texte est défini par la commande @code{\override TextSpanner}.
 Pour de plus amples détails, voir
 @ruser{Indication textuelle avec extension}.
 
@@ -2141,7 +2164,7 @@ ce que nous devons faire, c'est regarder la priorité de
 @code{OttavaBracket} dans la Référence des propriétés internes ou dans
 le tableau plus haut, et la ramener à une valeur plus basse que celle de
 @code{TextSpanner}, en gardant à l'esprit que @code{OttavaBracket} est
-créé dans le contexte @code{Staff}@tie{}:
+créé dans le contexte @code{Staff} :
 
 @cindex TextSpanner, exemple de dérogation
 @cindex bound-details, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -2211,7 +2234,7 @@ placer @qq{Text3} au-dessus de @qq{Text4} dans l'exemple de la section
 @ref{Comportement automatique}, plus haut.  Il nous suffit pour cela de
 regarder dans la Référence des propriétés internes ou dans le tableau
 plus haut la priorité de @code{TextScript}, et d'augmenter la priorité
-de @qq{Text3} jusqu'à une valeur très haute@tie{}:
+de @qq{Text3} jusqu'à une valeur très haute :
 
 @cindex TextScript, exemple de dérogation
 @cindex outside-staff-priority, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -2247,7 +2270,7 @@ Par défaut, l'espacement horizontal d'un texte produit sous forme de
 où ce qui est concerné n'entre pas dans la musique.  La commande
 @code{\textLengthOn} inverse ce comportement, faisant en sorte que les
 notes soient espacées autant qu'il le faut pour s'adapter au
-texte@tie{}:
+texte :
 
 @lilypond[quote,fragment,ragged-right,verbatim,relative=2]
 \textLengthOn  % Cause notes to space out to accommodate text
@@ -2298,6 +2321,7 @@ c''2 |
 
 
 @subheading Nuances
+@c VO Dynamics
 
 @cindex modification du positionnement des nuances
 @cindex nuances, modification du positionnement
@@ -2307,7 +2331,7 @@ peut les placer au-dessus avec la commande @code{dynamicUp}.  Elles se
 positionnent verticalement par rapport à la note à laquelle elles sont
 liées et se décalent vers le bas (ou le haut) en fonction des objets de
 la portée comme les liaisons de phrasé ou les numéros de mesure.  Cela
-peut donner d'assez bons résultats, comme le montre cet exemple@tie{}:
+peut donner d'assez bons résultats, comme le montre cet exemple :
 
 @lilypond[quote,fragment,ragged-right,verbatim,relative=1]
 \clef "bass"
@@ -2322,7 +2346,7 @@ De toute façon, si les notes et les nuances qui leur sont liées sont
 trop proches, le positionnement automatique évitera les collisions en
 déplaçant davantage les nuances suivantes, mais le résultat peut ne
 pas être très satisfaisant, comme le montre cet exemple
-artificiel@tie{}:
+artificiel :
 
 @lilypond[quote,fragment,ragged-right,verbatim,relative=2]
 \dynamicUp
@@ -2340,6 +2364,7 @@ chercher à faire cela avec la commande @code{\override}.
 
 
 @subheading Dimensionnement des objets graphiques
+@c VO Grob sizing
 
 @cindex grob, dimensionnement
 @cindex dimensionnement des grobs
@@ -2363,18 +2388,18 @@ comme étant nulle, si bien qu'ils peuvent se chevaucher
 horizontalement.  Pour remédier à cela, on a ajouté l'infini à
 l'extension gauche et moins l'infini à l'extension droite, en
 attribuant à @code{extra-spacing-width} la valeur
-@code{'(+inf.0@tie{}.@tie{}-inf.0)}. Pour être sûr que les objets ne se
+@code{'(+inf.0 . -inf.0)}. Pour être sûr que les objets ne se
 chevaucheront pas horizontalement, nous devons donc corriger cette
 valeur de @code{extra-spacing-width} en @w{@code{'(0 . 0)}}, afin que
 leur vraie largeur se manifeste.  La commande pour y parvenir avec des
-indications de nuances est@tie{}:
+indications de nuances est :
 
 @example
 \override DynamicText #'extra-spacing-width = #'(0 . 0)
 @end example
 
 @noindent
-Voyons si ça marche sur notre exemple précédent@tie{}:
+Voyons si ça marche sur notre exemple précédent :
 
 @cindex DynamicText, exemple de dérogation
 @cindex extra-spacing-width, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -2393,8 +2418,8 @@ elles étaient toutes à la même distance de la portée.  Le
 premier problème est simple à résoudre.  Au lieu d'attribuer
 à @code{extra-spacing-width} la valeur zéro, nous pourrions
 mettre un peu plus.  L'unité est la distance entre deux lignes
-de portée, donc en écartant le bord gauche d'une demi-unité
-et le bord droit d'une demi-unité, on obtient@tie{}:
+de portée, donc en écartant le bord gauche d'une demiunité
+et le bord droit d'une demie unité, on obtient :
 
 @cindex DynamicText, exemple de dérogation
 @cindex extra-spacing-width, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -2410,7 +2435,7 @@ a4\f b\mf c\mp b\p
 C'est mieux mais nous voulons peut-être aligner les indications de
 nuance sur une même ligne plutôt que de les voir monter et
 descendre avec les notes.  La propriété qui gère cela est
-@code{staff-padding}@tie{}; la section suivante lui est consacrée.
+@code{staff-padding} ; la section suivante lui est consacrée.
 
 
 @node Collisions d'objets
@@ -2442,7 +2467,7 @@ d'esthétique -- ils rendraient mieux avec un peu plus ou un peu moins
 d'espace autour d'eux.
 
 Il y a trois façons de résoudre les problèmes de chevauchement.  Il est
-préférable de les aborder dans l'ordre suivant@tie{}:
+préférable de les aborder dans l'ordre suivant :
 
 @enumerate
 @item
@@ -2458,10 +2483,10 @@ qu'entre deux positions, sans personnalisation possible.
 @item
 Les @strong{propriétés d'objet}, auxquelles LilyPond a recours pour
 positionner les objets, sont modifiables avec @code{\override}.  Il y a
-deux avantages à changer ces propriétés@tie{}: (a) d'autres objets
+deux avantages à changer ces propriétés : (a) d'autres objets
 pourront être déplacés automatiquement si nécessaire pour faire de la
 place, et (b) la même retouche peut s'appliquer à toutes les occurrences
-du même type d'objet.  Ces propriétés sont@tie{}:
+du même type d'objet.  Ces propriétés sont :
 
 @itemize
 
@@ -2484,7 +2509,7 @@ Au moment de positionner un objet, la valeur de sa propriété
 @code{padding} détermine l'espace à laisser libre entre celui-ci et le
 coin le plus proche de l'objet à côté duquel il est placé.  Vous
 remarquerez que c'est la valeur @code{padding} de l'objet @strong{à
-placer} qui compte@tie{}; la valeur @code{padding} de l'objet déjà placé
+placer} qui compte ; la valeur @code{padding} de l'objet déjà placé
 est ignorée.  Les espaces libres déterminés par @code{padding}
 s'appliquent à tous les objets associés à la
 @code{side-position-interface}.
@@ -2501,21 +2526,21 @@ propriété @code{right-padding} de l'objet @code{AccidentalPlacement}
 joue sur le positionnement des altérations.
 
 La propriété @code{staff-padding} est très proche de la propriété
-@code{padding}@tie{}: @code{padding} contrôle l'espace minimum entre un
+@code{padding} : @code{padding} contrôle l'espace minimum entre un
 objet qui accepte la @code{side-position-interface} et l'objet le plus
-proche (généralement une note ou une ligne de portée)@tie{};
+proche (généralement une note ou une ligne de portée) ;
 @code{staff-padding} ne s'applique qu'aux objets qui sont toujours
-placés en-dehors de la portée -- il contrôle l'espace minimum à insérer
-entre l'objet et la portée.  Attention@tie{}: par défaut,
+placés au-dehors de la portée -- il contrôle l'espace minimum à insérer
+entre l'objet et la portée.  Attention : par défaut,
 @code{staff-padding} concerne les objets positionnés par rapport
 à la portée et n'a aucun effet sur les objets qui sont positionnés par
-rapport à une note@tie{}; il est toutefois possible de le régler pour
+rapport à une note ; il est toutefois possible de le régler pour
 fonctionner avec ces derniers.
 
 Pour trouver quelle propriété @code{padding} employer pour l'objet que
 vous cherchez à repositionner, il vous faut consulter les propriétés de
 l'objet dans la RPI.  Prenez garde que les propriétés @code{padding} ne
-sont pas forcément traitées dans l'objet en question@tie{}; il faut
+sont pas forcément traitées dans l'objet en question ; il faut
 alors regarder les objets qui semblent s'en rapprocher.
 
 Toutes les valeurs @code{padding} sont exprimées en espace de portée.
@@ -2558,7 +2583,7 @@ Cette propriété est utilisée pour tous les objets qui acceptent la
 ajouté au bord gauche et le second au bord droit.  Des nombres
 négatifs déplacent le coin vers la gauche, des nombres positifs
 vers la droite, si bien que pour élargir un objet, le premier nombre
-doit être négatif et le second positif.  Attention@tie{}: tous les
+doit être négatif et le second positif.  Attention : tous les
 objets n'acceptent pas forcément les deux nombres.  Par exemple, l'objet
 @code{Accidental} ne retient que le premier nombre (coin gauche).
 
@@ -2616,7 +2641,7 @@ objets, c'est à l'utilisateur de résoudre tous les problèmes de
 collision qui pourraient survenir.  Et le pire avec cette méthode est
 que, le jour où la musique est modifiée, il faut de nouveau rechercher
 les valeurs de repositionnement.  Les propriétés à utiliser pour ce type
-de repositionnement manuel sont@tie{}:
+de repositionnement manuel sont :
 
 
 @table @code
@@ -2685,6 +2710,7 @@ précédente peuvent nous aider à résoudre les collisions.
 
 
 @subheading la propriété padding
+@c VO padding property
 
 @cindex décalage (padding)
 @cindex résolution des chevauchements de notation
@@ -2729,7 +2755,8 @@ fait partie d'un ensemble d'objets positionnés en fonction de leur
 les autres objets du groupe.
 
 
-@subheading right-padding
+@subheading la propriété right-padding
+@c VO right-padding
 
 @cindex right-padding, propriété
 
@@ -2739,7 +2766,7 @@ souvent, mais l'espacement par défaut peut se révéler inadéquat avec
 certaines altérations ou certains glyphes utilisés en musique
 microtonale.  Le stencil de l'altération devra alors être construit sous
 la forme d'un @code{markup} qui contiendra le ou les symboles requis,
-comme ceci@tie{}:
+comme ceci :
 
 @cindex Accidental, exemple de dérogation
 @cindex text, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -2777,6 +2804,7 @@ note par la retouche de @code{right-padding}.
 
 
 @subheading la propriété staff-padding
+@c VO staff-padding property
 
 @cindex alignement d'objets sur une ligne de base
 @cindex objets, alignement sur une ligne de base
@@ -2790,7 +2818,7 @@ fictive est destinée à s'appliquer autant à @strong{toutes} les nuances,
 notamment celles qui sont créées comme des bandeaux en longueur (en
 anglais @emph{Spanners}).  Tel est donc le moyen d'aligner les
 indications de nuance, comme dans cet exemple repris de la section
-précédente@tie{}:
+précédente :
 
 @cindex DynamicText, exemple de dérogation
 @cindex extra-spacing-width, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -2808,10 +2836,11 @@ a4\f b\mf c\mp b\p
 
 
 @subheading la propriété self-alignment-X
+@c VO self-alignment-X property
 
 L'exemple suivant montre comment résoudre une collision entre une
 indication de corde et une hampe, en alignant le coin droit sur le point
-de référence de la note parente@tie{}:
+de référence de la note parente :
 
 @cindex StringNumber, exemple de dérogation
 @cindex self-alignment-X, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -2825,6 +2854,7 @@ de référence de la note parente@tie{}:
 
 
 @subheading la propriété staff-position
+@c VO staff-position property
 
 @cindex collision d'objets à l'intérieur d'une portée
 
@@ -2834,7 +2864,7 @@ barres de mesure, il serait très compliqué de programmer LilyPond pour
 repérer ces risques de collision dans la mesure où, normalement, toutes
 les collisions entre notes ou entre notes et silences se produisent sur
 des notes et silences simultanés. Voici un exemple de collision de ce
-type@tie{}:
+type :
 
 @lilypond[quote,verbatim,fragment,ragged-right, relative=1]
 << { c4 c c c } \\ { R1 } >>
@@ -2843,10 +2873,10 @@ type@tie{}:
 Ici, la meilleure solution consiste à déplacer le symbole de pause vers
 le bas -- puisque cette pause appartient à la voix deux.  Par défaut,
 dans la @code{\voiceTwo} (c'est-à-dire dans la seconde voix d'une
-construction @code{<<@{@dots{}@}@tie{}\\@tie{}@{@dots{}@}>>}), la
-propriété @code{staff-position} est réglée sur @code{-4} pour les
-@code{MultiMeasureRest}@tie{}; nous avons donc besoin de la déplacer,
-disons, de quatre demi-intervalles vers le bas, ce qui donne @code{-8}.
+construction @code{<<@{@dots{}@} \\ @{@dots{}@}>>}), la propriété
+@code{staff-position} est réglée sur @code{-4} pour les
+@code{MultiMeasureRest} ; nous avons donc besoin de la déplacer, disons,
+de quatre demi-intervalles vers le bas, ce qui donne @code{-8}.
 
 @cindex MultiMeasureRest, exemple de dérogation
 @cindex staff-position, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -2866,6 +2896,7 @@ automatiquement.
 
 
 @subheading la propriété extra-offset
+@c VO extra-offset property
 
 @cindex positionnement des objets
 @cindex positionnement des grobs
@@ -2878,7 +2909,7 @@ verticalement.
 
 Dans l'exemple suivant, la seconde indication de doigté est déplacée
 légèrement vers la gauche et de 1,8 intervalle de lignes vers le
-bas@tie{}:
+bas :
 
 @cindex Fingering, exemple de dérogation
 @cindex extra-offset, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -2892,6 +2923,7 @@ f4-5
 
 
 @subheading la propriété positions
+@c VO positions property
 
 @cindex contrôle des nolets, liaisons, phrasés et ligatures
 @cindex gestion manuelle des nolets, liaisons, phrasés et ligatures
@@ -2912,7 +2944,7 @@ r4 \acciaccatura e8\( d8 c~ c d c d\)
 
 @noindent
 Nous pourrions tout simplement déplacer la liaison de phrasé au-dessus
-des notes, et ce serait la meilleure solution@tie{}:
+des notes, et ce serait la meilleure solution :
 
 @lilypond[quote,verbatim,fragment,ragged-right,relative=1]
 r4
@@ -2937,7 +2969,7 @@ r4
 @end lilypond
 
 Voici un autre exemple. Comme nous pouvons le constater, les barres de
-ligature chevauchent les liaisons de tenue@tie{}:
+ligature chevauchent les liaisons de tenue :
 
 @lilypond[quote,verbatim,fragment,ragged-right]
 {
@@ -2958,7 +2990,7 @@ ligature chevauchent les liaisons de tenue@tie{}:
 @noindent
 On peut y remédier en déplaçant manuellement vers le haut les deux
 extrémités des ligatures de croches, non plus à 1,81 intervalle
-au-dessous de la ligne médiane mais, disons, à 1@tie{}:
+au-dessous de la ligne médiane mais, disons, à 1 :
 
 @cindex Beam, exemple de dérogation
 @cindex positions, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -2989,10 +3021,11 @@ second bloc de croches de la première voix mais qu'il ne s'applique
 
 
 @subheading la propriété force-hshift
+@c VO force-hshift property
 
-Maintenant, nous sommes prêts à appliquer les dernières corrections  à
+Maintenant, nous sommes prêts à appliquer les dernières corrections à
 l'exemple de Chopin présenté à la fin de @ref{J'entends des Voix}, que
-nous avions laissé dans cet état@tie{}:
+nous avions laissé dans cet état :
 
 @lilypond[quote,verbatim,fragment,ragged-right]
 \new Staff \relative c'' {
@@ -3011,7 +3044,7 @@ nous avions laissé dans cet état@tie{}:
 
 @noindent
 La note intermédiaire du premier accord, le la bémol à la quatrième
-voix, doit rester dans le même empilement avec la note haute.  Pour y
+voix, doit rester dans le même empilement que la note haute.  Pour y
 remédier, nous réglons le @code{force-hshift} -- qui est une propriété
 de @code{NoteColumn} -- de cette note sur zéro.
 
@@ -3060,14 +3093,14 @@ nombre de retouches jusqu'à l'obtention du résultat attendu.  Cet
 exemple a été choisi en raison des problèmes inhabituels de notation
 qu'il soulevait et pour vous apprendre à les résoudre grâce au Manuel de
 notation.  Il n'est pas représentatif d'une opération normale de
-gravure@tie{}; que ces difficultés ne vous découragent donc pas@tie{}!
+gravure ; que ces difficultés ne vous découragent donc pas !
 Des difficultés comme celles-ci ne sont, heureusement, pas
-courantes@tie{}!
+courantes !
 
-Cet exemple est tiré de la Première Ballade de Chopin, Op. 23, mesures
-6 à 9@tie{}; cela correspond à la transition entre le Lento d'ouverture
+Cet exemple est tiré de la Première Ballade de Chopin, Op. 23, mesures
+6 à 9 ; cela correspond à la transition entre le Lento d'ouverture
 et le Moderato.  Voici, pour commencer, ce à quoi nous voulons que la
-partition ressemble@tie{}; pour limiter les complications, nous n'avons
+partition ressemble ; pour limiter les complications, nous n'avons
 pas fait apparaître les indications de nuance, de doigté ni de pédale.
 
 
@@ -3103,8 +3136,8 @@ rhMusic = \relative c'' {
         % Stem on the d2 must be down to permit merging
         \stemDown
         % Stem on the d2 should be invisible
-        \once \override Stem #'transparent = ##t
-        \once \override Flag #'transparent = ##t
+        \tweak Stem #'transparent ##t
+        \tweak Flag #'transparent ##t
         d2
       }
       \new Voice {
@@ -3154,7 +3187,7 @@ d'évitement des collisions.
 
 Commençons par saisir les notes comme appartenant à deux variables,
 mettons en place l'ossature des portées dans un bloc @code{\Score} et
-voyons ce que LilyPond propose par défaut@tie{}:
+voyons ce que LilyPond propose par défaut :
 
 @c line-width ensures no break
 @lilypond[quote,verbatim,ragged-right,line-width=6\in]
@@ -3214,7 +3247,7 @@ plusieurs éléments de notation.  Commençons par le plus simple.  Nous
 pouvons corriger la ligature des croches en la créant manuellement et
 nous pouvons facilement ajouter les limites droite et gauche de la
 liaison de phrasé, puisque tout cela a déjà été traité dans le tutoriel.
-Voici le résultat@tie{}:
+Voici le résultat :
 
 @c line-width ensures no break
 @lilypond[quote,verbatim,ragged-right,line-width=6\in]
@@ -3268,12 +3301,12 @@ lhMusic = \relative c' {
 
 La première mesure est maintenant correcte.  La seconde contient un
 arpège et doit se terminer par une double barre.  Comment faire, puisque
-cela n'a pas été traité dans le Manuel d'initiation@tie{}?  C'est alors
+cela n'a pas été traité dans le Manuel d'initiation ?  C'est alors
 qu'il faut nous reporter au Manuel de notation.  Quand on cherche
 @qq{arpège} et @qq{barre de mesure} dans l'index, on voit aisément qu'il
 faut ajouter @code{\arpeggio} à un accord pour produire un arpège et
 qu'une double barre est le résultat de la commande
-@code{\bar@tie{}"||"}.  Rien de plus facile@tie{}!  Nous devons ensuite
+@code{\bar "||"}.  Rien de plus facile !  Nous devons ensuite
 corriger la collision entre la liaison et l'indication de mesure.  Le
 mieux est de déplacer la liaison vers le haut.  La méthode pour déplacer
 les objets a déjà été présentée dans @ref{Déplacement d'objets}, et l'on
@@ -3281,12 +3314,12 @@ sait que, pour des objets positionnés par rapport à la portée, il nous
 faut modifier leur propriété @code{staff-position}, exprimée en
 demi-intervalles de lignes par rapport à la ligne médiane de la portée.
 Voici donc la retouche à insérer juste devant la première note
-liée@tie{}; elle est censée déplacer la liaison vers le haut de 3,5
-demi-intervalles de lignes au-dessus de la ligne médiane@tie{}:
+liée ; elle est censée déplacer la liaison vers le haut de 3,5
+demi-intervalles de lignes au-dessus de la ligne médiane :
 
 @code{\once \override Tie #'staff-position = #3.5}
 
-Cela s'adjoint à la deuxième mesure, pour donner@tie{}:
+Cela s'adjoint à la deuxième mesure, pour donner :
 
 @c line-width ensures no break
 @lilypond[quote,verbatim,ragged-right,line-width=6\in]
@@ -3342,15 +3375,15 @@ lhMusic = \relative c' {
 
 Venons-en à la troisième mesure et au début de la section Moderato.
 Dans le Tutoriel, il est indiqué comment insérer du texte en gras à
-l'aide de la commande @code{\markup}@tie{}; pas de problème, du coup,
+l'aide de la commande @code{\markup} ; pas de problème, du coup,
 pour ajouter @qq{Moderato} en gras.  Mais comment faire pour fusionner
-les notes de différentes voix@tie{}?  C'est là que le Manuel de notation
+les notes de différentes voix ?  C'est là que le Manuel de notation
 peut nous venir en aide.  Une recherche sur @qq{fusionnement de notes}
 dans l'index nous renvoie au chapitre @ruser{Résolution des collisions},
 et plus précisément aux commandes permettant de fusionner des notes en
 fonction de leur type et selon qu'elles sont pointées ou non.  Dans
 notre exemple, pour la durée de la polyphonie de la troisième mesure,
-nous avons besoin de fusionner deux types de notes@tie{}; grâce aux
+nous avons besoin de fusionner deux types de notes ; grâce aux
 informations trouvées dans le Manuel de notation, nous ajoutons
 
 @example
@@ -3426,20 +3459,20 @@ lhMusic = \relative c' {
 @end lilypond
 
 Ces retouches ont permis de fusionner les deux fa dièse mais pas les
-deux ré.  Pourquoi@tie{}?  La réponse se trouve dans la même section du
-Manuel de notation@tie{}: les notes à fusionner doivent avoir des hampes
+deux ré.  Pourquoi ?  La réponse se trouve dans la même section du
+Manuel de notation : les notes à fusionner doivent avoir des hampes
 dans des directions opposées et deux notes ne peuvent pas être
 fusionnées s'il y a une troisième note dans la même colonne.  Ici, les
 deux ré ont leur hampe orientée vers le haut et il y a une troisième
 note, do.  Nous savons changer l'orientation de la hampe avec
 @code{\stemDown} et le Manuel de notation nous indique également comment
 déplacer le do -- en produisant un décalage grâce à l'une des commandes
-@code{\shift}.  Mais laquelle@tie{}?  Le do appartient à la deuxième
-voix et n'est pas décalé@tie{}; les deux ré appartiennent respectivement
+@code{\shift}.  Mais laquelle ?  Le do appartient à la deuxième
+voix et n'est pas décalé ; les deux ré appartiennent respectivement
 à la première et à la troisième voix, et l'un n'est pas décalé tandis
 que l'autre l'est.  Il nous faut donc décaler largement le do avec la
 commande @code{\shiftOnn} pour éviter une interférence avec les deux ré.
-Voici ce que donnent ces modifications@tie{}:
+Voici ce que donnent ces modifications :
 
 @cindex Tie, exemple de dérogation
 @cindex staff-position, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -3503,12 +3536,12 @@ lhMusic = \relative c' {
 }
 @end lilypond
 
-Pas loin@tie{}!  Il ne reste plus que deux problèmes@tie{}: les ré une
+Pas loin !  Il ne reste plus que deux problèmes : les ré une
 fois fusionnés ne devraient plus avoir de hampe vers le bas, et le do
 serait mieux à la droite des ré.  Nous savons remédier à ces deux
-problèmes grâce aux retouches précédentes@tie{}: nous allons rendre la
+problèmes grâce aux retouches précédentes : nous allons rendre la
 hampe transparente et déplacer le do avec la propriété
-@code{force-hshift}.  Et voici le résultat final@tie{}:
+@code{force-hshift}.  Et voici le résultat final :
 
 @cindex NoteColumn, exemple de dérogation
 @cindex force-hshift, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -3546,8 +3579,8 @@ rhMusic = \relative c'' {
         % Stem on the d2 must be down to permit merging
         \stemDown
         % Stem on the d2 should be invisible
-        \once \override Stem #'transparent = ##t
-        \once \override Flag #'transparent = ##t
+        \tweak Stem #'transparent ##t
+        \tweak Flag #'transparent ##t
         d2
       }
       \new Voice {
@@ -3596,6 +3629,7 @@ lhMusic = \relative c' {
 * Retouches avancées avec Scheme::
 @end menu
 
+
 @node Autres utilisations des retouches
 @subsection Autres utilisations des retouches
 @translationof Other uses for tweaks
@@ -3612,6 +3646,7 @@ lhMusic = \relative c' {
 
 
 @subheading Liaison entre plusieurs voix
+@c VO Tying notes across voices
 
 Voici un exemple qui montre comment créer une liaison de
 prolongation entre des notes appartenant à des voix différentes.  En
@@ -3624,7 +3659,7 @@ dont l'une avec les notes liées
 @end lilypond
 
 @noindent
-et à rendre transparente la première hampe de cette voix@tie{};
+et à rendre transparente la première hampe de cette voix ;
 on a alors l'impression que la liaison couvre les deux voix.
 
 @cindex Stem, exemple de dérogation
@@ -3633,8 +3668,8 @@ on a alors l'impression que la liaison couvre les deux voix.
 @lilypond[quote,fragment,relative=2,verbatim]
 <<
   {
-    \once \override Stem #'transparent = ##t
-    \once \override Flag #'transparent = ##t
+    \tweak Stem #'transparent ##t
+    \tweak Flag #'transparent ##t
     b8~ b\noBeam
   }
 \\
@@ -3644,14 +3679,14 @@ on a alors l'impression que la liaison couvre les deux voix.
 
 Pour être sûr que la hampe que nous avons rendue transparente
 n'empiète pas trop sur le trait de liaison, nous pouvons l'allonger en
-réglant la longueur (@code{length}) sur @code{8},
+réglant la longueur (@code{length}) sur @code{8},
 
 @lilypond[quote,fragment,relative=2,verbatim]
 <<
   {
-    \once \override Stem #'transparent = ##t
-    \once \override Flag #'transparent = ##t
-    \once \override Stem #'length = #8
+    \tweak Stem #'transparent ##t
+    \tweak Flag #'transparent ##t
+    \tweak Stem #'length #8
     b8~ b8\noBeam
   }
 \\
@@ -3661,6 +3696,7 @@ réglant la longueur (@code{length}) sur @code{8},
 
 
 @subheading Rendu MIDI d'un point d'orgue
+@c VO Simulating a fermata in MIDI
 
 @cindex stencil, utilisation de la propriété
 @cindex point d'orgue, rendu en MIDI
@@ -3679,7 +3715,7 @@ pas que cette indication métronomique apparaisse sur la partition ni
 qu'elle influence l'espacement entre les deux systèmes ou la position
 des annotations voisines sur la portée.  Le fait d'attribuer à la
 propriété @code{stencil} la valeur @code{#f} est donc la bonne solution.
-Nous montrons ci-dessous le résultat des deux méthodes@tie{}:
+Nous montrons ci-dessous le résultat des deux méthodes :
 
 @cindex MetronomeMark, exemple de dérogation
 @cindex transparent, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -3733,7 +3769,6 @@ métronomique transparente repousse vers le haut l'indication de tempo,
 contrairement à la seconde (avec le stencil désactivé) qui la laisse à
 sa place.
 
-
 @seealso
 Glossaire musicologique :
 @rglosnamed{system,système}.
@@ -3757,7 +3792,7 @@ les mettant en italique.  Au lieu des commandes @code{\italic} et
 @code{\bold}, qui ne fonctionnent dans les paroles que si elles sont
 enchâssées dans un @code{\markup} -- ce qui les rend pénibles à saisir
 -- pouvons-nous employer les commandes @code{\override} et
-@code{\revert}@tie{}?
+@code{\revert} ?
 
 @example
 @code{\override Lyrics . LyricText #'font-shape = #'italic}
@@ -3774,7 +3809,7 @@ et les utilisons comme ci-après -- quoique on choisirait sans doute pour
 les variables des noms plus courts pour simplifier la frappe.  Par
 ailleurs, le fait de recourir à une variable ne nous expose plus à
 l'oubli des espaces entourant les points lorsqu'explicités au beau
-milieu d'un bloc @code{\lyricmode}@tie{}!
+milieu d'un bloc @code{\lyricmode} !
 
 @cindex LyricText, exemple de dérogation
 @cindex font-shape, exemple d'utilisation de la propriété
@@ -3842,8 +3877,8 @@ VerseFour = \lyricmode {
 La sortie que produit LilyPond peut être largement modifiée -- voir
 @ref{Retouche de partition} pour plus de détails.  Mais que faire si
 vous avez beaucoup de fichiers auxquels vous souhaitez appliquer vos
-retouches@tie{}?  Ou si vous souhaitez simplement séparer les retouches
-de la musique elle-même@tie{}?  Rien de plus facile.
+retouches ?  Ou si vous souhaitez simplement séparer les retouches
+de la musique elle-même ?  Rien de plus facile.
 
 Prenons un exemple.  Ne vous inquiétez pas si vous ne comprenez pas
 les parties avec tous les @code{#()}.  Celles-ci sont expliquées dans
@@ -3882,31 +3917,29 @@ mais nous pourrions aussi vouloir les utiliser dans une autre pièce.
 Il suffirait de les copier et coller au début de chaque
 fichier, mais c'est fastidieux.  De plus, cela laisse les définitions
 dans nos fichiers de musique, et je trouve personnellement tous ces
-@code{#()} assez laids.  Stockons-les dans un autre fichier@tie{}:
+@code{#()} assez laids.  Stockons-les dans un autre fichier :
 
 @example
 %%% enregistrez ceci dans un fichier nommé "definitions.ily"
 mpdolce =
 #(make-dynamic-script
-  (markup #:hspace 0
-          #:translate '(5 . 0)
-          #:line (#:dynamic "mp"
-                  #:text #:italic "dolce")))
+  #@{ \markup @{ \hspace #0
+               \translate #'(5 . 0)
+               \line @{ \dynamic "mp"
+                       \text \italic "dolce" @} @}
+  #@})
 
 inst =
 #(define-music-function
      (parser location string)
      (string?)
-   (make-music
-    'TextScriptEvent
-    'direction UP
-    'text (markup #:bold (#:box string))))
+   #@{ ^\markup \bold \box #string #@})
 @end example
 
 Nous rappellerons ce fichier par une simple commande @code{\include} au
 début de notre fichier de musique.  Lui attribuer l'extension
 @code{.ily} nous permet de distinguer aisément qu'il s'agit d'un fichier
-voué à être inclus dans un fichier maître@tie{}; il n'est pas destiné à
+voué à être inclus dans un fichier maître ; il n'est pas destiné à
 être compilé isolément.@*
 Maintenant, modifions notre musique (enregistrez ce fichier
 sous @file{musique.ly}).
@@ -3930,19 +3963,17 @@ sous @file{musique.ly}).
 @lilypond[quote,ragged-right]
 mpdolce =
 #(make-dynamic-script
-  (markup #:hspace 0
-          #:translate '(5 . 0)
-          #:line (#:dynamic "mp"
-                  #:text #:italic "dolce")))
+  #{ \markup { \hspace #0
+               \translate #'(5 . 0)
+               \line { \dynamic "mp"
+                       \text \italic "dolce" } }
+  #})
 
 inst =
 #(define-music-function
      (parser location string)
      (string?)
-   (make-music
-    'TextScriptEvent
-    'direction UP
-    'text (markup #:bold (#:box string))))
+   #{ ^\markup \bold \box #string #})
 
 \relative c'' {
   \tempo 4=50
@@ -3963,25 +3994,23 @@ chiffrages de mesure en @qq{C}, nous allons donc le transformer en
 @qq{4/4}.
 
 Cependant, ne changez pas le fichier @file{musique.ly}.  Remplacez le
-fichier @file{definitions.ily} par ceci@tie{}:
+fichier @file{definitions.ily} par ceci :
 
 @example
 %%%  definitions.ily
 mpdolce =
 #(make-dynamic-script
-  (markup #:hspace 0
-          #:translate '(5 . 0)
-          #:line (#:dynamic "mp"
-                  #:text #:italic "dolce")))
+  #@{ \markup @{ \hspace #0
+               \translate #'(5 . 0)
+               \line @{ \dynamic "mp"
+                       \text \italic "dolce" @} @}
+  #@})
 
 inst =
 #(define-music-function
      (parser location string)
      (string?)
-   (make-music
-    'TextScriptEvent
-    'direction UP
-    'text (markup #:bold (#:box string))))
+   #@{ ^\markup \bold \box #string #@})
 
 \layout@{
   \context @{
@@ -4004,19 +4033,17 @@ inst =
 @lilypond[quote,ragged-right]
 mpdolce =
 #(make-dynamic-script
-  (markup #:hspace 0
-          #:translate '(5 . 0)
-          #:line (#:dynamic "mp"
-                  #:text #:italic "dolce")))
+  #{ \markup { \hspace #0
+               \translate #'(5 . 0)
+               \line { \dynamic "mp"
+                       \text \italic "dolce" } }
+  #})
 
 inst =
 #(define-music-function
      (parser location string)
      (string?)
-   (make-music
-    'TextScriptEvent
-    'direction UP
-    'text (markup #:bold (#:box string))))
+   #{ ^\markup \bold \box #string #})
 
 \layout{
   \context {
@@ -4045,7 +4072,7 @@ inst =
 }
 @end lilypond
 
-C'est encore mieux@tie{}!  Mais supposons maintenant que je veuille
+C'est encore mieux !  Mais supposons maintenant que je veuille
 publier cette pièce.  Mon professeur de composition n'aime pas les
 chiffrages de mesure en @qq{C}, mais moi je les aime bien.  Copions
 l'actuel @file{definitions.ily} dans le fichier
@@ -4057,19 +4084,17 @@ aussi augmenter la taille globale de police.
 %%%  definitions.ily
 mpdolce =
 #(make-dynamic-script
-  (markup #:hspace 0
-          #:translate '(5 . 0)
-          #:line (#:dynamic "mp"
-                  #:text #:italic "dolce")))
+  #@{ \markup @{ \hspace #0
+               \translate #'(5 . 0)
+               \line @{ \dynamic "mp"
+                       \text \italic "dolce" @} @}
+  #@})
 
 inst =
 #(define-music-function
      (parser location string)
      (string?)
-   (make-music
-    'TextScriptEvent
-    'direction UP
-    'text (markup #:bold (#:box string))))
+   #@{ ^\markup \bold \box #string #@})
 
 #(set-global-staff-size 23)
 
@@ -4093,19 +4118,17 @@ inst =
 @lilypond[quote,ragged-right]
 mpdolce =
 #(make-dynamic-script
-  (markup #:hspace 0
-          #:translate '(5 . 0)
-          #:line (#:dynamic "mp"
-                  #:text #:italic "dolce")))
+  #{ \markup { \hspace #0
+               \translate #'(5 . 0)
+               \line { \dynamic "mp"
+                       \text \italic "dolce" } }
+  #})
 
 inst =
 #(define-music-function
      (parser location string)
      (string?)
-   (make-music
-    'TextScriptEvent
-    'direction UP
-    'text (markup #:bold (#:box string))))
+   #{ ^\markup \bold \box #string #})
 
 #(set-global-staff-size 23)
 
@@ -4131,8 +4154,8 @@ inst =
 @end lilypond
 
 Il ne nous reste plus qu'à remplacer
-@code{\include@tie{}"definitions.ily"} par
-@code{\include@tie{}"publication-web.ily"} dans notre fichier de
+@code{\include "definitions.ily"} par
+@code{\include "publication-web.ily"} dans notre fichier de
 musique.
 
 Il est possible, bien sûr, de rendre cela encore plus pratique.  Nous
@@ -4155,8 +4178,8 @@ alors à
 Cette approche peut être utile même si vous ne produisez qu'un seul
 jeu de partitions.  J'utilise personnellement une demi-douzaine de
 fichiers de @qq{feuille de style} pour mes projets.  Je commence
-chaque fichier de musique par @code{\include@tie{}"../global.ily"} qui
-contient@tie{}:
+chaque fichier de musique par @code{\include "../global.ily"} qui
+contient :
 
 @example
 %%%   global.ily
@@ -4183,7 +4206,7 @@ L'emplacement du répertoire dépend (a) du fait que, pour vous procurer
 LilyPond, vous avez téléchargé un paquet précompilé sur lilypond.org, ou
 vous l'avez installé grâce à votre gestionnaire de paquetages
 (c'est-à-dire distribué avec Linux ou installé avec fink ou cygwin), ou
-encore vous l'avez compilé directement à partir des sources@tie{}; et
+encore vous l'avez compilé directement à partir des sources ; et
 (b) du système d'exploitation sur lequel il tourne.
 
 @strong{Téléchargé depuis lilypond.org}
@@ -4201,8 +4224,8 @@ encore vous l'avez compilé directement à partir des sources@tie{}; et
 @file{@var{INSTALLDIR}/LilyPond.app/Contents/@/Resources/share/lilypond/current/}
 @end example
 
-Pour accéder à ce dossier, deux possibilités@tie{}: soit, dans un
-Terminal, taper @code{cd} suivi du chemin complet ci-dessus@tie{}; soit
+Pour accéder à ce dossier, deux possibilités : soit, dans un
+Terminal, taper @code{cd} suivi du chemin complet ci-dessus ; soit
 Control-cliquer (ou clic droit) sur l'application LilyPond
 et sélectionner @qq{Afficher le contenu du paquet}.
 
@@ -4226,7 +4249,7 @@ LilyPond.
 @smallspace
 
 Dans ce répertoire, deux sous-répertoires sont particulièrement
-intéressants@tie{}:
+intéressants :
 
 @itemize
 @item @code{ly/} -- contient les fichiers en format LilyPond
@@ -4241,7 +4264,7 @@ les commandes standard prédéfinies de LilyPond, comme @code{\stemUp} et
 @code{\slurDotted}.  Vous pouvez constater que ce n'est rien d'autre
 que des définitions de variables composées d'un ou plusieurs groupes
 de commandes @code{\override}.  Par exemple, @code{\tieDotted}
-est défini comme@tie{}:
+est défini comme :
 
 @example
 tieDotted = @{
@@ -4254,7 +4277,7 @@ Si vous n'aimez pas les valeurs par défaut, les commandes prédéfinies
 peuvent être facilement redéfinies, comme n'importe quelle autre
 variable, en tête de votre fichier d'entrée.
 
-Voici les fichiers les plus utiles dans le répertoire @file{ly/}@tie{}:
+Voici les fichiers les plus utiles dans le répertoire @file{ly/} :
 
 @multitable @columnfractions .4 .6
 @headitem Nom de fichier
@@ -4283,7 +4306,7 @@ substantielles et beaucoup de temps sont nécessaires (voir le
 @rextend{Tutoriel Scheme}).
 
 Si c'est votre cas, les fichiers Scheme les plus utiles à connaître
-sont@tie{}:
+sont :
 
 @multitable @columnfractions .4 .6
 @headitem Nom de fichier
@@ -4298,7 +4321,7 @@ sont@tie{}:
   @tab Réglages par défaut pour les sorties MIDI
 @item @file{scm/output-lib.scm}
   @tab Réglages affectant l'apparence des frets, couleurs, altérations,
-       barres de mesure, etc.
+       barres de mesure etc.
 @item @file{scm/parser-clef.scm}
   @tab Définition des clefs prises en charge
 @item @file{scm/script.scm}
index e7575ce44fc14d5b835ac9e1f875defea6dbe070..3be990f9285d091d16a1eab8a82bbd459c956948 100644 (file)
@@ -1,14 +1,13 @@
 @c -*- coding: utf-8; mode: texinfo; documentlanguage: fr -*-
-
 @ignore
-    Translation of GIT committish: 65264f1ec906b40c1b281e360d4860f7a6eb8138
+    Translation of GIT committish: 2a87f1e1f98b76751482cae4474d41aa5e38e37b
 
     When revising a translation, copy the HEAD committish of the
     version that you are working on.  For details, see the Contributors'
     Guide, node Updating translation committishes..
 @end ignore
 
-@c \version "2.15.10"
+@c \version "2.15.39"
 
 @c Translators: Valentin Villenave, Jean-Charles Malahieude
 @c Translation checkers: Gilles Thibault
@@ -36,8 +35,8 @@ document séparé, @rinternalsnamed{Top,la référence des propriétés
 internes}.  Ce guide répertorie toutes les variables, fonctions et
 autres options que LilyPond met à votre disposition.  Il est consultable
 @c leave the @uref as one long line.
-@uref{http://@/lilypond@/.org/@/doc/@/stable/@/Documentation/@/internals/,en@tie{}ligne},
-au format HTML@tie{}; il est également inclus dans la documentation
+@uref{http://@/lilypond@/.org/@/doc/@/stable/@/Documentation/@/internals/,en ligne},
+au format HTML ; il est également inclus dans la documentation
 fournie avec le logiciel.
 
 En sous-main, LilyPond se sert du langage Scheme (un dérivé du LISP)
@@ -138,12 +137,12 @@ Les contextes sont hiérarchisés :
 Il s'agit en l'occurrence du contexte le plus élevé, autrement dit le
 plus important, en matière de notation.  En effet, c'est au niveau de la
 partition -- @emph{score} en anglais -- que se gèrent le temps et la
-tonalité@tie{}; c'est donc là qu'il faut s'assurer que les différents
+tonalité ; c'est donc là qu'il faut s'assurer que les différents
 éléments, tels les clefs, métriques et armures sont bien répercutés sur
 toutes les portées.
 
-Dès lors que LilyPond rencontre un bloc @code{\score@tie{}@{@dots{}@}}
-ou @code{\layout@tie{}@{@dots{}@}}, se crée implicitement un contexte
+Dès lors que LilyPond rencontre un bloc @code{\score @{@dots{}@}}
+ou @code{\layout @{@dots{}@}}, se crée implicitement un contexte
 @code{Score}.
 
 
@@ -199,7 +198,7 @@ défaut correspond à une tablature pour guitare, sur six lignes.
 
 @strong{@emph{DrumStaff}}
 
-Contexte dévolu tout spécialement aux parties de percussion@tie{}; il
+Contexte dévolu tout spécialement aux parties de percussion ; il
 peut contenir plusieurs @code{DrumVoice}.
 
 @strong{@emph{VaticanaStaff}}
@@ -258,13 +257,13 @@ chiffrée -- créés à partir de ce qui a été saisi en mode
 @strong{@emph{TabVoice}}
 
 Contexte de voix dévolu au contexte @code{TabStaff}, il est
-habituellement créé explicitement.
+habituellement créé implicitement.
 
 @strong{@emph{CueVoice}}
 
 Contexte de voix utilisé essentiellement dans le cadre de citations
 ajoutées à une portée -- voir @ref{Mise en forme d'une citation}.  Il
-est habituellement créé explicitement.
+est habituellement créé implicitement.
 
 @strong{@emph{ChordNames}}
 
@@ -304,14 +303,14 @@ context.
 Lorsqu'une partition ne comporte qu'une portée avec une seule voix, les
 contextes sont créés automatiquement.  Dès que la structure s'étoffe, il
 devient nécessaire de les créer explicitement, en suivant l'une des
-trois méthodes suivantes@tie{}:
+trois méthodes suivantes :
 
 @itemize
 
 @item
-La commande la plus simple à utiliser est @code{\new}@tie{}; c'est aussi
+La commande la plus simple à utiliser est @code{\new} ; c'est aussi
 la plus courte.  Elle se place juste avant une expression musicale et se
-libelle ainsi@tie{}:
+libelle ainsi :
 
 @funindex \new
 @cindex nouveau contexte
@@ -326,9 +325,9 @@ où @var{type} est le nom d'un contexte (par ex. @code{Staff} ou
 @code{Voice}).  Cette commande crée un nouveau contexte et y interprète
 le contenu de l'@var{expression_musicale}.
 
-C'est ce qui se passe lorsqu'une partition comporte plusieurs
-portées@tie{}: chaque partie qui doit apparaître sur une portée
-spécifique est précédée d'un @code{\new@tie{}Staff}.
+C'est ce qui se passe lorsqu'une partition comporte plusieurs portées :
+chaque partie qui doit apparaître sur une portée spécifique est précédée
+d'un @code{\new Staff}.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2,ragged-right]
 <<
@@ -349,9 +348,9 @@ Le nom que vous spécifiez ne pourra être utilisé que s'il n'a pas déjà
 @funindex \context
 @item
 Tout comme @code{\new}, la commande @code{\context} affectera une
-expression musicale à un objet contextuel@tie{}; elle lui attribuera de
+expression musicale à un objet contextuel ; elle lui attribuera de
 surcroît un nom.  La commande @code{\context} s'emploie de la façon
-suivante@tie{}:
+suivante :
 
 @example
 \context @var{type} = @var{nom} @var{musique}
@@ -361,7 +360,7 @@ LilyPond va dans un premier temps vérifier l'existence d'un contexte du
 type @var{type} appelé @var{nom}.  En l'absence d'un tel contexte,
 LilyPond crée un nouveau contexte du nom que vous avez spécifié.  Cette
 procédure est tout à fait pertinente lorsque vous faites appel à ce
-contexte particulier par la suite.  Prenons le cas d'un chant@tie{}:
+contexte particulier par la suite.  Prenons le cas d'un chant :
 nous commençons par nommer la ligne mélodique,
 
 @example
@@ -369,7 +368,7 @@ nous commençons par nommer la ligne mélodique,
 @end example
 
 @noindent
-de telle sorte que le texte s'aligne correctement sur les notes@tie{}:
+de telle sorte que le texte s'aligne correctement sur les notes :
 
 @example
 \new Lyrics \lyricsto "@b{tenor}" @var{paroles}
@@ -387,7 +386,7 @@ arts = @{ s4-. s4-> @}
 @end example
 
 Elles sont ensuite fusionnées par affectation au même contexte
-@code{Voice}.
+@code{Voice} :
 
 @example
 <<
@@ -411,14 +410,14 @@ des articulations à ces mêmes notes.
 @cindex création de contextes
 
 @item
-Voici une troisième manière de créer un contexte@tie{}:
+Voici une troisième manière de créer un contexte :
 
 @example
 \context @var{type} @var{musique}
 @end example
 
 @noindent
-Très comparable à une déclaration @code{\context@tie{}=@tie{}@var{nom}},
+Très comparable à une déclaration @code{\context = @var{nom}},
 cette méthode permet de s'affranchir du type de contexte.
 
 Cette variante s'utilise lorsque les expression musicales peuvent être
@@ -432,8 +431,8 @@ s'agit de @code{Voice}.
 \applyOutput #'@var{contexte} #@var{fonction}   % s'applique à Voice
 @end example
 
-Vous devrez respecter ces formulations si votre fonction doit
-s'interpréter au niveau @code{Score} ou @code{Staff}@tie{}:
+Vous devrez respecter ces formulations si la fonction doit
+s'interpréter au niveau @code{Score} ou @code{Staff} :
 
 @example
 \applyOutput #'Score #@var{fonction}
@@ -460,7 +459,7 @@ introduit par la commande @code{\change}, l'association de paroles à
 l'aide de la commande @code{\lyricsto} ou si des événements surviennent
 à nouveau pour ce contexte précédemment actif.
 
-Une exception cependant à cette règle@tie{}: en présence d'un contexte
+Une exception cependant à cette règle : en présence d'un contexte
 @code{Staff} ou dans une construction @code{<<...>>}, un seul des
 contextes @code{Voice} inclus restera actif jusqu'à la fin du contexte
 @code{Staff} ou de la construction @code{<<...>>}, y compris s'il y
@@ -478,7 +477,7 @@ interviennent de manière sporadique, de toutes les maintenir actives
 plutôt que de vous fier aux exceptions mentionnées plus haut.
 
 Dans l'exemple suivant, les deux voix A et B sont maintenues actives
-jusqu'à la fin du morceau@tie{}:
+jusqu'à la fin du morceau :
 
 @lilypond[quote,verbatim]
 musicA = \relative c'' { d4 d d d }
@@ -555,7 +554,7 @@ words = \lyricmode { These words fol -- low the mel -- o -- dy }
 
 Une autre méthode, qui s'avère plus productive dans nombre de cas,
 consiste à maintenir active la ligne mélodique en y insérant des
-silences invisibles tout au long de l'accompagnement@tie{}:
+silences invisibles tout au long de l'accompagnement :
 
 @lilypond[quote,verbatim]
 melody = \relative c'' {
@@ -600,11 +599,11 @@ words = \lyricmode { These words fol -- low the mel -- o -- dy }
 @c TODO Should this be Modifying engravers or Modifying contexts?
 
 Les contextes, tels que @code{Score} ou @code{Staff}, ne contiennent
-pas que des propriétés@tie{}; ils mettent également en œuvre certains
+pas que des propriétés ; ils mettent également en œuvre certains
 sous-programmes (@emph{plug-ins} pour employer le terme consacré) nommés
 @qq{graveurs} (@emph{engravers} pour reprendre le terme anglais).
 Ces sous-programmes sont chargés de créer les différents éléments de
-notation@tie{}: on trouve ainsi dans le contexte @code{Voice} un graveur
+notation : on trouve ainsi dans le contexte @code{Voice} un graveur
 @code{Note_heads_engraver}, chargé des têtes de notes et, dans le
 contexte @code{Staff}, un graveur @code{Key_engraver}, chargé de
 l'armure.
@@ -632,7 +631,7 @@ Lorsqu'un contexte est créé, par la commande @code{\new} ou
 @code{\context}, on peut y adjoindre un bloc @code{\with} (en anglais
 @qq{avec}), dans lequel il est possible d'ajouter (commande
 @code{\consists}) ou d'enlever (commande @code{\remove}) des
-graveurs@tie{}:
+graveurs :
 
 @funindex \with
 
@@ -653,7 +652,7 @@ graveurs@tie{}:
 Ici les points de suspension @dots{} devront être remplacés par le nom
 des graveurs désirés.  Dans l'exemple suivant, on enlève du contexte
 @code{Staff}, la métrique (graveur @code{Time_signature_engraver})
-et la clé (graveur @code{Clef_engraver}).
+et la clef (graveur @code{Clef_engraver}).
 
 @lilypond[quote,relative=1,verbatim]
 <<
@@ -669,12 +668,12 @@ et la clé (graveur @code{Clef_engraver}).
 >>
 @end lilypond
 
-La clé et le chiffre de mesure ont disparu de la deuxième portée.  C'est
-une méthode quelque peu radicale, puisqu'elle affectera toute la portée
-jusqu'à la fin de la partition.  L'espacement s'en trouve également
-affecté, ce qui peut être ou non l'effet recherché.  Une méthode plus
-sophistiquée aurait été de rendre ces objets transparents (voir
-@rlearning{Visibilité et couleur des objets}).
+La clef et le chiffre de mesure ont disparu de la deuxième portée.
+C'est une méthode quelque peu radicale, puisqu'elle affectera toute la
+portée jusqu'à la fin de la partition.  L'espacement s'en trouve
+également affecté, ce qui peut être ou non l'effet recherché.  Une
+méthode plus sophistiquée aurait été de rendre ces objets transparents
+(voir @rlearning{Visibilité et couleur des objets}).
 
 Dans l'exemple suivant, voici une mise en pratique plus utile.  En temps
 normal, les barres de mesure et la métrique sont synchronisées
@@ -715,14 +714,16 @@ peut désormais avoir sa propre métrique.
 }
 @end lilypond
 
+@knownissues
+
 En règle générale, l'ordre dans lequel les graveurs sont mentionnés
 importe peu.  Il se peut toutefois qu'un graveur écrive une propriété
 qui sera interprétée par un autre, ou qu'un graveur crée un objet
-graphique qui sera traité par un autre@tie{}; l'ordre d'apparition de
+graphique qui sera traité par un autre ; l'ordre d'apparition de
 ces graveurs prendra alors tout son importance.
 
-Pour information, les ordonnancements suivants sont importants@tie{}:
-le @code{Bar_engraver} devrait toujours être le premier@tie{}; le
+Pour information, les ordonnancements suivants sont importants :
+le @code{Bar_engraver} devrait toujours être le premier ; le
 @code{New_fingering_engraver} doit toujours précéder le
 @code{Script_column_engraver}.  Nous vous conseillons, pour les autres,
 de vérifier les éventuelles dépendances.
@@ -739,9 +740,8 @@ indépendamment de la musique dans un bloc @code{\layout} -- placé dans
 le bloc @code{\score} auquel ces modifications doivent s'appliquer -- au
 moyen de la commande @code{\context}.
 
-Point n'est besoin d'utiliser la commande
-@code{\set@tie{}@var{contexte}} lorsque les réglages par défaut d'un
-contexte sont ainsi modifiés@tie{}:
+Point n'est besoin d'utiliser la commande @code{\set @var{contexte}}
+lorsque les réglages par défaut d'un contexte sont ainsi modifiés :
 
 @c KEEP LY
 @lilypond[quote,verbatim]
@@ -870,7 +870,7 @@ jazz.
 @end lilypond
 
 On a rassemblé les réglages dans un bloc @code{\context}, lui-même placé
-dans le bloc @code{\layout}@tie{}:
+dans le bloc @code{\layout} :
 
 @example
 \layout @{
@@ -880,11 +880,9 @@ dans le bloc @code{\layout}@tie{}:
 @}
 @end example
 
-En lieu et place des points (@dots{}), voici les éléments à
-saisir@tie{}:
+En lieu et place des points (@dots{}), voici les éléments à saisir :
 
-Tout d'abord, il convient de donner un nom à notre nouveau
-contexte@tie{}:
+Tout d'abord, il convient de donner un nom à notre nouveau contexte :
 
 @example
 \name ImproVoice
@@ -893,14 +891,14 @@ contexte@tie{}:
 Comme il est très semblable à @code{Voice}, nous souhaitons que
 toutes les commandes associées au @code{Voice} déjà existant restent
 valables.  D'où nécessité de la commande @code{\alias}, qui va
-l'associer au contexte @code{Voice}@tie{}:
+l'associer au contexte @code{Voice} :
 
 @example
 \alias Voice
 @end example
 
 Ce contexte doit pouvoir imprimer des notes et des indications
-textuelles@tie{}; on ajoute donc les graveurs appropriés@tie{}:
+textuelles ; on ajoute donc les graveurs appropriés :
 
 @example
 \consists Note_heads_engraver
@@ -908,7 +906,7 @@ textuelles@tie{}; on ajoute donc les graveurs appropriés@tie{}:
 @end example
 
 Cependant, on veut que les notes s'affichent toutes au centre de
-la portée@tie{}:
+la portée :
 
 @example
 \consists Pitch_squash_engraver
@@ -918,11 +916,11 @@ squashedPosition = #0
 Le graveur @rinternals{Pitch_squash_engraver} intercepte les notes
 créées par le @rinternals{Note_heads_engraver}, et les @qq{écrase} pour
 qu'elles aient toutes la même position verticale, définie par
-@code{squashedPosition}@tie{}: ici il s'agit de la valeur@tie{}@code{0},
+@code{squashedPosition} : ici il s'agit de la valeur @code{0},
 c'est-à-dire la ligne du milieu.
 
 On veut que les notes aient la forme d'une barre oblique, sans
-aucune hampe@tie{}:
+aucune hampe :
 
 @example
 \override NoteHead #'style = #'slash
@@ -932,13 +930,13 @@ aucune hampe@tie{}:
 
 Afin que tous ces graveurs puissent travailler de concert, on leur
 adjoint un sous-programme spécial, introduit par la commande
-@code{\type}@tie{}: il s'agit de @code{Engraver_group},
+@code{\type} : il s'agit de @code{Engraver_group},
 
 @example
 \type "Engraver_group"
 @end example
 
-Récapitulons@tie{}; on se retrouve avec le bloc suivant@tie{}:
+Récapitulons ; on se retrouve avec le bloc suivant :
 
 @example
 \context @{
@@ -961,7 +959,7 @@ Ce n'est pas tout.  En effet, on veut intégrer le nouveau contexte
 @code{ImproVoice} dans la hiérarchie des contextes.  Tout comme le
 contexte @code{Voice}, sa place est au sein du contexte @code{Staff}.
 Nous allons donc modifier le contexte @code{Staff},
-au moyen de la commande @code{\accepts}@tie{}:
+au moyen de la commande @code{\accepts} :
 
 @example
 \context @{
@@ -972,11 +970,11 @@ au moyen de la commande @code{\accepts}@tie{}:
 
 @funindex \denies
 
-Le contraire de @code{\accepts} est @code{\denies}@tie{}; il est parfois
+Le contraire de @code{\accepts} est @code{\denies} ; il est parfois
 utile lorsque l'on recycle des définitions de contextes déjà existantes.
 
 Enfin, tout cela doit prendre place dans le bloc @code{\layout},
-comme suit@tie{}:
+comme ici :
 
 @example
 \layout @{
@@ -991,7 +989,7 @@ comme suit@tie{}:
 @}
 @end example
 
-On peut alors saisir la musique, comme dans l'exemple plus haut@tie{}:
+On peut alors saisir la musique, comme dans l'exemple plus haut :
 
 @example
 \relative c'' @{
@@ -1027,7 +1025,7 @@ La liste des @qq{agréments} d'un contexte se gère à l'aide des
 instructions @code{\accepts} et @code{\denies} -- @code{\accepts} pour
 ajouter un contexte à la liste, et @code{\denies} pour retirer
 l'agrément.  Il est par exemple peu conventionnel que les accords nommés
-apparaissent dans un contexte @code{Staff}@tie{}; autrement dit, le
+apparaissent dans un contexte @code{Staff} ; autrement dit, le
 contexte @code{ChordNames} ne fait pas partie de la @qq{liste
 d'agréments} du contexte @code{Staff} par défaut.  Néanmoins, et s'il
 devait en être ainsi, vous pourriez le spécifier.
@@ -1094,7 +1092,7 @@ Fichiers d'initialisation :
 @c TODO remove this (it's in the LM)
 @c Replace with more factual directions
 
-Comment, par exemple, déplacer le doigté dans le fragment suivant@tie{}?
+Comment, par exemple, déplacer le doigté dans le fragment suivant ?
 
 @lilypond[quote,relative=2,verbatim]
 c-2
@@ -1103,7 +1101,7 @@ f
 @end lilypond
 
 Sur la page de la documentation relative aux doigtés, c'est-à-dire
-@ref{Doigtés}, se trouve l'indication suivante@tie{}:
+@ref{Doigtés}, se trouve l'indication suivante :
 
 @quotation
 @strong{Voir aussi}
@@ -1168,8 +1166,7 @@ En d'autres termes, @emph{Les indications de doigtés}
 @rinternals{Fingering_engraver} et @rinternals{New_fingering_engraver}.}
 
 En suivant derechef les liens propres à la référence du programme, on
-suit en fait le cheminement qui aboutit à la création de la
-partition@tie{}:
+suit en fait le cheminement qui aboutit à la création de la partition :
 
 @itemize
 
@@ -1185,10 +1182,10 @@ Music event type @code{fingering-event} is in Music expressions named
 @rinternals{FingeringEvent}
 @end itemize
 
-Ce cheminement se produit, bien sûr, en sens inverse@tie{}: nous sommes
+Ce cheminement se produit, bien sûr, en sens inverse : nous sommes
 ici partis du résultat, et avons abouti aux évènements (en anglais
 @emph{Events}) engendrés par le fichier d'entrée.  L'inverse est
-également possible@tie{}: on peut partir d'un évènement, et suivre le
+également possible : on peut partir d'un évènement, et suivre le
 cheminement de LilyPond qui aboutit à la création d'un ou plusieurs
 objets graphiques.
 
@@ -1223,13 +1220,13 @@ francophones.
 Tous les éléments de notation sont considérés comme des objets
 graphiques (en anglais @emph{Graphical Object}, d'où le diminutif
 @emph{Grob}).  Chaque objet est doté d'un certain nombre de propriétés
-(l'épaisseur du trait, l'orientation, etc.), et lié à d'autres objets.
+(l'épaisseur du trait, l'orientation etc.), et lié à d'autres objets.
 Le fonctionnement de ces objets est décrit en détail dans
 @rinternals{grob-interface}.
 
 Prenons l'exemple des doigtés (en anglais @emph{Fingering}).  La page
 @code{Fingering} de la Référence des propriétés internes établit une
-liste de définitions propres à ce type d'objet@tie{}:
+liste de définitions propres à ce type d'objet :
 
 @quotation
 @code{padding} (dimension, in staff space):
@@ -1239,12 +1236,12 @@ liste de définitions propres à ce type d'objet@tie{}:
 
 @noindent
 Ce qui signifie que les doigtés doivent être maintenus à une certaine
-distance (@emph{padding}) des notes@tie{}: 0,5 unités @emph{staff-space}
+distance (@emph{padding}) des notes : 0,5 unités @emph{staff-space}
 (espace de portée).
 
 Chaque objet peut avoir plusieurs attributs, en tant qu'élément
 typographique ou musical.  Ainsi, un doigté (objet @emph{Fingering})
-possède les attributs suivants@tie{}:
+possède les attributs suivants :
 
 @itemize
 @item
@@ -1288,7 +1285,7 @@ This object supports the following interfaces:
 En français,
 
 @quotation
-Cet objet admet les interfaces suivantes@tie{}:
+Cet objet admet les interfaces suivantes :
 @end quotation
 
 Suit la liste des interfaces en question, présentées comme autant de
@@ -1301,7 +1298,7 @@ Pour aller encore plus loin, plutôt que de simplement parler de l'objet
 @code{Fingering}, ce qui ne nous avance pas à grand chose, on peut aller
 explorer son âme même, dans les fichiers source de LilyPond (voir
 @rlearning{Autres sources de documentation}), en l'occurrence le fichier
-@file{scm/define-grobs.scm}@tie{}:
+@file{scm/define-grobs.scm} :
 
 @example
 (Fingering
@@ -1341,7 +1338,7 @@ définition.
 @c Replace with more factual directions
 
 Nous voulions changer la position du chiffre @b{2} dans le fragment
-suivant@tie{}:
+suivant :
 
 @lilypond[quote,relative=2,verbatim]
 c-2
@@ -1353,7 +1350,7 @@ Dans la mesure où le @b{2} est placé, verticalement, à proximité de la
 note qui lui correspond, nous allons devoir trouver l'interface en
 charge de ce placement, qui se trouve être
 @code{side-position-interface}.  Sur la page de cette interface, on peut
-lire@tie{}:
+lire :
 
 @quotation
 @code{side-position-interface}
@@ -1376,7 +1373,7 @@ en haut ou en bas).
 @cindex padding
 @noindent
 En dessous de cette description se trouve décrite la variable
-@code{padding}@tie{}:
+@code{padding} :
 
 @quotation
 @table @code
@@ -1397,7 +1394,7 @@ autres.
 @noindent
 En augmentant la valeur de @code{padding}, on peut donc éloigner le
 doigté de la note.  La commande suivante insère trois unités d'espace
-vide entre la note et le doigté@tie{}:
+vide entre la note et le doigté :
 
 @example
 \once \override Voice.Fingering #'padding = #3
@@ -1405,7 +1402,7 @@ vide entre la note et le doigté@tie{}:
 
 En ajoutant cette commande avant la création du doigté (de l'objet
 @code{Fingering}), donc avant @code{c2}, on obtient le résultat
-suivant@tie{}:
+suivant :
 
 @lilypond[quote,relative=2,verbatim]
 \once \override Voice.Fingering #'padding = #3
@@ -1417,7 +1414,7 @@ f
 Dans le cas présent, le réglage intervient dans le contexte @code{Voice},
 ce qui pouvait également se déduire de la Référence des propriétés
 internes, où la page du graveur @rinternals{Fingering_engraver}
-indique@tie{}:
+indique :
 
 @quotation
 Fingering_engraver is part of contexts: @dots{} @rinternals{Voice}
@@ -1426,7 +1423,7 @@ Fingering_engraver is part of contexts: @dots{} @rinternals{Voice}
 @noindent
 Ce qui signifie
 @quotation
-Le graveur Fingering_engraver fait partie des contextes@tie{}: @dots{}
+Le graveur Fingering_engraver fait partie des contextes : @dots{}
 @rinternals{Voice}
 @end quotation
 
@@ -1436,7 +1433,7 @@ Le graveur Fingering_engraver fait partie des contextes@tie{}: @dots{}
 @translationof Naming conventions
 
 Afin de s'y retrouver plus aisément et d'éviter les erreurs de frappe,
-voici quelques conventions en matière de nommage@tie{}:
+voici quelques conventions en matière de nommage :
 
 @itemize
 @item fonctions scheme :
@@ -1457,12 +1454,12 @@ voici quelques conventions en matière de nommage@tie{}:
  Capitale_initiale_puis_minuscules_séparées_par_un_souligné
 @end itemize
 
-Les questions que vous devez vous poser sont@tie{}:
+Les questions que vous devez vous poser sont :
 @itemize
 @item Qu'est-ce qui relève des conventions, et qu'est-ce qui relève de
-la règle@tie{}?
+la règle ?
 @item Qu'est-ce qui relève des règles du langage sous-jacent, et
-qu'est-ce qui est propre à LilyPond@tie{}?
+qu'est-ce qui est propre à LilyPond ?
 @end itemize
 
 
@@ -1494,10 +1491,10 @@ Il contient également les réglages nécessaires pour chacun de ces
 objets.  Si l'on modifie ces réglages, les objets n'auront plus la même
 apparence.
 
-Les contextes comportent deux types différents de propriétés@tie{}: des
+Les contextes comportent deux types différents de propriétés : des
 propriétés de contexte et des propriétés d'objet graphique.  Les
 propriétés de contexte sont celles qui s'appliqueront globalement au
-contexte en tant que tel@tie{}; elles gèrent la manière dont le contexte
+contexte en tant que tel ; elles gèrent la manière dont le contexte
 apparaîtra.  Les propriétés d'objet graphique, par contre, s'appliquent
 à des types particuliers d'objet qui apparaissent dans le contexte en
 question.
@@ -1515,24 +1512,24 @@ La syntaxe employée pour ce faire est
 @end example
 
 Ici @var{objet} est un objet graphique, tel que @code{Stem} (les hampes)
-ou @code{NoteHead} (les têtes de note)@tie{}; @var{propriété} est une
+ou @code{NoteHead} (les têtes de note) ; @var{propriété} est une
 variable (désignée par un symbole, ce qui explique l'apostrophe)
 employée par le système de mise en page.  La sous-section
 @ref{Élaboration d'une retouche} vous aidera à savoir quoi mettre à la
-place de @var{objet}, @var{propriété} et @var{valeur}@tie{}; notre
-propos n'est ici que d'examiner l'emploi de cette commande.
+place de @var{objet}, @var{propriété} et @var{valeur} ; notre propos
+n'est ici que d'examiner l'emploi de cette commande.
 
-La commande suivante@tie{}:
+La commande suivante :
 
 @verbatim
 \override Staff.Stem #'thickness = #4.0
 @end verbatim
 
 @noindent
-rend les hampes plus épaisses (la valeur par défaut est 1.3, ce qui
+rend les hampes plus épaisses (la valeur par défaut est 1.3, ce qui
 signifie qu'elles sont 1,3 fois plus épaisses que les lignes de la
 portée).  Dans la mesure où nous avons indiqué @code{Staff} comme
-contexte, ce réglage ne s'appliquera qu'à la portée courante@tie{}; les
+contexte, ce réglage ne s'appliquera qu'à la portée courante ; les
 autres portées demeureront intactes.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2,fragment]
@@ -1544,11 +1541,13 @@ c4
 @end lilypond
 
 La commande @code{\override} modifie donc la définition de l'objet
-@code{Stem} dans le contexte @code{Staff}@tie{}; toutes les hampes qui
-suivent seront affectées.  Tout comme avec la commande @code{\set},
-l'argument @var{contexte} peut être omis, auquel cas le contexte par
-défaut (ici, @code{Voice}) sera employé.  La commande @code{\once}
-permet de n'appliquer la modification qu'une seule fois.
+@code{Stem} dans le contexte @code{Staff} ; toutes les hampes qui
+suivent seront affectées.
+
+Tout comme avec la commande @code{\set}, l'argument @var{contexte} peut
+être omis, auquel cas le contexte par défaut (ici, @code{Voice}) sera
+employé.  La commande @code{\once} permet de n'appliquer la modification
+qu'une seule fois.
 
 @lilypond[quote,fragment,verbatim,relative=2]
 c4
@@ -1587,7 +1586,7 @@ est sans effet.
 @end example
 
 Il existe, à l'intérieur même de certaines propriétés, des options que
-l'on nomme @q{sous-propriétés}.  La syntaxe est alors
+l'on nomme @qq{sous-propriétés}.  La syntaxe est alors
 
 @c leave this as a long long
 @example
@@ -1595,7 +1594,7 @@ l'on nomme @q{sous-propriétés}.  La syntaxe est alors
 @end example
 
 @noindent
-Ainsi, par exemple@tie{}:
+Ainsi, par exemple :
 
 @example
 \override Stem #'(details beamed-lengths) = #'(4 4 3)
@@ -1626,21 +1625,21 @@ deux.
 @cindex modifier des propriétés
 @funindex \set
 
-Chaque contexte peut avoir plusieurs @emph{propriétés}, c'est-à-dire
+Chaque contexte peut avoir plusieurs @strong{propriétés}, c'est-à-dire
 des variables qu'il inclut.  Ces dernières peuvent être modifiées @qq{à
 la volée}, c'est-à-dire pendant que la compilation s'accomplit.  C'est
- le rôle de la commande @code{\set}.
+ici le rôle de la commande @code{\set}.
 
 @example
 \set @var{contexte}.@var{propriété} = #@var{valeur}
 @end example
 
 Dans la mesure où @var{valeur} est constituée d'un objet Scheme, elle
-doit être précédée du caractère@tie{}@code{#}.
+doit être précédée du caractère @code{#}.
 
 Les propriétés des contextes se libellent sous la forme
 @code{minusculeMajuscule}.  Leur rôle consiste principalement à traduire
-la musique en notation@tie{}: par exemple, @code{localKeySignature}
+la musique en notation : par exemple, @code{localKeySignature}
 déterminera quand imprimer une altération accidentelle, et
 @code{measurePosition} quand imprimer une barre de mesure.  La valeur
 des propriétés des contextes peuvent évoluer au fur et à mesure que l'on
@@ -1650,7 +1649,7 @@ parfaite.
 Ainsi la propriété de contexte @code{skipBars} permet de condenser les
 mesures vides de notes, en des silences multimesures.  Il s'agit d'un
 objet Scheme, auquel on attribue la valeur booléenne @qq{vrai},
-c'est-à-dire la lettre @code{#t} pour @qq{True} en anglais@tie{}:
+c'est-à-dire la lettre @code{#t} pour @qq{True} en anglais :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 R1*2
@@ -1660,7 +1659,7 @@ R1*2
 
 Si l'argument @var{contexte} n'est pas spécifié, alors la propriété
 cherchera à s'appliquer dans le contexte le plus restreint où elle est
-employée@tie{}: le plus souvent  @code{ChordNames}, @code{Voice} ou
+employée : le plus souvent  @code{ChordNames}, @code{Voice} ou
 @code{Lyrics}.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
@@ -1680,7 +1679,7 @@ Ce changement étant appliqué @qq{à la volée}, il n'affecte que le second
 groupe de notes.
 
 Notez que le contexte le plus restreint n'est pas toujours le bon, et
-peut ne pas contenir la propriété qui vous intéresse@tie{}: ainsi, la
+peut ne pas contenir la propriété qui vous intéresse : ainsi, la
 propriété @code{skipBars}, évoquée plus haut, ne relève pas du contexte
 @code{Voice}, mais du contexte @code{Score} -- le code suivant ne
 fonctionnera pas.
@@ -1691,7 +1690,7 @@ R1*2
 R1*2
 @end lilypond
 
-Les contextes s'organisent de façon hiérarchique@tie{}: aussi, lorsqu'un
+Les contextes s'organisent de façon hiérarchique : aussi, lorsqu'un
 contexte de niveau supérieur est spécifié (par exemple @code{Staff}), la
 propriété sera modifiée dans tous les contextes inférieurs (tous les
 contextes @code{Voice}, par exemple) qu'il contient.
@@ -1699,17 +1698,17 @@ contextes @code{Voice}, par exemple) qu'il contient.
 @funindex \unset
 
 La commande @code{\unset} permet d'annuler la définition d'une
-propriété@tie{}:
+propriété :
 
 @example
 \unset @var{contexte}.@var{propriété}
 @end example
 
 @noindent
-si et seulement si cette propriété a été définie dans ce @var{contexte}
-précis.  En d'autres termes, la commande @code{\unset} doit
-impérativement affecter le même contexte que la commande @code{\set}
-d'origine, même en cas d'imbrication.
+si et seulement si cette @var{propriété} a été définie dans ce
+@var{contexte} précis.  En d'autres termes, la commande @code{\unset}
+doit impérativement affecter le même contexte que la commande
+@code{\set} d'origine, même en cas d'imbrication.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 \set Score.autoBeaming = ##t
@@ -1727,18 +1726,21 @@ d'origine, même en cas d'imbrication.
 
 Si l'on se trouve dans le contexte le plus restreint, il n'est pas
 obligatoire, là encore, de spécifier le @var{contexte}.  Ainsi, les deux
-lignes suivantes sont équivalentes.
+lignes suivantes
 
 @example
 \set Voice.autoBeaming = ##t
 \set autoBeaming = ##t
 @end example
 
+@noindent
+sont équivalentes elles apparaissent dans un contexte @code{Voice}.
+
 @cindex \once
 
 Pour modifier une propriété de façon à ce que l'accommodement ne
 s'applique qu'une seule fois, il convient d'adjoindre l'instruction
-@code{\once} à la commande @code{\set}@tie{}:
+@code{\once} à la commande @code{\set} :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 c4
@@ -1750,7 +1752,7 @@ c4
 Ici le changement de taille est annulé aussitôt après la note concernée.
 
 La référence des propriétés internes contient une description exhaustive
-de toutes les propriétés, contexte par contexte@tie{}: voir
+de toutes les propriétés, contexte par contexte : voir
 @ifhtml
 @rinternals{Tunable context properties}.
 @end ifhtml
@@ -1776,14 +1778,14 @@ Référence des propriétés internes :
 @funindex \override
 
 La commande @code{\override} permet de modifier la mise en forme des
-objets graphiques. Les descriptions d'objet graphique, dont les noms
+objets graphiques.  Les descriptions d'objet graphique, dont les noms
 commencent par une majuscule, puis comprennent une ou plusieurs
 majuscules (de style @code{TotoTata}), contiennent les réglages @qq{par
 défaut} pour les objets graphiques.  Ces réglages sont sous forme de
-liste Scheme@tie{}; on peut les consulter dans le fichier
+liste Scheme ; on peut les consulter dans le fichier
 @file{scm/define-grobs.scm}.
 
-@code{\override} est en fait un raccourci@tie{}:
+@code{\override} est en fait un raccourci :
 
 @example
 \override @var{contexte}.@var{NomObjet} #'@var{propriété} = #@var{valeur}
@@ -1804,12 +1806,11 @@ La valeur de @var{contexte}.@var{NomObjet} (une liste associative, ou
 Les objets eux-mêmes ont leurs propriétés, dont les noms, dans la
 tradition du langage Scheme, comprennent un trait d'union
 (@code{toto-titi}).  Ces propriétés internes changent constamment au
-cours de la mise en page@tie{}: en fait, la gravure d'une page n'est
-autre que le calcul de toutes ces propriétés au moyen de fonctions de
-rappel.
+cours de la mise en page : en fait, la gravure d'une page n'est autre
+que le calcul de toutes ces propriétés au moyen de fonctions de rappel.
 
 Nous pouvons donc par exemple accroître l'épaisseur des hampes en jouant
-sur la propriété @code{thickness} de l'objet @code{stem}@tie{}:
+sur la propriété @code{thickness} de l'objet @code{stem} :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 c4 c
@@ -1818,7 +1819,7 @@ c4 c
 @end lilypond
 
 Lorsqu'aucun contexte n'est spécifié dans une clause @code{\override},
-celle-ci s'appliquera au contexte le plus bas@tie{}:
+celle-ci s'appliquera au contexte le plus bas :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 { \override Staff.Stem #'thickness = #3.0
@@ -1839,7 +1840,7 @@ celle-ci s'appliquera au contexte le plus bas@tie{}:
 @funindex \revert
 
 Les effets d'un @code{\override} prennent fin à l'aide de l'instruction
-@code{\revert}@tie{}:
+@code{\revert} :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 c4
@@ -1851,7 +1852,7 @@ c4
 
 Les effets d'un @code{\override} ou d'un @code{\revert} s'appliquent dès
 l'endroit où ils apparaissent, et à tous les objets dans le contexte
-mentionné@tie{}:
+mentionné :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 {
@@ -1874,7 +1875,7 @@ mentionné@tie{}:
 
 L'instruction @code{\override} doit être précédée d'un @code{\once} dès
 lors que les effets de l'accommodement ne concernent que l'événement qui
-la suit directement@tie{}:
+la suit directement :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 {
@@ -1901,19 +1902,18 @@ ressemblent en général à
 
 @noindent
 Pour élaborer un réglage de ce type, on a besoin de connaître
-précisément@tie{}:
+précisément :
 
 @itemize
-@item le contexte@tie{}: ici @code{Voice} (la voix).
-@item l'objet à affecter@tie{}: ici @code{Stem} (les hampes).
-@item la propriété à modifier@tie{}: ici @code{thickness} (l'épaisseur
+@item le contexte : ici @code{Voice} (la voix).
+@item l'objet à affecter : ici @code{Stem} (les hampes).
+@item la propriété à modifier : ici @code{thickness} (l'épaisseur
 du trait).
-@item la valeur désirée@tie{}: ici @code{3.0} (par défaut, elle est de
-1.3).
+@item la valeur désirée : ici @code{3.0} (par défaut, elle est de 1.3).
 @end itemize
 
-Certaines @q{sous-propriétés} sont parfois contenues dans une propriété.
-La commande devient alors@tie{}:
+Certaines @qq{sous-propriétés} sont parfois contenues dans une
+propriété.  La commande devient alors :
 
 @example
 \override Stem #'(details beamed-lengths) = #'(4 4 3)
@@ -1926,7 +1926,7 @@ La commande devient alors@tie{}:
 @funindex \override
 
 Pour bien des propriétés, quel que soit le type de valeur requise,
-attribuer la valeur @q{faux} (@code{##f} en Scheme) reviendra à
+attribuer la valeur @qq{faux} (@code{##f} en Scheme) reviendra à
 désactiver complètement l'action de la propriété qui se trouve ainsi
 purement ignorée par LilyPond.  Cela peut s'avérer fort utile pour des
 propriétés causant des désagréments.
@@ -1944,6 +1944,7 @@ Référence des propriétés internes :
 
 @cindex retouche (tweak)
 @cindex affinage (tweak)
+@cindex ajustement (tweak)
 @cindex tweak (retouche, affinage)
 @funindex \tweak
 
@@ -1952,12 +1953,13 @@ objet graphique affectera toutes les instances de l'objet en question au
 sein du contexte, et ce dès son apparition.  Il peut parfois être
 préférable de n'affecter qu'un seul objet en particulier plutôt que tous
 les objets du contexte.  C'est là rôle de l'instruction @code{\tweak},
-dont la syntaxe est@tie{}:
+dont la syntaxe est :
 
 @example
-\tweak #'@code{objet-propriété} #@code{valeur}
+\tweak @var{objet-de-rendu} #'@code{objet-propriété} @code{valeur}
 @end example
 
+Mention de l'@var{objet-de-rendu} est optionnel.
 La commande @code{\tweak} s'applique à l'objet qui apparaît
 immédiatement après @code{valeur}.
 
@@ -1967,7 +1969,7 @@ objets graphiques.  Lorsqu'un objet est directement engendré par un
 élément distinct du fichier source, on peut utiliser la commande
 @code{\tweak}.
 
-Dans l'accord suivant, les notes sont modifiées une par une@tie{}:
+Dans l'accord suivant, les notes sont modifiées une par une :
 
 @lilypond[relative=2,verbatim,ragged-right]
 <
@@ -1986,10 +1988,10 @@ Comme on peut le voir, les propriétés sont ici modifiées directement
 en même temps que les objets sont saisis.  Il n'est plus besoin de
 spécifier ni le nom de l'objet (@emph{grob}), ni le contexte dans lequel
 cela doit s'appliquer.  Ce procédé ne marche que pour des objets
-directement liés aux Ã©vènements (@rinternals{Event}) du fichier source.
-Par exemple@tie{}:
+directement liés aux Ã©vénements (@rinternals{Event}) du fichier source.
+Par exemple :
 
-@itemize @bullet
+@itemize
 @item Les têtes de notes au sein d'un accord, qui sont directement
 engendrées par les hauteurs indiquées
 
@@ -2004,8 +2006,8 @@ source, mais plutôt par le changement d'une propriété interne.
 
 En fait, très peu d'objets passent @emph{directement} du code source à
 la partition. Une note toute simple, par exemple @code{c4}, fait l'objet
-d'un traitement et n'est donc pas directement rendue@tie{}; c'est
-pourquoi le code suivant ne sera d'aucun effet@tie{}:
+d'un traitement et n'est donc pas directement rendue ; c'est
+pourquoi le code suivant ne sera d'aucun effet :
 
 @example
 \tweak #'color #red c4
@@ -2023,7 +2025,7 @@ Lorsque plusieurs éléments de même nature surviennent au même instant,
 il devient impossible d'utiliser l'instruction @code{\override} pour
 n'en modifier qu'un seul individuellement, d'où l'intérêt de la commande
 @code{\tweak}.  Entre autres éléments qui sont susceptibles de se
-produire au même instant, nous citerons@tie{}:
+produire au même instant, nous citerons :
 
 @c TODO expand to include any further uses of \tweak
 @itemize
@@ -2049,7 +2051,7 @@ colorisée, et l'aspect d'une autre est changé.
 @end lilypond
 
 L'instruction @code{\tweak} permet aussi de modifier l'aspect d'une
-liaison@tie{}:
+liaison :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=1]
 c-\tweak #'thickness #5 ( d e f)
@@ -2057,29 +2059,41 @@ c-\tweak #'thickness #5 ( d e f)
 
 La commande @code{\tweak} ne sera pleinement fonctionnelle que si elle
 est directement rattachée à l'objet auquel elle doit s'appliquer alors
-que le fichier source est converti en flux musical.  LilyPond peut
-parfois être amené à ajouter d'autres éléments au flux musical lors de
-la phase d'analyse.  C'est la raison pour laquelle, puisque LilyPond
-peut insérer une note dans un accord alors qu'elle n'en fait pas partie
-explicitement, il est impératif d'adopter une construction d'accord
-lorsque l'instruction @code{\tweak} concerne une note isolée@tie{}:
+que le fichier source est converti en flux musical.  Vouloir modifier la
+globalité d'un accord est sans résultat dans la mesure où il ne
+constitue qu'un conteneur pour des événements musicaux et que tous les
+objets seront créés à partir d'événements appartenant à un
+@code{EventChord} (un événement d'accord) :
 
 @lilypond[relative=2,verbatim,quote]
 \tweak #'color #red c4
+\tweak #'color #red <c e>4
 <\tweak #'color #red c>4
 @end lilypond
 
-La commande @code{\tweak} ne saurait servir à modifier un élément qui ne
-serait pas explicitement mentionné dans le fichier source.  C'est
-notamment le cas des hampes, ligatures ou altérations, dans la mesure où
-elles seront ultérieurement générées et après les têtes de note, plutôt
-qu'au fil des éléments musicaux saisis.  La commande @code{\tweak} ne
-peut non plus servir à modifier clefs ou métriques, puisqu'elles seront
-immanquablement séparées du @code{\tweak} par l'insertion automatique
-d'autres éléments requis pour spécifier le contexte.
+La commande @code{\tweak} simple ne saurait servir à modifier un élément
+qui ne serait pas explicitement mentionné dans le fichier source.  C'est
+notamment le cas des hampes, ligatures automatiques ou altérations, dans
+la mesure où elles seront ultérieurement générées et après les têtes de
+note (objets @code{NoteHead}, plutôt qu'au fil des éléments musicaux
+saisis.
+
+De tels objets créés indirectement peuvent être ajustés que par une
+forme dévelppée de la commande @code{\tweak} :
+
+@lilypond[relative=2,verbatim,quote]
+\tweak Stem #'color #red
+\tweak Beam #'color #green c8 e
+<c e \tweak Accidental #'font-size #-3 ges>4
+@end lilypond
+
+La commande @code{\tweak} ne peut non plus servir à modifier clefs ou
+métriques, puisqu'elles seront immanquablement séparées du @code{\tweak}
+par l'insertion automatique d'autres éléments requis pour spécifier le
+contexte.
 
 Plusieurs commandes @code{\tweak} en enfilade permettent d'affecter un
-même élément de notation@tie{}:
+même élément de notation :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=1]
 c
 f'
 @end lilypond
 
-Vous pouvez examiner le flux musical généré par une portion de votre
+Vous pouvez examiner le flux musical généré par une portion d'un
 fichier source, y compris les éléments automatiquement insérés, en
 suivant les indications portées à la rubrique
 @rextend{Affichage d'expressions musicales}.  Ceci s'avère tout à fait
 approprié pour déterminer ce qui peut se modifier à l'aide d'un
-@code{\tweak} ou bien vous aider à rectifier votre source de telle sorte
+@code{\tweak} ou bien aider à rectifier votre source de telle sorte
 que le @code{\tweak} produise ses effets.
 
 @seealso
@@ -2107,14 +2121,10 @@ Manuel d'extension :
 @rextend{Affichage d'expressions musicales}.
 
 @knownissues
-@cindex tweak et identificateur
-La commande @code{\tweak} ne peut s'utiliser dans une variable.
-
-@cindex tweaks et paroles
-La commande @code{\tweak} est inopérante en mode @code{\lyricmode}.
 
 @cindex tweak et points de contrôle
 @cindex points de contrôle et tweak
+
 Lorsqu'il y a plusieurs liaisons de prolongation dans un accord, la
 commande @code{\tweak} ne s'applique qu'à la première.
 
@@ -2130,11 +2140,11 @@ Si les propriétés peuvent être modifiées de deux façons, par les
 commandes @code{\set} et @code{\override}, c'est qu'il y a deux types de
 propriétés.
 
-La propriété @code{fontSize} est une exception@tie{}: c'est un
-raccourci, qui équivaudrait à saisir @w{@code{\override @dots{}
-#'font-size}} pour tous les objets textuels.  Dans la mesure où il
-s'agit d'une manipulation très courante, une propriété spéciale a été
-créée.  Elle doit être modifiée avec la commande @code{\set}.
+La propriété @code{fontSize} est une exception : c'est un raccourci, qui
+équivaudrait à saisir @w{@code{\override @dots{} #'font-size}} pour tous
+les objets textuels.  Dans la mesure où il s'agit d'une manipulation
+très courante, une propriété spéciale a été créée.  Elle doit être
+modifiée avec la commande @code{\set}.
 
 @end ignore
 
@@ -2146,8 +2156,7 @@ créée.  Elle doit être modifiée avec la commande @code{\set}.
 Certaines propriétés configurables par l'utilisateur se présentent en
 interne comme étant des listes associatives -- les puristes diront des
 @emph{alists}.  Une @emph{alist} est en fait constituée de plusieurs
-paires de @emph{clés} et @emph{valeurs}@tie{}; sa structure ressemble
-à@tie{}:
+paires de @emph{clés} et @emph{valeurs} ; sa structure ressemble à :
 
 @example
 '((@var{clé1} . @var{valeur1})
@@ -2163,11 +2172,11 @@ peut être modifiée individuellement sans que cela n'affecte les autres.
 Par exemple, pour réduire l'espacement entre deux portées adjacentes
 d'un même système, on utilisera la propriété @code{staff-staff-spacing}
 qui est attachée à l'objet graphique @code{StaffGrouper}.  Cette
-propriété est constituée d'une liste de quatre clés@tie{}:
+propriété est constituée d'une liste de quatre clés :
 @code{basic-distance}, @code{minimum-distance}, @code{padding} et
 @code{stretchability}.  Ses réglages par défaut tels que mentionnés à la
 rubrique @emph{Backend} de la référence des propriétés internes -- voir
-@rinternals{StaffGrouper} -- sont@tie{}:
+@rinternals{StaffGrouper} -- sont :
 
 @example
 '((basic-distance . 9)
@@ -2180,7 +2189,7 @@ Afin de rapprocher nos deux portées, il suffit de réduire la valeur
 (@code{9}) de la clé @code{basic-distance} au niveau de celle de la clé
 @code{minimum-distance} (@code{7}).  La modification d'une seule clé
 individuellement peut se réaliser sous la forme d'une @emph{déclaration
-imbriquée}@tie{}:
+imbriquée} :
 
 @lilypond[quote,verbatim]
 % default space between staves
@@ -2208,7 +2217,7 @@ plus proche possible les unes des autres, à la limite du chevauchement.
 Il suffirait de mettre les quatre clés à zéro.  Nous pourrions saisir
 quatre déclarations, chacune d'elles touchant une clé.  Nous pouvons
 tout aussi bien redéfinir la propriété en une seule clause, sous la
-forme d'une liste associative@tie{}:
+forme d'une liste associative :
 
 @lilypond[quote,verbatim]
 \new PianoStaff \with {
@@ -2244,16 +2253,15 @@ non mentionnées seront ramenées à zéro -- à l'exception de
 
 L'une des conséquences, parfois involontaire, de ceci est la suppression
 de réglages standards effectués par un fichier d'initialisation chargé à
-chaque compilation de votre fichier source.  Dans l'exemple précédent,
-les réglages standards de @code{padding} et @code{minimum-distance},
-tels que déterminés par @file{scm/define-grobs.scm}, se voient ramenés à
-leur valeur @emph{si-non-définie}@tie{}; autrement dit, les deux clés
-sont mises à zéro.  La définition d'une propriété ou d'une variable sous
-forme de liste associative, quelle qu'en soit la taille, réinitialisera
-toujours les clés non mentionnées à leur valeur @emph{si-non-définie}.
-Si telle n'est pas votre intention, nous vous recommandons alors de
-régler la valeur des clés individuellement par des déclarations
-imbriquées.
+chaque compilation d'un fichier source.  Dans l'exemple précédent, les
+réglages standards de @code{padding} et @code{minimum-distance}, tels
+que déterminés par @file{scm/define-grobs.scm}, se voient ramenés à leur
+valeur @emph{si-non-définie} ; autrement dit, les deux clés sont mises à
+zéro.  La définition d'une propriété ou d'une variable sous forme de
+liste associative, quelle qu'en soit la taille, réinitialisera toujours
+les clés non mentionnées à leur valeur @emph{si-non-définie}.  Si telle
+n'est pas votre intention, nous vous recommandons alors de régler la
+valeur des clés individuellement par des déclarations imbriquées.
 
 @warning{Les déclarations imbriquées ne sont pas fonctionnelles dans le
 cas des listes associatives des propriétés de contexte -- telles
@@ -2330,7 +2338,7 @@ Notes ou accords saisis en mode note puis affectés à un contexte
 voir @ref{Tablatures par défaut}.
 
 Deux options différentes permettent d'obtenir des diagrammes de fret en
-surplomb d'une portée@tie{}: directement à l'aide d'un contexte
+surplomb d'une portée : directement à l'aide d'un contexte
 @code{FretBoards} -- voir @ref{Tablatures automatiques} -- ou en
 attachant aux notes des @emph{markups} créés par la commande
 @code{\fret-diagram} -- voir @ref{Tablatures sous forme d'étiquette}.
@@ -2359,7 +2367,7 @@ voir @rusernamed{Text markup commands,Commandes pour le mode markup}.
 
 Le mode notes est le mode par défaut dans LilyPond.  Il peut aussi
 s'activer par la commande @code{\notemode}.  Les saisies seront
-interprétées comme étant des hauteurs, durées, @emph{markups}, etc. qui
+interprétées comme étant des hauteurs, durées, @emph{markups} etc. qui
 seront rendues sous forme de notation musicale sur une portée.
 
 Nul n'est besoin de spécifier le mode notes de manière explicite, hormis
@@ -2369,7 +2377,7 @@ un élément qui ne serait disponible que grâce à la syntaxe du mode
 notes.
 
 Il en va ainsi lorsque, par exemple, vous voulez ajouter une indication
-de nuance au numéro de couplet d'un chant choral@tie{}:
+de nuance au numéro de couplet d'un chant choral :
 
 @lilypond[verbatim,relative=2,quote]
 { c4 c4 c4 c4 }
@@ -2409,12 +2417,12 @@ alterneront selon l'orientation des hampes (liaisons ou accents).
 Le positionnement par défaut peut être outrepassé à l'aide d'un
 @emph{indicateur de positionnement}, qui vient s'insérer juste avant
 l'articulation.  LilyPond met à votre disposition trois indicateurs de
-positionnement@tie{}: @code{^} (pour @qq{au-dessus}), @code{_} (pour
+positionnement : @code{^} (pour @qq{au-dessus}), @code{_} (pour
 @qq{au-dessous}), et @code{-} (pour @qq{appliquer le positionnement par
-défaut}).  L'indicateur de positionnement n'est pas obligatoire@tie{};
+défaut}).  L'indicateur de positionnement n'est pas obligatoire ;
 LilyPond considère alors qu'il y a un @code{-}.  Un indicateur de
 positionnement est cependant @strong{obligatoire} dans les cas
-suivants@tie{}:
+suivants :
 
 @itemize
 @item une commande @code{\tweak},
@@ -2426,7 +2434,7 @@ suivants@tie{}:
 @w{@code{->}} ou @w{@code{--}}.
 @end itemize
 
-Les indicateurs de positionnement n'affectent que la note qui suit@tie{}:
+Les indicateurs de positionnement n'affectent que la note qui suit :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=2]
 c2( c)
@@ -2440,14 +2448,14 @@ c2^( c)
 Le positionnement ou l'orientation de nombreux objets de rendu sont
 gérés par la propriété @code{direction}.
 
-La propriété @code{direction} peut prendre la valeur @code{1}, qui
+La propriété @code{direction} peut prendre la valeur @code{1}, qui
 signifie @qq{ascendant} ou @qq{au-dessus}, ou @w{@code{-1}}, qui
 signifie @qq{descendant} ou @qq{au-dessous}.  Les symboliques @code{UP}
 et @code{DOWN} peuvent remplacer respectivement @code{1} et
 @w{@code{-1}}.  Les valeurs @code{0} ou @code{CENTER} permettent de
 réaffecter à la propriété @code{direction} son comportement par défaut.
 Certaines commandes prédéfinies permettent par ailleurs de spécifier un
-comportement en matière d'orientation ou positionnement@tie{}; elles
+comportement en matière d'orientation ou positionnement ; elles
 sont de la forme
 
 @example
@@ -2513,14 +2521,14 @@ Manuel de notation :
 @funindex \in
 @funindex \pt
 
-LilyPond considère deux types de distances@tie{}: les distances absolues
+LilyPond considère deux types de distances : les distances absolues
 et les distances relatives ou extensibles.
 
 Les distances absolues permettent de spécifier les marges, indentations
-et autres détails de mise en page@tie{}; elles s'expriment par défaut en
+et autres détails de mise en page ; elles s'expriment par défaut en
 millimètres.  Vous pouvez utiliser d'autres systèmes de mesure, dès lors
-que la quantité est suivie de la mesure@tie{}: @code{\mm}, @code{\cm},
-@code{\in}@tie{}(pouces) ou @code{\pt}@tie{}(points, 1/72,27 pouce).
+que la quantité est suivie de la mesure : @code{\mm}, @code{\cm},
+@code{\in} (pouces) ou @code{\pt} (points, 1/72,27 pouce).
 Les mesures de mise en page peuvent aussi s'exprimer en unité extensible
 de portée @code{\staff-space} (voir ci-après).  Pour plus d'information
 concernant la mise en page, voir la rubrique
@@ -2552,7 +2560,6 @@ d'adapter une modification du @code{staff-space} aux fontes.  Pour de
 plus amples informations, reportez-vous à la rubrique
 @rlearning{Longueur et épaisseur des objets}.
 
-
 @seealso
 Manuel d'initiation :
 @rlearning{Longueur et épaisseur des objets}.
@@ -2638,18 +2645,18 @@ longueur dépend d'autres considérations.  Voici quelques exemples de
 mise en œuvre de cette propriété.
 
 @ignore
-Cette propriété est pleinement fonctionnelle pour @tie{}:
+Cette propriété est pleinement fonctionnelle pour :
   Tie (liaison de prolongation)
   MultiMeasureRest (silence multimesures)
   Hairpin (soufflet)
   Slur (liaison d'articulation)
   PhrasingSlur (liaison de phrasé)
 
-Cette propriété est fonctionnelle en présence d'un @emph{callback}@tie{}:
+Cette propriété est fonctionnelle en présence d'un @emph{callback} :
   Glissando
   Beam (ligature)
 
-Cette propriété est sans effet sur@tie{}:
+Cette propriété est sans effet sur :
   LyricSpace
   LyricHyphen
   LyricExtender
@@ -2703,7 +2710,7 @@ Certains objets requièrent un appel explicite à la procédure
 produise ses effets.  La propriété @code{set-spacing-rods} doit alors
 prendre pour valeur @code{ly:spanner::set-spacing-rods}. Par exemple, la
 longueur minimale d'un glissando ne pourra être forcée tant que la
-propriété @code{springs-and-rods} n'est pas définie@tie{}:
+propriété @code{springs-and-rods} n'est pas définie :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=1]
 % default
@@ -2719,7 +2726,7 @@ e, \glissando c'
 e, \glissando c'
 @end lilypond
 
-Il en va de même pour l'objet @code{Beam} (ligature)@tie{}:
+Il en va de même pour l'objet @code{Beam} (ligature) :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=1]
 % not effective alone
@@ -2740,7 +2747,7 @@ les soufflets et autres extenseurs finissant sur la première note d'une
 mesure s'arrêtent visuellement au niveau de la barre de mesure qui la
 précède.  Le fait de désactiver la propriété @code{to-barline} aura pour
 effet de prolonger l'extenseur au delà de la barre de mesure et jusqu'à
-la note qui le borne@tie{}:
+la note qui le borne :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=2]
 a \< a a a a \! a a a \break
@@ -2749,15 +2756,16 @@ a \< a a a a \! a a a
 @end lilypond
 
 Cette propriété n'est pas opérationnelle pour tous les extenseurs.  Il
-serait en effet quelque peu surprenant de l'activer (lui affecter
-@code{#t}) dans le cas d'une liaison d'articulation ou de phrasé@tie{}!
+serait en effet quelque peu surprenant de l'activer (lui
+affecter @code{#t}) dans le cas d'une liaison d'articulation ou de
+phrasé !
 
 
 @unnumberedsubsubsec Utilisation de @code{line-spanner-interface}
 @translationof Using the @code{line-spanner-interface}
 
 Un certain nombre d'objets disposent de la propriété
-@code{line-spanner-interface}, entre autres@tie{}:
+@code{line-spanner-interface}, entre autres :
 
 @itemize
 @item @code{DynamicTextSpanner}
@@ -2774,7 +2782,7 @@ localisation des deux bornes de l'extenseur soit calculée à la volée,
 vous pouvez cependant forcer leur ordonnée (coordonnée-Y).  Les
 propriétés que vous devrez ajuster résident au deuxième niveau dans la
 hiérarchie, mais la syntaxe de la commande @code{\override} nécessaire
-demeure relativement simple@tie{}:
+demeure relativement simple :
 
 @lilypond[relative=2,quote,verbatim]
 e2 \glissando b
@@ -2795,7 +2803,7 @@ la position verticale du point d'attachement de l'extenseur.
 Dans le cas où l'extenseur est interrompu par un saut de ligne, les
 terminaisons à cet endroit se gèrent grâce aux sous-clés
 @code{left-broken} et @code{right-broken} de @code{bound-details}, comme
-ci-dessous@tie{}:
+ci-dessous :
 
 @lilypond[relative=2,ragged-right,verbatim,quote]
 \override Glissando #'breakable = ##t
@@ -2805,8 +2813,7 @@ f1
 @end lilypond
 
 Les sous-propriétés @code{left} et @code{right} du @code{bound-details}
-disposent d'autres clés modifiables de la même manière que
-@code{Y}@tie{}:
+disposent d'autres clés modifiables de la même manière que @code{Y} :
 
 @table @code
 @item Y
@@ -2816,7 +2823,7 @@ portée.  Il s'agit par défaut du centre de l'objet d'attachement, qui
 est le centre vertical de la tête de note pour un glissando.
 
 En ce qui concerne les extenseurs horizontaux, tels ceux comportant du
-texte ou les trilles, il est fixé à@tie{}@code{0}.
+texte ou les trilles, il est fixé à @code{0}.
 
 @item attach-dir
 Détermine le début et la fin de la ligne sur l'axe des abscisses,
@@ -2848,9 +2855,9 @@ c2\startTextSpan b c a\stopTextSpan
 @item stencil-offset
 Lorsqu'aucune de ces deux sous-propriétés n'est définie, le stencil est
 simplement positionné à l'extrémité, centré sur la ligne telle que
-définie par les sous-propriétés @code{X} et @code{Y}.  L'utilisation de
+définie par les sous-propriétés @code{X} et @code{Y}.  L'utilisation de
 @code{stencil-align-dir-y} ou @code{stencil-offset} permettra d'aligner
-le symbole verticalement par rapport au coin de la ligne@tie{}:
+le symbole verticalement par rapport au coin de la ligne :
 
 @lilypond[relative=1,quote,verbatim]
 \override TextSpanner
@@ -2869,11 +2876,11 @@ Vous n'aurez pas manqué de constater qu'une valeur négative place le
 texte @emph{en haut} -- contrairement à ce que l'on serait en droit
 d'attendre.  Ceci est dû au fait que la valeur @w{@code{-1}} ou
 @code{DOWN} signifie @qq{aligner le bord @emph{inférieur} du texte sur
-la ligne d'extension}.  Une valeur égale à@tie{}@code{1} ou @code{UP}
+la ligne d'extension}.  Une valeur égale à @code{1} ou @code{UP}
 alignera le sommet du texte sur cette ligne d'extension.
 
 @item arrow
-L'activation de cette sous-propriété (lui affecter @code{#t}) ajoutera
+L'activation de cette sous-propriété (lui affecter @code{#t}) ajoutera
 à l'extenseur une terminaison en flèche.
 
 @item padding
@@ -2918,7 +2925,7 @@ Référence des propriétés internes :
 @cindex visibilité d'objets
 
 La visibilité des objets de rendu se contrôle de quatre façons
-différentes@tie{}: vous pouvez supprimer leur stencil, les rendre
+différentes : vous pouvez supprimer leur stencil, les rendre
 transparents, les coloriser en blanc ou bien encore forcer leur
 propriété @code{break-visibility}.  Les trois premières options peuvent
 s'appliquer à tous les objets, la dernière étant réservée aux objets
@@ -2927,7 +2934,7 @@ ces quatre techniques, à la rubrique
 @rlearning{Visibilité et couleur des objets}.
 
 LilyPond met en œuvre quelques techniques particulières adaptées à
-certains objets@tie{}; elles sont couvertes par une rubrique spécifique.
+certains objets ; elles sont couvertes par une rubrique spécifique.
 
 @menu
 * Suppression des stencils::
@@ -2947,7 +2954,7 @@ certains objets@tie{}; elles sont couvertes par une rubrique spécifique.
 Tout objet de rendu se voit attribuer une propriété @code{stencil}.
 Elle est par défaut définie par la fonction chargée de dessiner cet
 objet.  Lorsque cette propriété est désactivée de force -- en lui
-attribuant la valeur @code{#f} -- aucune fonction ne sera appelée@tie{};
+attribuant la valeur @code{#f} -- aucune fonction ne sera appelée ;
 l'objet ne sera donc pas dessiné.  Le retour au comportement par défaut
 s'opère à l'aide d'un @code{\revert}.
 
@@ -2967,7 +2974,7 @@ a a a
 @cindex transparent, objet
 
 Tout objet de rendu dispose d'une propriété de transparence, qui est par
-défaut définie à @code{#f}.  Le fait de l'activer rendra l'objet
+défaut définie à @code{#f}.  Le fait de l'activer rendra l'objet
 transparent tout en préservant la place qu'il occupe.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
@@ -2995,7 +3002,7 @@ Tout objet de rendu dispose d'une propriété couleur, par défaut définie
 rendra l'objet indistinct du fond blanc.  Néanmoins, lorsque cet objet
 en recouvre d'autres, la couleur de leurs points de jonction dépendra de
 l'ordre dans lequel ils sont dessinés, ce qui peut laisser apparaître
-un fantôme de l'objet blanchi comme ci-dessous@tie{}:
+un fantôme de l'objet blanchi comme ci-dessous :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 \override Staff.Clef #'color = #white
@@ -3008,13 +3015,13 @@ objets sont dessinés.  Chaque objet de rendu dispose d'une propriété
 Les objets ayant la plus faible valeur sont dessinés en premier, puis
 les autres, de telle sorte qu'un objet ayant une valeur plus élevée les
 recouvrira.  La plupart des objet ont un @code{layer} valorisé
@tie{}@code{1} -- quelques uns, dont @code{StaffSymbol} et
-@code{BarLine}, ont une valeur à@tie{}@code{0}.  L'ordre d'impression
 @code{1} -- quelques uns, dont @code{StaffSymbol} et
+@code{BarLine}, ont une valeur à @code{0}.  L'ordre d'impression
 d'objets ayant une même valeur de @code{layer} est indéterminé.
 
 La clef de l'exemple précédent a par défaut un @code{layer}
@tie{}@code{1}@tie{}; elle est donc dessinée après les lignes de la
-portée -- @code{layer} valorisé par défaut à@tie{}@code{0} -- et donc
 @code{1} ; elle est donc dessinée après les lignes de la
+portée -- @code{layer} valorisé par défaut à @code{0} -- et donc
 les recouvre.  Pour changer cet état de fait, l'objet @code{Clef} doit
 avoir un @code{layer} de valeur inférieure, disons @w{@code{-1}}, pour
 pouvoir être dessiné avant.
@@ -3030,16 +3037,18 @@ a1
 @unnumberedsubsubsec Utilisation de break-visibility
 @translationof Using break-visibility
 
+@c TODO Add making other objects breakable
+
 @cindex break-visibility
 
-La plupart des objets de rendu ne sont imprimés qu'une seule fois@tie{};
+La plupart des objets de rendu ne sont imprimés qu'une seule fois ;
 certains cependant, tels les barres de mesure, clefs, métriques ou
 armures, apparaîtront deux fois lors d'un saut de ligne -- une première
 fois en fin de ligne, puis à nouveau au début de la ligne suivante.  Ces
 objets, que l'on peut traiter de @emph{changeables} (@emph{breakable} en
 anglais) disposent de la propriété @code{break-visibility} spécialement
 chargée de contrôler leur visibilité aux trois endroits où il sont
-susceptibles d'apparaître@tie{}: en début de ligne, en cours de ligne ou
+susceptibles d'apparaître : en début de ligne, en cours de ligne ou
 en fin de ligne -- si tant est qu'un changement s'y produise.
 
 Par exemple, la métrique est imprimée par défaut au début de la première
@@ -3059,7 +3068,7 @@ saut de ligne, et après un saut de ligne.
 
 Les huit combinaisons possibles sont aussi disponibles sous la forme de
 fonctions prédéfinies, regroupées dans le fichier
-@file{scm/output-lib.scm}.  Le tableau suivant vous les présente@tie{};
+@file{scm/output-lib.scm}.  Le tableau suivant vous les présente ;
 les trois dernières colonnes indiquent l'endroit où l'objet sera visible.
 
 @multitable {@code{begin-of-line-invisible}} {@code{'#(#t #t #t. )}} {apres} {apres} {apres}
@@ -3107,7 +3116,7 @@ ces réglages par défaut.
 @end multitable
 
 Voici un exemple d'utilisation de la forme vectorielle pour contrôler la
-visibilité des barres de mesure@tie{}:
+visibilité des barres de mesure :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1,ragged-right]
 f4 g a b
@@ -3122,13 +3131,13 @@ f4 g a b
 Lors d'un forçage de @code{break-visibility} sous une forme vectorielle,
 les trois éléments doivent impérativement être mentionnés.  Ces formes
 vectorielles ne sont d'ailleurs pas prises en charge par tous les objets
-de rendu, et certaines combinaisons peuvent entraîner des erreurs@tie{};
-nous citerons entre autres@tie{}:
+de rendu, et certaines combinaisons peuvent entraîner des erreurs ;
+nous citerons entre autres :
 
 @itemize @bullet
 @item Une barre de mesure ne peut s'imprimer en début de ligne.
 @item Un numéro de mesure ne peut apparaître au début de la première
-ligne, à moins d'être différent de@tie{}1.
+ligne, à moins d'être différent de 1.
 @item Clef -- voir ci-après.
 @item Les répétitions en pourcentage sont soit toutes imprimées, soit
 aucune.  Vous devrez utiliser @code{begin-of-line-invisible} pour les
@@ -3176,11 +3185,11 @@ Leur fonctionnement est en tout point identique à celui de la propriété
 @code{break-visibility} -- forme vectorielle à trois éléments ou forme
 fonctionnelle comme indiqué ci-avant.  Toutes deux sont attachées au
 contexte @code{Staff} (la portée) et non directement aux objets de
-rendu@tie{}; elles sont de ce fait introduites par une instruction
+rendu ; elles sont de ce fait introduites par une instruction
 @code{\set}.  Leur valeur par défaut est de toujours imprimer les objets
 -- réglage sur @code{all-visible}.  Ces deux propriétés gèrent
 uniquement la visibilité des armures et clefs lors d'un changement
-explicite, et en dehors d'un début de ligne@tie{}; il faudra en pareil
+explicite, et en dehors d'un début de ligne ; il faudra en pareil
 cas forcer la @code{break-visibility} de ces objets pour les supprimer.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1,ragged-right]
@@ -3198,7 +3207,7 @@ f4 g a b
 
 L'impression d'altérations de précaution au moment d'un changement
 explicite de tonalité sera annulée dès lors que vous aurez désactivé la
-propriété @code{printKeyCancellation} du contexte @code{Staff}@tie{}:
+propriété @code{printKeyCancellation} du contexte @code{Staff} :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1,ragged-right]
 \key g \major
@@ -3224,7 +3233,7 @@ permettront d'indiquer le changement de tonalité.
 
 La désactivation de la propriété @code{automaticBars}, qui réside dans
 le contexte @code{Score}, permet de s'affranchir d'imprimer
-automatiquement les barres de mesure@tie{}; seules seront imprimées les
+automatiquement les barres de mesure ; seules seront imprimées les
 barres explicitées à l'aide de la commande @code{\bar}.  Néanmoins, et
 contrairement à ce qui se passe avec la commande @code{\cadenzaOn}, le
 compteur de numéro de mesure continuera de s'incrémenter.  Les barres
@@ -3266,7 +3275,7 @@ forme d'un texte qui peut s'étendre sur plusieurs mesures à l'aide d'une
 ligne parfois pointillée ou ondulée.
 
 En matière de dessin du texte et des lignes, ces indications font appel
-aux mêmes routines que le glissando@tie{}; leur comportement peut donc
+aux mêmes routines que le glissando ; leur comportement peut donc
 être affiné selon les mêmes préceptes, au moyen de la routine
 @code{ly:line-interface::print} qui est tout spécialement chargée de
 dessiner les extenseurs.  Cette routine détermine l'emplacement exact
@@ -3289,7 +3298,7 @@ d,2 \glissando d'2
 @end lilypond
 
 Les points d'ancrage de l'extension sont calculés à la volée pour chaque
-objet graphique, mais rien ne vous empêche de les forcer@tie{}:
+objet graphique, mais rien ne vous empêche de les forcer :
 
 @c TODO Complete
 @lilypond[relative=2,ragged-right,verbatim,quote]
@@ -3331,7 +3340,7 @@ que vous désirez manipuler.
 
 Tout objet de rendu disposant de la @code{grob-interface} est
 susceptible de pivoter, grâce à la propriété @code{rotation}.  Celle-ci
-prend en argument une liste de trois éléments@tie{}: l'angle de rotation
+prend en argument une liste de trois éléments : l'angle de rotation
 -- dans le sens inverse des aiguilles d'une montre -- ainsi que les
 coordonnées @code{x} et @code{y} du point appartenant à l'objet en
 question et à partir duquel doit s'effectuer cette rotation.  L'angle
@@ -3342,7 +3351,7 @@ L'angle et les coordonnées ne peuvent se déterminer que par tâtonnement.
 @cindex soufflet penché
 
 Il existe assez peu de situation où faire pivoter un objet de mise en
-forme soit réellement opportun@tie{}; en voici une@tie{}:
+forme soit réellement opportun ; en voici une :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1]
 g4\< e' d' f\!
@@ -3357,18 +3366,14 @@ g,,4\< e' d' f\!
 
 Tout texte faisant l'objet d'un @emph{markup} peut pivoter selon
 n'importe quel angle, à l'aide de la commande @code{\rotate}.  Celle-ci
-prend deux arguments@tie{}: l'angle de rotation exprimé en degrés --
+prend deux arguments : l'angle de rotation exprimé en degrés --
 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre -- et le texte à
-basculer.
-@c ne vois comment traduire -jcm
-@ignore
-The extents of the text are not rotated: they take
-their values from the extremes of the x and y coordinates of the
-rotated text.
-@end ignore
-Dans l'exemple ci-dessous, la propriété @code{outside-staff-priority} à
-été fixée à @code{#f} afin de désactiver l'évitement automatique des
-collisions qui pourrait repousser certains textes trop haut.
+basculer.  Il ne s'agit pas ici de faire pivoter les extrémités du
+texte ; celles-ci récupéreront leurs coordonnées x et y du@emph{markup}
+pivoté.  Dans l'exemple ci-dessous, la propriété
+@code{outside-staff-priority} à été fixée à @code{#f} afin de désactiver
+l'évitement automatique des collisions qui pourrait repousser certains
+textes trop haut.
 
 @c KEEP LY
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1]
@@ -3439,14 +3444,14 @@ supérieur -- l'écart vers le bas étant négatif.
 La position d'un objet sur la portée est donnée par la valeur des
 propriétés @code{X-offset} et @code{Y-offset}.  La valeur de
 @code{X-offset} indique l'écart en abscisse (coordonnée X) par rapport
-au point de référence de l'objet parent@tie{}; la valeur de
+au point de référence de l'objet parent ; la valeur de
 @code{Y-offset} indique l'écart par rapport à la ligne médiane de la
 portée.  Les valeurs de @code{X-offset} et @code{Y-offset} peuvent être
 fournies arbitrairement, ou bien être calculé par des procédures
 spécifiques qui détermineront l'alignement par rapport à l'objet parent.
 
 @warning{Nombre d'objets sont affectés par des considérations
-spécifiques en matière de positionnement@tie{}; jouer sur les valeurs de
+spécifiques en matière de positionnement ; jouer sur les valeurs de
 @code{X-offset} ou @code{Y-offset} se révélera inefficace en pareil
 cas, même si l'objet dispose de la @code{self-alignment-interface}.
 Fixer arbitrairement les propriétés @code{X-offset} ou @code{Y-offset}
@@ -3454,7 +3459,7 @@ annihilera alors les effets de la propriété @code{self-alignment}
 correspondante.}
 
 Par exemple, une altération peut se repositionner verticalement grâce à
-son @code{Y-offset}@tie{}; toute modification de son @code{X-offset}
+son @code{Y-offset} ; toute modification de son @code{X-offset}
 restera par contre sans effet.
 
 Les indications de repère s'alignent sur des objets de rupture -- tels
@@ -3511,13 +3516,13 @@ Un objet disposant de la @code{side-position-interface} peut se voir
 accolé à son voisin de telle sorte que les bords des deux objets se
 touchent.  Un tel objet peut se positionner au-dessus, en dessous, à
 droite ou à gauche de son parent.  Ce parent ne saurait être
-stipulé@tie{}; il est déterminé par l'ordre d'apparition des éléments
+stipulé ; il est déterminé par l'ordre d'apparition des éléments
 dans le flux des saisies.  La plupart de ces objets ont pour parent une
 tête de note.
 
 Les valeurs des propriétés @code{side-axis} et @code{direction}
 détermineront l'endroit où viendra se positionner l'objet, selon les
-préceptes suivants@tie{}:
+préceptes suivants :
 
 @c TODO add an example of each to the table
 
@@ -3561,18 +3566,18 @@ cet objet engage la procédure
 La propriété @code{self-alignment-X} peut contenir un nombre réel,
 l'unité de base étant la moitié de l'étendue horizontale de l'objet.
 Une valeur négative décalera l'objet vers la droite, une valeur positive
-vers la gauche.  La valeur@tie{}@code{0} permet de centrer l'objet sur
-le point de référence de son parent.  Une valeur de@tie{}@w{@code{-1}}
+vers la gauche.  La valeur @code{0} permet de centrer l'objet sur
+le point de référence de son parent.  Une valeur de @w{@code{-1}}
 alignera le bord gauche de l'objet sur le point de référence de son
-parent, et une valeur de@tie{}@code{1} alignera le bord droit de l'objet
+parent, et une valeur de @code{1} alignera le bord droit de l'objet
 sur le point de référence de son parent.  Les valeurs symboliques
 @code{LEFT}, @code{CENTER} et @code{RIGHT} correspondent respectivement
@tie{}@w{@code{-1}}, @code{0} et @code{1}.
 @w{@code{-1}}, @code{0} et @code{1}.
 
 En règle générale, la valeur de @code{self-alignment-X} se modifie à
 l'aide d'une commande @code{\override}.  Le recours à la commande
 @code{\tweak} permet de traiter séparément plusieurs annotations
-affectées à une même note@tie{}:
+affectées à une même note :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1]
 a'
@@ -3589,7 +3594,7 @@ a'
 
 @emph{Réalignement d'objets verticalement}
 
-L'alignement vertical suit le même principe@tie{}: la propriété
+L'alignement vertical suit le même principe : la propriété
 @code{Y-offset} doit alors engager la procédure
 @code{ly:self-alignment-interface::y-aligned-on-self}.  Toutefois, il
 arrive bien souvent que d'autres mécanismes interviennent dans
@@ -3597,15 +3602,15 @@ l'alignement vertical.  La valeur de @code{Y-offset} n'étant que
 l'une des variables qui seront prises en compte, l'ajustement pour
 certains objets peut se révéler fastidieux.  L'unité de base est
 relativement réduite, puisqu'elle est de la moitié de l'étendue
-verticale de l'objet@tie{}; le nombre à fournir en argument pourrait
-donc être relativement élevé.  Une valeur de@tie{}@w{@code{-1}}
+verticale de l'objet ; le nombre à fournir en argument pourrait
+donc être relativement élevé.  Une valeur de @w{@code{-1}}
 alignera le bord inférieur de l'objet sur le point de référence de son
-parent, et une valeur de@tie{}@code{1} alignera le bord supérieur de
+parent, et une valeur de @code{1} alignera le bord supérieur de
 l'objet sur le point de référence de son parent.  La
-valeur@tie{}@code{0} permet de centrer l'objet sur le point de référence
+valeur @code{0} permet de centrer l'objet sur le point de référence
 de son parent.  Les valeurs symboliques @code{DOWN}, @code{CENTER} et
-@code{UP} correspondent respectivement à@tie{}@w{@code{-1}}, @code{0} et
-@code{1}.
+@code{UP} correspondent respectivement à @w{@code{-1}}, @code{0}
+et @code{1}.
 
 
 @emph{Réalignement d'objets sur les deux axes}
@@ -3670,7 +3675,7 @@ nous citerons @code{ambitus}, @code{breathing-sign}, @code{clef},
 @code{key-cancellation}, @code{key-signature}, et @code{time-signature}.
 
 Ces indications et numéros de mesure sont par défaut centrés
-horizontalement au-dessus de l'objet@tie{}:
+horizontalement au-dessus de l'objet :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=1]
 % The rehearsal mark will be centered above the Clef
@@ -3780,13 +3785,13 @@ e1
 @c TODO Expand this section
 
 Les objets @code{VerticalAlignment} et @code{VerticalAxisGroup}
-travaillent de concert.  Comme leurs noms anglais l'indiquent,
+travaillent de concert.  Comme leur nom anglais l'indiquent,
 @code{VerticalAxisGroup} regroupe différents objets tels que les portées
-(@code{Staff}), les paroles (@code{Lyrics}) et ainsi de suite@tie{};
+(@code{Staff}), les paroles (@code{Lyrics}) et ainsi de suite ;
 puis @code{VerticalAlignment} synchronise verticalement ces différents
 groupes.  En général, il n'y a qu'un seul @code{VerticalAlignment} pour
 l'ensemble de la partition, mais chaque contexte @code{Staff},
-@code{Lyrics}, etc. possède son propre @code{VerticalAxisGroup}.
+@code{Lyrics} etc. possède son propre @code{VerticalAxisGroup}.
 
 
 @node Modification des stencils
@@ -3815,7 +3820,7 @@ vous pourrez parvenir à bien des choses -- voir à ce sujet
 @ref{Éléments graphiques dans du texte formaté}.
 
 C'est la technique employée ici, où l'une des têtes de note est
-remplacée par une croix inscrite dans un cercle@tie{}:
+remplacée par une croix inscrite dans un cercle :
 
 @lilypond[verbatim,quote]
 XinO = {
@@ -3873,7 +3878,7 @@ cette courbe.
 
 Quatre points définissent une courbe de Bézier cubique. Les premier et
 quatrième points sont les points de départ et d'arrivée de la
-courbe@tie{}; les deux autres points de contrôle -- P1 et P2 -- en
+courbe ; les deux autres points de contrôle -- P1 et P2 -- en
 détermineront l'allure.  La courbe se trace en partant du point P0, en
 se dirigeant vers P1 et en arrivant au point P3 selon la direction
 @w{P2-P3}.  La courbe est à l'intérieur de l'enveloppe convexe des
@@ -3895,14 +3900,14 @@ manuellement ses quatre points de contrôle.
 
 Les coordonnées des points de contrôle sont données en unités d'espace
 de portée.  L'abscisse est relative au point de référence de la note de
-départ de la liaison@tie{}; l'ordonnée est relative à la ligne médiane
+départ de la liaison ; l'ordonnée est relative à la ligne médiane
 de la portée.  Les différentes coordonnées sont entrées sous la forme
 d'une liste de quatre paires de nombres décimaux (ou nombres réels).
 L'une des manières de procéder consiste à tout d'abord estimer les
 coordonnées des deux extrémités puis, par tâtonnement, déterminer les
 deux points intermédiaires.
 
-Remarque intéressante au sujet des courbes@tie{}: une courbe sera
+Remarque intéressante au sujet des courbes : une courbe sera
 symétrique si ses points de contrôle sont symétriques.  L'une des
 propriétés avantageuses des courbes de Bézier est que leur
 transformation -- déplacement, rotation ou échelonnement -- est
@@ -3911,7 +3916,7 @@ contrôle.
 
 Pour l'exemple qui nous occupe, l'adaptation suivante nous permet
 d'obtenir un résultat plutôt satisfaisant.  Notez bien l'endroit où
-cette adaptation est stipulée@tie{}: juste avant la note de départ de la
+cette adaptation est stipulée : juste avant la note de départ de la
 liaison.
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=1]
@@ -3954,13 +3959,13 @@ particulièrement les composantes @code{Y-offset} et @code{Y-extent} -- à
 l'aide d'une fonction scheme en lieu et place de valeurs.
 
 L'envergure verticale (@code{Y-extent}) de certains objets dépend de la
-propriété @code{stencil}@tie{}; jouer sur leur stencil requiert alors une
+propriété @code{stencil} ; jouer sur leur stencil requiert alors une
 intervention supplémentaire au niveau du @code{Y-extent} à l'aide d'un
 conteneur transitoire.  Lorsqu'une fonction affecte un @code{Y-offset} ou
 un @code{Y-extent}, cela déclenche la détermination des sauts de ligne
 de manière anticipée dans la séquence des traitements.  Il en résulte
-que cette opération n'est en fait pas exécutée@tie{}; elle renvoie
-habituellement @code{0} ou @code{'(0 . 0)}, ce qui peut engendrer des
+que cette opération n'est en fait pas exécutée ; elle renvoie
+habituellement @code{0} ou @code{'(0 . 0)}, ce qui peut engendrer des
 collisions.  Une fonction @qq{pure} évitera d'avorter la construction
 des propriétés ou objets, qui de ce fait verront leurs arguments liés à
 la verticalité (@code{Y-axis}) correctement évalués.
@@ -3974,7 +3979,7 @@ La fonction @qq{impure} sera ensuite évaluée @strong{après} le
 positionnement des sauts de ligne.
 
 @warning{Il n'est pas toujours facile d'avoir l'assurance qu'une
-fonction soit qualifiée de @qq{pure}@tie{}; aussi nous vous recommandons
+fonction soit qualifiée de @qq{pure} ; aussi nous vous recommandons
 d'éviter d'utiliser les objets @code{Beam} or @code{VerticalAlignment}
 lorsque vous désirez en créer une.}
 
@@ -3982,10 +3987,10 @@ Un conteneur requalifiant se construit selon la syntaxe
 
 @code{(ly:make-unpure-pure-container f0 f1)}
 
-où @code{f0} est une fonction prenant @var{n} arguments (@var{n >= 1}),
-le premier devant être l'objet en question@tie{}; il s'agit de la
+où @code{f0} est une fonction prenant @var{n} arguments (@var{n_>=_1}),
+le premier devant être l'objet en question ; il s'agit de la
 fonction dont le résultat sera réutilisé.  @var{f1} est la fonction qui
-sera qualifiée de @qq{pure}.  Elle prend @var{n + 2} arguments, le
+sera qualifiée de @qq{pure}.  Elle prend @var{n_+_2} arguments, le
 premier devant être lui aussi l'objet en question, et les second et
 troisième étant respectivement les @qq{point de départ} (@var{start}) et
 @qq{point d'arrivée} (@var{end}).
@@ -3997,7 +4002,7 @@ en retournant les différentes estimations de hauteur basées sur leurs
 début et fin d'extension.
 
 Viennent ensuite les autres arguments de la fonction initiale @code{f0}
--- autrement dit aucun si @var{n = 1}.
+-- autrement dit aucun si @var{n_=_1}.
 
 Les résultats de la deuxième fonction (@code{f1}) permettent une
 approximation des valeurs qui seront ensuite utilisées par la fonction
@@ -4034,11 +4039,11 @@ smartSquareLineCircleSpace = {
 @end lilypond
 
 La première mesure de l'exemple ci-dessus ne fait pas appel à un
-conteneur requalifiant@tie{}; le moteur d'espacement n'a donc aucune
+conteneur requalifiant ; le moteur d'espacement n'a donc aucune
 connaissance de la largeur des têtes de note et ne peut empêcher
 qu'elles chevauchent les altérations.  Dans la deuxième mesure, par
 contre, le recours à un conteneur requalifiant informe le moteur
-d'espacement de la largeur des têtes de note@tie{}; les collisions sont
+d'espacement de la largeur des têtes de note ; les collisions sont
 alors évitées du fait de l'espace réservé à chacune des têtes.
 
 Lorsqu'il s'agit de calculs simples, les fonctions, tant pour la partie
@@ -4073,7 +4078,8 @@ abordées au chapitre @rextend{Fonctions musicales}.
 @translationof Substitution function syntax
 
 La rédaction d'une fonction chargée de substituer du code LilyPond à une
-variable est chose relativement aisée.  Une telle fonction est de la forme
+variable est chose relativement aisée.  Une telle fonction est de la
+forme
 
 @example
 fonction =
@@ -4094,7 +4100,7 @@ où
 
 @item @code{@var{typeN?}}
 @tab un @emph{type de prédicat} Scheme pour lequel @code{@var{argN}}
-doit renvoyer @code{#t}.
+doit renvoyer @code{#t}.
 
 @item @code{@var{@dots{}musique@dots{}}}
 @tab du code LilyPond tout ce qu'il y a de plus ordinaire, avec des
@@ -4103,7 +4109,7 @@ doit renvoyer @code{#t}.
 fonction musicale) pour référencer les arguments (par ex. @samp{#arg1}).
 @end multitable
 
-Les arguments @code{parser} et @code{location} sont obligatoires@tie{};
+Les arguments @code{parser} et @code{location} sont obligatoires ;
 ils sont utilisés dans certaines situations évoluées, comme indiqué dans
 le manuel d'extension des fonctionnalités à au chapitre
 @rextend{Fonctions musicales}.  Assurez-vous bien de ne pas les omettre
@@ -4111,11 +4117,11 @@ dans vos fonctions de substitution.
 
 La liste des types de prédicat est elle aussi obligatoire.  Voici
 quelques uns des types de prédicat les plus utilisés dans les fonctions
-musicales@tie{}:
+musicales :
 
 @example
 boolean?
-cheap-list?  @emph{(au lieu de }@q{list?}@emph{, pour accélérer le traitement)}
+cheap-list?  @emph{(au lieu de }@qq{list?}@emph{, pour accélérer le traitement)}
 ly:duration?
 ly:music?
 ly:pitch?
@@ -4175,9 +4181,7 @@ padText =
 @end lilypond
 
 Nous pouvons utiliser autre chose que des nombres au sein d'une
-fonction, y compris une expression musicale@tie{}:
-
-@c TODO: use a better example (the music argument is redundant).
+fonction, y compris une expression musicale :
 
 @lilypond[quote,verbatim,ragged-right]
 custosNote =
@@ -4185,24 +4189,23 @@ custosNote =
      (parser location note)
      (ly:music?)
    #{
-     \once \override Voice.NoteHead #'stencil =
-       #ly:text-interface::print
-     \once \override Voice.NoteHead #'text =
-       \markup \musicglyph #"custodes.mensural.u0"
-     \once \override Voice.Stem #'stencil = ##f
+     \tweak NoteHead #'stencil #ly:text-interface::print
+     \tweak NoteHead #'text
+        \markup \musicglyph #"custodes.mensural.u0"
+     \tweak Stem #'stencil ##f
      $note
    #})
 
 \relative c' { c4 d e f \custosNote g }
 @end lilypond
 
-Une fonction de substitution peut traiter plusieurs argument@tie{}:
+Une fonction de substitution peut traiter plusieurs argument:
 
 @lilypond[quote,verbatim,ragged-right]
 tempoPadded =
 #(define-music-function
      (parser location padding tempotext)
-     (number? string?)
+     (number? markup?)
    #{
      \once \override Score.MetronomeMark #'padding = #padding
      \tempo \markup { \bold #tempotext }
@@ -4211,7 +4214,7 @@ tempoPadded =
 \relative c'' {
   \tempo \markup { "Low tempo" }
   c4 d e f g1
-  \tempoPadded #4.0 #"High tempo"
+  \tempoPadded #4.0 "High tempo"
   g4 f e d c1
 }
 @end lilypond
index eb743879b41b612612f1ae49fc350cc468075f41..78c74f70081ed847825cdf69d7350960e6c0fd70 100644 (file)
@@ -1,6 +1,6 @@
 @c -*- coding: utf-8; mode: texinfo; documentlanguage: fr -*-
 @ignore
-    Translation of GIT committish: eccc513d15d19b03ed8a9ae776c828fff4dbfbee
+    Translation of GIT committish: 2a87f1e1f98b76751482cae4474d41aa5e38e37b
 
     When revising a translation, copy the HEAD committish of the
     version that you are working on.  For details, see the Contributors'
@@ -64,10 +64,10 @@ d'utiliser des diagrammes d'accord au-dessus de la portée
 traditionnelle.  La guitare et le banjo sont des instruments
 transpositeurs, sonnant une octave au-dessous de ce qui est écrit.  Les
 partitions pour ces instruments utilisent donc la clé de sol ottava
-bassa @code{"treble_8"} -- ou une instruction @code{\transposition c}
+bassa @code{"treble_8"} -- ou une instruction @code{\transposition c}
 pour un rendu MIDI correct.  Vous pourrez trouver ailleurs dans la
 documentation d'autres éléments aussi utilisés par les instruments à
-cordes frettées@tie{}:
+cordes frettées :
 
 @itemize
 @item Les doigtés s'obtiennent comme indiqué au chapitre
@@ -122,10 +122,9 @@ c4\5 e\4 g2\3
 Quand les indications de doigté et de numéro de corde sont attachées à
 une même note, leur positionnement se fera en fonction de l'ordre dans
 lequel elles apparaissent dans le code et @strong{uniquement} si elles
-interviennent au sein d'une construction d'accord@tie{}: le
-positionnement des doigtés est géré différemment selon qu'ils
-s'appliquent à l'accord entier ou à des notes isolées indépendantes d'un
-accord.
+interviennent au sein d'une construction d'accord : le positionnement
+des doigtés est géré différemment selon qu'ils s'appliquent à l'accord
+entier ou à des notes isolées indépendantes d'un accord.
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=1]
 \clef "treble_8"
@@ -236,16 +235,20 @@ symbols = {
 @cindex frets
 
 @funindex minimumFret
+@funindex restrainOpenStrings
 
 Quand aucune corde n'est précisée, LilyPond choisit automatiquement la
 corde pour laquelle la position est la moins élevée, avec une préférence
 pour une corde à vide.  Vous pouvez préférer qu'une note donnée soit
-jouée sur une corde particulière, auquel cas il vous suffit de lui
-affecter directement son numéro.  L'absence d'indication des numéros de
+jouée sur une corde particulière, auquel cas l'affectation directe du
+numéro de corde suffit.  L'absence d'indication des numéros de
 corde en notation traditionnelle se gère au niveau des stencils.  Il est
 cependant plus facile de jouer sur la propriété @code{minimumFret}, dont
-la valeur par défaut est fixée à@tie{}0, ce qui correspond aux cordes à
-vide.
+la valeur par défaut est fixée à 0, ce qui correspond aux cordes à vide.
+
+Cependant, et en dépit d'une affectation de @code{minimumFret}, une
+corde à vide aura toujours préséance.  Ce comportement se modifie par
+l'activation de @code{restrainOpenStrings}.
 
 @lilypond[quote,ragged-right,verbatim]
 \layout { \override Voice.StringNumber #'stencil = ##f }
@@ -261,6 +264,7 @@ vide.
      c16 d e f g4
      c,16\5 d\5 e\4 f\4 g4\4
      \set TabStaff.minimumFret = #5
+     \set TabStaff.restrainOpenStrings = ##t
      c,16 d e f g4
    }
 >>
@@ -481,12 +485,12 @@ Référence des propriétés internes :
 @rinternals{Beam}.
 
 @knownissues
-Les accords ne subissent aucun traitement particulier@tie{}; de ce fait,
+Les accords ne subissent aucun traitement particulier ; de ce fait,
 la sélection automatique des cordes peut attribuer une même corde pour
 deux notes différentes de l'accord.
 
 Afin que @code{\partcombine} fonctionne avec des tablatures, on doit
-ajouter au contexte @code{TabStaff} des voix fantômes@tie{}:
+ajouter au contexte @code{TabStaff} des voix fantômes :
 
 @lilypond[quote,ragged-right,verbatim]
 melodia = \partcombine { e4 g g g }{ e4 e e e }
@@ -551,9 +555,9 @@ basse, il sonnera donc une octave en dessous de ce qui est écrit.
 >>
 @end lilypond
 
-L'accordage par défaut est @code{guitar-tuning}@tie{}; il correspond à
+L'accordage par défaut est @code{guitar-tuning}_; il correspond à
 l'accordage standard d'une guitare@tie{}: mi la ré sol si mi (EADGBE).
-D'autres accordages prédéfinis sont disponibles@tie{}:
+D'autres accordages prédéfinis sont disponibles :
 @code{guitar-open-g-tuning}, @code{mandolin-tuning} et
 @code{banjo-open-g-tuning}.  Les accordages prédéfinis sont répertoriés
 dans le fichier @file{ly/string-tunings-init.ly}.
@@ -565,7 +569,7 @@ dans le fichier @file{ly/string-tunings-init.ly}.
 
 LilyPond vous permet de créer n'importe quel accordage.  L'accordage du
 contexte en cours se détermine à l'aide de la fonction
-@code{\stringTuning}.  Celle-ci prend deux arguments@tie{}: une
+@code{\stringTuning}.  Celle-ci prend deux arguments : une
 représentation symbolique qui gardera l'accordage en mémoire, et une
 construction d'accord définissant la hauteur des différentes cordes.
 Les hauteurs fournies s'expriment impérativement en mode absolu -- voir
@@ -573,8 +577,8 @@ Les hauteurs fournies s'expriment impérativement en mode absolu -- voir
 élevé (généralement la note la plus basse) est mentionnée en premier.
 
 Nous pouvons ainsi définir par exemple l'accordage d'un instrument à
-quatre cordes accordées do sol ré la, et en anglais@tie{}:
-@code{a''}, @code{d''}, @code{g'}, et @code{c'}@tie{}:
+quatre cordes accordées do sol ré la, et en anglais :
+@code{a''}, @code{d''}, @code{g'}, et @code{c'} :
 
 @lilypond[quote,verbatim]
 mynotes = {
@@ -601,7 +605,7 @@ calculer automatiquement les diagrammes de frets.
 L'accordage fait partie de la clé permettant d'identifier les 
 diagrammes prédéfinis -- voir @ref{Tablatures prédéfinies}.
 
-Nous pourrions donc écrire l'exemple précédent ainsi@tie{}:
+Nous pourrions donc écrire l'exemple précédent ainsi :
 
 @lilypond[quote,verbatim]
 "custom-tuning" = \stringTuning <c' g' d'' a''>
@@ -709,7 +713,7 @@ On peut ajouter des diagrammes d'accord au-dessus de n'importe quelle
 note, en tant qu'objets @code{\markup}.  Ces objets contiennent toutes
 les informations du diagramme d'accord.  Il y a pour les définir trois
 interfaces @qq{diagramme d'accord} (@emph{fret-diagram} en
-anglais)@tie{}: @var{standard}, @var{terse} et @var{verbose}.
+anglais) : @var{standard}, @var{terse} et @var{verbose}.
 Ces trois interfaces produiront des diagrammes similaires mais
 permettent des niveaux de personnalisation différents.  Des détails à
 propos des interfaces de type @code{\markup}
@@ -742,7 +746,7 @@ Les cordes à vide et étouffées peuvent aussi être indiquées.
 @cindex indication du barré
 
 Les indications de barré peuvent aussi être ajoutées au diagramme
-d'accord dans l'interface standard@tie{}:
+d'accord dans l'interface standard :
 
 @lilypond[quote, verbatim]
 <<
@@ -862,7 +866,7 @@ l'interface standard.
 @funindex \fret-diagram-terse
 
 Dans l'interface @code{fret-diagram-terse}, les numéros de corde sont
-omis@tie{}; les numéros de corde sont induits par la présence de
+omis ; les numéros de corde sont induits par la présence de
 points-virgules.  Il y a un point-virgule pour chaque corde du
 diagramme.  Le premier point-virgule correspondant au plus haut numéro
 de corde, le dernier à la première corde.  Les cordes étouffées, les
@@ -983,10 +987,10 @@ dans le diagramme d'accord.
 
 Les indications de doigté et de barré peuvent être décrits dans
 l'interface @code{fret-diagram-verbose}.  Particularité propre à
-l'interface @code{fret-diagram-verbose}@tie{}: l'indication
-de capodastre dans le diagramme d'accord.  L'indication de capodastre
-est une petite ligne transversale aux cordes.  La case avec le
-capodastre est la case la plus basse du diagramme d'accord.
+l'interface @code{fret-diagram-verbose} : l'indication de capodastre
+dans le diagramme d'accord.  L'indication de capodastre est une petite
+ligne transversale aux cordes.  La case avec le capodastre est la case
+la plus basse du diagramme d'accord.
 
 @c \override is necessary to make fingering visible
 @lilypond[quote, verbatim]
@@ -1117,7 +1121,7 @@ Référence des propriétés internes :
 
 Les diagrammes d'accord peuvent être affichés en utilisant le contexte
 @code{FretBoards}.  Par défaut le contexte @code{FretBoards} affichera
-des diagrammes d'accord stockés dans une table de correspondance@tie{}:
+des diagrammes d'accord stockés dans une table de correspondance :
 
 @lilypond[verbatim, ragged-right, quote]
 \include "predefined-guitar-fretboards.ly"
@@ -1425,7 +1429,7 @@ Référence des propriétés internes :
 @cindex automatique, diagramme de fret
 @cindex automatique, diagramme d'accord
 
-Les diagrammes d'accord peuvent être créés automatiquement@tie{}; il
+Les diagrammes d'accord peuvent être créés automatiquement ; il
 suffit d'affecter les notes à un contexte @code{FretBoards}.  Si aucun
 diagramme prédéfini n'est disponible pour les notes entrées avec
 l'accordage actuel (@code{stringTunings}), les cordes et cases
@@ -1459,7 +1463,7 @@ Dans la mesure où aucun diagramme prédéfini n'est chargé par défaut, le
 calcul automatique des diagrammes d'accord est le comportement par
 défaut.  Dès que les diagrammes par défaut sont chargés, le calcul
 automatique peut être activé ou désactivé par des commandes
-prédéfinies@tie{}:
+prédéfinies :
 
 @lilypond[quote,ragged-right,verbatim]
 
@@ -1592,7 +1596,7 @@ l'instruction @code{\rightHandFinger} suivie d'un nombre.
 
 @warning{Lorsque vous utilisez l'instruction @code{@bs{}rightHandFinger}
 dans un accord, une espace @strong{doit} précéder la fermeture de la
-construction par un @code{>}.}
+construction par un @code{>}.}
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=0]
 \clef "treble_8"
@@ -1606,7 +1610,7 @@ c\rightHandFinger #4
 
 Pour plus de clarté, vous pouvez traduire ou abréger la commande
 @code{\rightHandFinger}, par exemple en @code{doigtMainDroite} ou
-même @code{MD}@tie{}:
+même @code{MD} :
 
 @example
 MD=#rightHandFinger
@@ -1657,7 +1661,7 @@ GuitarTex.
 @cindex barré, indication de la position
 @cindex cordes frettées, indication de la position et du barré
 
-Cet exemple montre comment indiquer les positions et les barrés@tie{}:
+Cet exemple montre comment indiquer les positions et les barrés :
 
 @lilypond[quote,ragged-right,verbatim,relative=0]
 \clef "treble_8"
@@ -1700,7 +1704,7 @@ détaillés grâce à des indications textuelles.
 @end lilypond
 
 Les notes étouffées, ou @notation{notes fantômes}, se rencontrent aussi
-bien sur une portée normale que dans une tablature@tie{}:
+bien sur une portée normale que dans une tablature :
 
 @lilypond[quote,ragged-right,verbatim]
 music = \relative c' {
@@ -1724,7 +1728,7 @@ music = \relative c' {
 @end lilypond
 
 Le @emph{palm mute}, appelé aussi parfois @emph{chop}, est une technique
-de jeu pour la guitare électrique@tie{}; elle est connue sous le nom de
+de jeu pour la guitare électrique ; elle est connue sous le nom de
 pizzicato par les joueurs de guitare classique.  Elle consiste à poser
 la main droite sur les cordes juste au-dessus du chevalet, de façon à
 étouffer plus ou moins légèrement les notes.  LilyPond permet d'indiquer
@@ -1769,7 +1773,7 @@ Morceaux choisis :
 
 Les @emph{power chords} -- terme anglais signifiant littéralement
 @qq{accords de puissance} -- s'indiquent aussi bien en mode accord que
-dans une construction en accord@tie{}:
+dans une construction en accord :
 
 @lilypond[quote,ragged-right,verbatim]
 ChordsAndSymbols = {
@@ -1802,7 +1806,7 @@ ChordsAndSymbols = {
 @end lilypond
 
 Le symbole de @emph{power chord} est désactivé dès lors que survient un
-accord traditionnel@tie{}:
+accord traditionnel :
 
 @lilypond[quote,ragged-right,verbatim]
 mixedChords = \chordmode {
@@ -1858,7 +1862,7 @@ Morceaux choisis :
 
 LilyPond permet d'écrire des tablatures de base pour le banjo à cinq
 cordes.  Pour ce faire, pensez à utiliser le format de tablature pour
-banjo, afin d'avoir le bon nombre de cordes et le bon accordage@tie{}:
+banjo, afin d'avoir le bon nombre de cordes et le bon accordage :
 
 @c due to crazy intervals of banjo music, absolute pitch is recommended
 
@@ -1891,7 +1895,7 @@ banjo@tie{}: @code{banjo-c-tuning} sol,do,sol,si,ré (gCGBD),
 @code{banjo-open-dm-tuning} la,ré,fa,la,ré (aDFAD).
 
 Ces accordages peuvent être convertis pour banjo à quatre cordes au
-moyen de la fonction @code{four-string-banjo}@tie{}:
+moyen de la fonction @code{four-string-banjo} :
 
 @example
 \set TabStaff.stringTunings = #(four-string-banjo banjo-c-tuning)
index dc212c92c906c69ab6959f224b865a60cec3bb88..7ebdb9c12283093e45cc3e3be58779576c36f345 100644 (file)
@@ -1,6 +1,6 @@
 @c -*- coding: utf-8; mode: texinfo; documentlanguage: fr -*-
 @ignore
-    Translation of GIT committish: c3cd1737b2a12a4f51b4090caf12429cb34290d1
+    Translation of GIT committish: 2a87f1e1f98b76751482cae4474d41aa5e38e37b
 
     When revising a translation, copy the HEAD committish of the
     version that you are working on.  For details, see the Contributors'
@@ -18,7 +18,7 @@
 
 @lilypondfile[quote]{rhythms-headword.ly}
 
-Cette section traite du rythme@tie{}: durées, silences, barres de
+Cette section traite du rythme : durées, silences, barres de
 ligature et de mesure.
 
 @menu
@@ -59,7 +59,7 @@ ligature et de mesure.
 @funindex maxima
 
 Dans les modes de notes, d'accords et de paroles, les durées sont
-écrites avec des chiffres et des points@tie{}: les durées sont indiquées
+écrites avec des chiffres et des points : les durées sont indiquées
 par leur valeur fractionnaire par rapport à la durée d'une ronde.  Une
 noire, par exemple, qui équivaut à un 1/4 de ronde -- @emph{quarter
 note} en anglais -- s'écrit @code{4}, alors qu'une blanche --
@@ -202,7 +202,7 @@ soupir à la maxime (valant huit pauses).
 @funindex \times
 @funindex times
 
-Les nolets -- triolets, quintolets, etc. -- sont obtenus en
+Les nolets -- triolets, quintolets etc. -- sont obtenus en
 multipliant toutes les durées d'une expression musicale par une
 fraction.
 
@@ -214,7 +214,7 @@ fraction.
 La durée de l'@code{@var{expression_musicale}} sera multipliée par la
 fraction.  Le dénominateur de cette fraction sera imprimé au-dessus ou
 au-dessous des notes, parfois avec un crochet.  Le nolet le plus courant
-est le triolet, dans lequel 3 notes ont la durée de 2, et où les notes
+est le triolet, dans lequel 3 notes ont la durée de 2, et où les notes
 durent donc 2/3 de leur valeur écrite.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
@@ -235,7 +235,7 @@ Des commandes prédéfinies permettent de déroger au positionnement
 automatique du crochet en surplomb ou au-dessous des notes -- voir le
 chapitre @ref{Direction et positionnement}.
 
-Les nolets peuvent être imbriqués@tie{}; par exemple,
+Les nolets peuvent être imbriqués ; par exemple,
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 \autoBeamOff
@@ -327,15 +327,15 @@ comme indiqué au chapitre @rlearning{Les voix contiennent la musique}.
 @cindex échelonnement des durées
 @cindex durées, échelonnement
 
-Vous pouvez altérer la durée des notes, silences ou accords en leur
-joignant une fraction @var{N/D}, donnant @qq{@code{*}@var{N/D}} -- ou
+La durée des notes, silences ou accords peu se modifier en leur
+adjoignant une fraction @var{N/D}, donnant @qq{@code{*}@var{N/D}} -- ou
 @qq{@code{*}@var{N}} si @var{D=1}.  Ceci ne modifiera en rien
 l'apparence des notes ou silences produits, mais affectera le
 positionnement de l'objet dans la mesure, ainsi que le rendu MIDI. Cette
 fraction peut elle-même être multipliée, ce qui donne quelque chose du
 style @code{*M*N/D}.  Ce facteur d'échelonnement est partie intégrante
-de la durée@tie{}: en l'absence de durée explicite à la note suivante,
-cette durée modifiée est considérée comme valeur par défaut.
+de la durée : en l'absence de durée explicite à la note suivante,
+cette durée échelonnée est considérée comme valeur par défaut.
 
 Dans l'exemple suivant, les trois premières notes prennent exactement
 deux temps, mais aucun triolet n'est imprimé.
@@ -366,10 +366,10 @@ tout simplement de sauter plusieurs mesures, comme par exemple un
 Il est tout à fait possible d'échelonner des fragments musicaux plus ou
 moins longs à l'aide d'une simple fraction, comme si chaque note, accord
 ou silence était affecté de ce même quotient.  L'apparence de cette
-musique ne sera en rien modifiée@tie{}; seule la durée des notes est
+musique ne sera en rien modifiée ; seule la durée des notes est
 multipliée en interne par la fraction
 @emph{numérateur}/@emph{dénominateur}.  Voici un exemple illustrant la
-manière de comprimer ou étirer de la musique@tie{}:
+manière de comprimer ou étirer de la musique :
 
 @lilypond[quote,relative=2,verbatim]
 \time 2/4
@@ -424,8 +424,7 @@ a2 ~ a
 Les liaisons de tenue sont utilisées soit lorsque la note dépasse de la
 mesure, soit quand les points ne suffisent pas à donner la bonne durée.
 Lorsque l'on utilise ces liaisons, les valeurs rythmiques les plus
-longues doivent s'aligner sur les subdivisions de la mesure, comme
-ici@tie{}:
+longues doivent s'aligner sur les subdivisions de la mesure, comme ici :
 
 @c KEEP LY
 @lilypond[verbatim,quote]
@@ -464,7 +463,7 @@ accords.
 @funindex repeatTie
 
 Lorsqu'une mesure @qq{de seconde fois} après une reprise commence sur
-une note liée, la liaison doit être répétée, comme ici@tie{}:
+une note liée, la liaison doit être répétée, comme ici :
 
 @lilypond[quote,relative=2,verbatim]
 \repeat volta 2 { c g <c e>2 ~ }
@@ -484,7 +483,7 @@ une note liée, la liaison doit être répétée, comme ici@tie{}:
 Les liaisons @qq{Laissez vibrer} (@notation{L.v.}) sont utilisées pour
 le piano, la harpe, et certains instruments de percussion.  Elles
 indiquent à l'instrumentiste de laisser sonner la note ou l'accord au
-lieu de l'étouffer.  Elles s'indiquent de la manière suivante@tie{}:
+lieu de l'étouffer.  Elles s'indiquent de la manière suivante :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1]
  <c f g>1\laissezVibrer
@@ -530,7 +529,7 @@ c2 ~ c
 c2 ~ c
 @end lilypond
 
-Il est même possible d'en personnaliser l'allure@tie{}:
+Il est même possible d'en personnaliser l'allure :
 
 @lilypond[quote, verbatim, relative=1]
 \tieDashPattern #0.3 #0.75
@@ -643,7 +642,7 @@ notes.
 
 Les silences sont écrits comme des notes avec le nom de note @code{r} --
 premier caractère du mot @emph{rest}.  Les durées supérieures à la pause
-s'indiquent à l'aide de commandes prédéfinies@tie{}:
+s'indiquent à l'aide de commandes prédéfinies :
 
 @c \time 16/1 is used to avoid spurious bar lines
 @c and long tracts of empty measures
@@ -725,7 +724,7 @@ soupir à la maxime (équivalant à huit pauses).
 
 Un silence invisible -- que l'on pourrait appeler un @qq{saut} --
 peut être entré comme une note avec le nom de note @code{s} ou avec
-@code{\skip@tie{}@var{durée}}@tie{}:
+@code{\skip @var{durée}} :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=2]
 c4 c s c
@@ -738,7 +737,7 @@ s2 c
 La syntaxe @code{s} est seulement disponible pour les modes d'entrée
 de notes et d'accords.  Dans les autres situations, pour l'entrée de
 paroles par exemple, vous devrez utiliser la commande @code{\skip}, qui
-requiert une durée explicite@tie{}; cette durée ne sera pas prise en
+requiert une durée explicite ; cette durée ne sera pas prise en
 considération dès lors que les paroles suivent le rythme des notes de la
 mélodie à laquelle vous les aurez associées à l'aide des commandes
 @code{\addlyrics} ou @code{\lyricsto}.
@@ -758,7 +757,7 @@ mélodie à laquelle vous les aurez associées à l'aide des commandes
 
 Gardez à l'esprit que @code{\skip} est une commande, et de ce fait
 n'affectera en rien la durée des notes qui suivent, contrairement à
-un@tie{}@code{s}.
+un @code{s}.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 <<
@@ -774,14 +773,13 @@ un@tie{}@code{s}.
 
 La commande de saut génère simplement une case musicale vide.  Le code
 de saut @code{s} crée tout de même les contextes @code{Staff} et
-@code{Voice} lorsque nécessaire, à l'instar des notes ou des
-silences@tie{}:
+@code{Voice} lorsque nécessaire, à l'instar des notes ou des silences :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 s1 s s
 @end lilypond
 
-Un @code{\skip} ne fait que sauter du temps musical@tie{}; il ne produit
+Un @code{\skip} ne fait que sauter du temps musical ; il ne produit
 rien du tout, pas même un symbole transparent.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
@@ -831,7 +829,7 @@ b2^"Tutti" b4 a4
 Ceci ne peut être utile que pour une mesure complètement vide.  Sa durée
 doit donc correspondre à la longueur de la mesure telle que définie par
 la métrique.  C'est la raison pour laquelle on utilisera aussi des
-points d'augmentation ou des fractions@tie{}:
+points d'augmentation ou des fractions :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 \compressFullBarRests
@@ -847,7 +845,7 @@ R4*5*4 |
 
 Un @code{R} qui s'étend sur une seule mesure s'imprime tantôt comme
 une pause, tantôt comme une brève -- ou @qq{bâton de pause} -- et
-sera centré sur la mesure quelle qu'en soit la métrique@tie{}:
+sera centré sur la mesure quelle qu'en soit la métrique :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 \time 4/4
@@ -868,7 +866,7 @@ R1*2 |
 
 Par défaut, un silence multimesures sera répété sur autant de mesures
 que nécessaire.  Il peut aussi n'être imprimé qu'une seule fois,
-surplombé du nombre de mesures vides -- ou @qq{à compter}@tie{}:
+surplombé du nombre de mesures vides -- ou @qq{à compter} :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 % Default behavior
@@ -900,7 +898,7 @@ R2.*2 |
 Vous pouvez aussi ajouter du texte à un silence multimesures en
 utilisant la syntaxe @w{@var{note}-@code{markup}} (cf.
 @ref{Mise en forme du texte}).  La variable @code{\fermataMarkup} quant
-à elle permet d'ajouter un point d'orgue@tie{}:
+à elle permet d'ajouter un point d'orgue :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 \compressFullBarRests
@@ -1028,9 +1026,9 @@ silences.
 @funindex \time
 @funindex time
 
-Le chiffre de mesure indique le mètre d'une pièce@tie{}: une alternance
+Le chiffre de mesure indique le mètre d'une pièce : une alternance
 régulière de temps forts et de temps faibles.  Il est indiqué par une
-fraction au début de la portée@tie{}:
+fraction au début de la portée :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 \time 2/4 c2
@@ -1064,7 +1062,7 @@ c c c c
 @funindex defaultTimeSignature
 
 Le symbole de métrique utilisé pour les mesures à 2/2 et 4/4 peut être
-changé pour un style numérique@tie{}:
+changé pour un style numérique :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 % Default style
@@ -1094,7 +1092,7 @@ En plus de déterminer la métrique qui sera imprimée, la commande
 @code{baseMoment}, @code{beatStructure} et @code{beamExceptions}.
 Les valeurs prédéterminées par défaut de ces différentes propriétés sont
 inscrites dans le fichier @file{scm/time-signature-settings.scm}.  Vous
-pouvez les modifier de la manière suivante@tie{}:
+pouvez les modifier de la manière suivante :
 
 @lilypond[quote,verbatim]
 \score {
@@ -1110,7 +1108,7 @@ pouvez les modifier de la manière suivante@tie{}:
 }
 @end lilypond
 
-@code{\overrideTimeSignatureSettings} prend quatre arguments@tie{}:
+@code{\overrideTimeSignatureSettings} prend quatre arguments :
 
 @enumerate
 
@@ -1170,7 +1168,7 @@ musical.
 @funindex \revertTimeSignatureSettings
 
 Vous pouvez revenir à tout moment aux réglages prédéterminés d'une
-métrique@tie{}:
+métrique :
 
 @lilypond[quote,verbatim]
 \score{
@@ -1193,7 +1191,7 @@ métrique@tie{}:
 Le fait de déplacer du contexte @code{Score} au contexte @code{Staff} à
 la fois le @code{Timing_translator} et le
 @code{Default_bar_line_engraver} permet d'obtenir des réglages
-particuliers pour les différentes portées d'un regroupement@tie{}:
+particuliers pour les différentes portées d'un regroupement :
 
 @lilypond[quote, verbatim]
 \score {
@@ -1268,7 +1266,7 @@ Références des propriétés internes :
 @funindex \tempo
 @funindex tempo
 
-Une indication métronomique s'insère tout simplement comme ceci@tie{}:
+Une indication métronomique s'insère tout simplement comme ceci :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=1]
 \tempo 4 = 120
@@ -1277,7 +1275,7 @@ e4. d8 c2
 @end lilypond
 
 Lorsque le réglage précis du métronome est laissé à l'appréciation de
-l'exécutant, vous pouvez cependant lui fournir une plage@tie{}:
+l'exécutant, vous pouvez cependant lui fournir une plage :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=1]
 \tempo 4 = 40 ~ 46
@@ -1285,7 +1283,7 @@ c4. e8 a4 g
 b,2 d4 r
 @end lilypond
 
-Vous pouvez préférer une indication textuelle@tie{}:
+Vous pouvez préférer une indication textuelle :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=2]
 \tempo "Allegretto"
@@ -1294,7 +1292,7 @@ b4. a16 b c4 r4
 @end lilypond
 
 Lorsque vous combinez des indications métronomiques sous forme textuelle
-et numérique, l'indication numérique sera placée entre parenthèses@tie{}:
+et numérique, l'indication numérique sera placée entre parenthèses :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=2]
 \tempo "Allegro" 4 = 160
@@ -1303,7 +1301,7 @@ d4 b g2
 @end lilypond
 
 En matière d'indication textuelle, vous pouvez utiliser n'importe quel
-objet de type @emph{markup}, comme ici@tie{}:
+objet de type @emph{markup}, comme ici :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=2]
 \tempo \markup { \italic Faster } 4 = 132
@@ -1311,7 +1309,7 @@ a8-. r8 b-. r gis-. r a-. r
 @end lilypond
 
 Mentionner une indication textuelle vide vous permet de mettre entre
-parenthèses l'indication numérique@tie{}:
+parenthèses l'indication numérique :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=2]
 \tempo "" 8 = 96
@@ -1374,7 +1372,7 @@ commande est
 
 @noindent
 où @var{durée} correspond à la valeur rythmique @strong{restante}
-dans la mesure et @strong{avant} la première mesure complète@tie{}:
+dans la mesure et @strong{avant} la première mesure complète :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1]
 \time 3/4
@@ -1383,7 +1381,7 @@ e8 | a4 c8 b c4 |
 @end lilypond
 
 La @var{durée} peut être de n'importe quelle longueur inférieure
-à la mesure complète@tie{}:
+à la mesure complète :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1]
 \time 3/4
@@ -1391,13 +1389,13 @@ La @var{durée} peut être de n'importe quelle longueur inférieure
 r4 e8 | a4 c8 b c4 |
 @end lilypond
 
-Cette commande @code{\partial @var{durée}} peut aussi s'écrire@tie{}:
+Cette commande @code{\partial @var{durée}} peut aussi s'écrire :
 
 @example
 \set Timing.measurePosition = -@var{durée}
 @end example
 
-De fait, @code{\partial 8*3} équivaut à@tie{}:
+De fait, @code{\partial 8*3} équivaut à :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1]
 \time 3/4
@@ -1407,8 +1405,8 @@ e8 | a4 c8 b c4 |
 
 La propriété @code{measurePosition} contient un nombre rationnel qui
 indique, à ce point précis, où l'on en est de la mesure.  Notez qu'il
-s'agit du résultat d'une soustraction@tie{}; @code{\partial 4}
-signifie, pour le programme@tie{}: @qq{Dans cette mesure, il reste juste
+s'agit du résultat d'une soustraction ; @code{\partial 4}
+signifie, pour le programme : @qq{Dans cette mesure, il reste juste
 une noire}.
 
 @seealso
@@ -1429,7 +1427,7 @@ Références des propriétés internes :
 @code{\partial} n'est destiné à être utilisé qu'en début de pièce.
 Si on l'utilise ailleurs qu'au début, des messages d'erreur peuvent
 s'afficher, voire des problèmes inopinés surgir.  Utilisez plutôt
-@code{\set@tie{}Timing.measurePosition} en pareil cas.
+@code{\set Timing.measurePosition} en pareil cas.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1]
 \time 6/8
@@ -1505,7 +1503,7 @@ cis4 d cis! d
 @end lilypond
 
 L'instruction @code{\cadenzaOn} désactive les ligatures
-automatiques@tie{}; elles seront réactivées après un @code{\cadenzaOff}.
+automatiques ; elles seront réactivées après un @code{\cadenzaOff}.
 Toutes les ligatures devront donc être indiquées de manière explicite
 tout au long de la cadence -- voir @ref{Barres de ligature manuelles}).
 
@@ -1556,7 +1554,7 @@ Morceaux choisis :
 Sauts de ligne ou de page ne peuvent intervenir qu'au niveau d'une barre
 de mesure.  Si votre musique non mesurée s'étend sur plus d'une ligne, il
 vous faudra insérer des barres de mesure @qq{invisibles} pour indiquer
-où des sauts de ligne peuvent prendre place@tie{}:
+où des sauts de ligne peuvent prendre place :
 
 @example
 \bar ""
@@ -1617,11 +1615,10 @@ fonction @code{\scaleDurations}.
 
 L'exemple suivant utilise parallèlement des mesures à 3/4, 9/8 et
 10/8.  Pour la deuxième portée les durées sont multipliées par 2/3
-de telle sorte que 2/3@tie{}*@tie{}9/8@tie{}=@tie{}3/4@tie{}; pour la
-troisième elles sont multipliées par 3/5, de telle sorte que
-3/5@tie{}*@tie{}10/8@tie{}=@tie{}3/4.  Les ligatures devront être
-explicites, la fonction d'échelonnement venant perturber les règles de
-ligature automatique.
+de telle sorte que 2/3 * 9/8 = 3/4 ; pour la troisième elles sont
+multipliées par 3/5, de telle sorte que 3/5 * 10/8 = 3/4.  Les ligatures
+devront être explicites, la fonction d'échelonnement venant perturber
+les règles de ligature automatique.
 
 @lilypond[quote,verbatim]
 \relative c' <<
@@ -1704,7 +1701,7 @@ parviendrez en déplaçant le @code{Timing_translator} et le
 @funindex \compoundMeter
 
 Une métrique composite se crée à l'aide de la fonction
-@code{\compoundMeter}, en suivant la syntaxe@tie{}:
+@code{\compoundMeter}, en suivant la syntaxe :
 
 @example
 \compoundMeter #'@code{(liste de listes)}
@@ -1780,10 +1777,10 @@ fausser l'espacement régulier entre les différentes portées.
 On peut convertir automatiquement les notes longues en notes liées.  Il
 suffit pour cela de remplacer le graveur @code{Note_heads_engraver}
 par le graveur @code{Completion_heads_engraver}.  Il en va de la même
-manière pour des silences@tie{}; le @code{Completion_rest_engraver}
-devra alors remplacer le @code{Rest_engraver}.  Dans l'exemple
-suivant, les notes ou silences qui dépassent de la mesure sont divisées
-et au besoin liées.
+manière pour des silences ; le @code{Completion_rest_engraver} devra
+alors remplacer le @code{Rest_engraver}.  Dans l'exemple suivant, les
+notes ou silences qui dépassent de la mesure sont divisées et au besoin
+liées.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=1]
 \new Voice \with {
@@ -1798,7 +1795,7 @@ et au besoin liées.
 
 Ces graveurs divisent toutes les notes et silences qui sortent de la
 mesure, et insèrent des liaisons de prolongation.  Dans la pratique,
-cette fonctionnalité permet de déboguer des partitions complexes@tie{}:
+cette fonctionnalité permet de déboguer des partitions complexes :
 si les mesures ne sont pas entièrement remplies, alors les liaisons de
 prolongation montrent exactement la durée des décalages de mesure.
 
@@ -1838,8 +1835,8 @@ divise pas les silences.
 @cindex rythmique d'une mélodie
 
 Au moyen d'une portée rythmique -- @emph{rhythmic staff} en anglais --
-on peut montrer seulement le rythme d'une mélodie@tie{}: toutes les
-notes sont ramenées à la même hauteur, sur une portée d'une seule ligne.
+on peut montrer seulement le rythme d'une mélodie : toutes les notes
+sont ramenées à la même hauteur, sur une portée d'une seule ligne.
 
 @lilypond[quote,relative=1,verbatim]
 <<
@@ -1872,7 +1869,7 @@ notes sont ramenées à la même hauteur, sur une portée d'une seule ligne.
 
 L'utilisation combinée du @code{Pitch_squash_engraver} et de
 @code{\improvisationOn} permet d'afficher la structure rythmique d'une
-grille d'accords@tie{}:
+grille d'accords :
 
 @lilypond[quote,verbatim]
 <<
@@ -1952,7 +1949,7 @@ explicitement les début et fin de la ligature.
 
 Lorsque les ligatures automatiques ne sont pas nécessaires, il suffit de
 désactiver la fonctionnalité par un @code{\autoBeamOff} -- réactivation
-par @code{\autoBeamOn}@tie{}:
+par @code{\autoBeamOn} :
 
 @lilypond[quote,relative=1,verbatim]
 c4 c8 c8. c16 c8. c16 c8
@@ -1970,11 +1967,11 @@ c16 c8
 désactivées, avec @code{\autoBeamOff}, et indiquées manuellement.@*
 L'utilisation conjointe de @code{@bs{}partcombine} et de
 @code{@bs{}autoBeamOff} peut produire des résultats quelque peu
-surprenants@tie{}; ceci fait l'objet d'un exemple particulier à la
+surprenants ; ceci fait l'objet d'un exemple particulier à la
 rubrique morceaux choisis.}
 
 Des règles de dérogation au comportement automatique par défaut sont
-possibles@tie{}; voir
+possibles ; voir
 @ref{Définition des règles de ligature automatique}.
 
 @predefined
@@ -2023,7 +2020,7 @@ Références des propriétés internes :
 
 @knownissues
 Les propriétés d'un ligature sont déterminées @strong{dès le début} de
-sa construction@tie{}; toute adaptation qui interviendrait avant sa
+sa construction ; toute adaptation qui interviendrait avant sa
 terminaison ne sera prise en compte qu'à l'occasion de la
 @strong{prochaine} ligature.
 
@@ -2091,7 +2088,7 @@ supérieur s'appliqueront.
 
 Lorsque plusieurs voix cohabitent sur une même portée et que les règles
 de ligature doivent s'appliquer sans distinction, il faut spécifier que
-ces règles affectent le contexte @code{Staff}@tie{}:
+ces règles affectent le contexte @code{Staff} :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 \time 7/8
@@ -2128,9 +2125,9 @@ La pulsation -- @emph{baseMoment} en anglais -- découle directement de
 la métrique telle que définie par la commande @code{\time}.  Elle est
 par défaut égale à un sur le dénominateur de la métrique.  Les
 exceptions à cette règle par défaut sont répertoriées dans le fichier
-@file{scm/time-signature-settings.scm}.  Pour savoir comment
-jouer avec la valeur de @code{baseMoment} selon la métrique, reportez
-vous au chapitre @ref{Métrique}.
+@file{scm/time-signature-settings.scm}.  Pour savoir comment jouer avec
+la valeur de @code{baseMoment} selon la métrique, reportez vous au
+chapitre @ref{Métrique}.
 
 Les règles de ligature et de subdivision spécifiques sont enregistrées
 dans la propriété @code{beamExceptions}.  Ses valeurs par défaut,
@@ -2171,7 +2168,7 @@ de base et sa règle de regroupement.
 @end example
 
 @var{durée-type} est constitué d'une paire indiquant la durée de base --
-par exemple @code{(1@tie{}.@tie{}16)} pour une double croche.
+par exemple @code{(1 . 16)} pour une double croche.
 
 @var{groupement} est constitué d'une liste Scheme qui indique le
 regroupement à effectuer, en unité de type de ligature.
@@ -2206,7 +2203,7 @@ manières de déroger à ce comportement sont abordées au chapitre
 
 De nombreuses règles de ligature automatique comportent une clé
 @code{beamExceptions}.  Par exemple, s'il n'y a que des croches dans une
-mesure à 4/4, celles-ci seront réparties en deux groupes.  Le fait de ne
+mesure à 4/4, celles-ci seront réparties en deux groupes.  Le fait de ne
 pas réinitialiser @code{beamExceptions} lors d'un aménagement de la
 pulsation -- l'élément @code{beatStructure} -- empêchera l'application
 de cette dérogation.
@@ -2240,7 +2237,7 @@ comportement se contrôle à l'aide de la propriété de contexte
 Certaines partitions de la période romantique ou classique font
 apparaître des ligatures sur la moitié de la mesure, ce qui va à
 l'encontre de la règle établie -- comme le fait remarquer Gould à la
-page@tie{}153 de son ouvrage.  La reproduction d'un tel comportement se
+page 153 de son ouvrage.  La reproduction d'un tel comportement se
 contrôle à l'aide de la propriété de contexte @code{beamHalfMeasure}.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
@@ -2259,22 +2256,22 @@ directement liée aux propriétés @code{baseMoment}, @code{beatStructure}
 et @code{beamExceptions}.
 
 Les règles déterminant le positionnement des ligatures automatiques
-s'appliquent dans l'ordre suivant de priorité@tie{}:
+s'appliquent dans l'ordre suivant de priorité :
 
 @itemize
 @item
 Une ligature explicite -- indiquée par @code{[@dots{}]} -- sera toujours
-respectée@tie{}; sinon
+respectée ; sinon
 
 @item
 si une règle explicite de terminaison a été définie grâce à la propriété
 @code{beamExceptions} pour un type de ligature spécifique dans la
-métrique en cours, c'est elle qui s'appliquera@tie{}; sinon
+métrique en cours, c'est elle qui s'appliquera ; sinon
 
 @item
 si une règle explicite de terminaison a été définie grâce à la propriété
 @code{beamExceptions} pour un type de ligature plus large, c'est elle
-qui s'appliquera@tie{}; sinon
+qui s'appliquera ; sinon
 
 @item
 utilisation des valeurs de @code{baseMoment} et @code{beatStructure}
@@ -2332,7 +2329,7 @@ Référence des propriétés internes :
 Si une partition se termine alors qu'une ligature automatique est restée
 inachevée, cette dernière ligature ne sera pas imprimée du tout.  C'est
 également valable dans le cas d'une musique polyphonique saisie avec la
-syntaxe @w{@code{<< @dots{} \\ @dots{} >>}}, où une voix se terminerait
+syntaxe @w{@code{<< @dots{} \\ @dots{} >>}}, où une voix se terminerait
 sans que la dernière ligature ne soit achevée.  Le plus simple, en
 pareil cas, est de spécifier manuellement les dernières ligatures.
 
@@ -2398,7 +2395,7 @@ supplanter l'algorithme de groupement automatique des notes, par
 exemple pour prolonger une ligature par-dessus un silence ou une barre
 de mesure, ou bien pour suivre le rythme des paroles plutôt que celui
 des notes.  Le début et la fin de la ligature sont alors indiqués
-respectivement par @code{[} et @code{]}.
+respectivement par @code{[} et @code{]}.
 
 @lilypond[quote,relative=1,verbatim]
 r4 r8[ g' a r] r8 g[ | a] r
@@ -2408,7 +2405,7 @@ r4 r8[ g' a r] r8 g[ | a] r
 @cindex ligature manuelle et notes d'ornement
 
 Le positionnement des ligature manuelles se détermine comme pour toute
-indication attachée à une note@tie{}:
+indication attachée à une note :
 
 @lilypond[quote,relative=2,verbatim]
 c8^[ d e] c,_[ d e f g]
@@ -2418,7 +2415,7 @@ c8^[ d e] c,_[ d e f g]
 @funindex noBeam
 
 Le fait d'affubler une note particulière d'un @code{\noBeam} aura pour
-effet de l'empêcher d'être ligaturée@tie{}:
+effet de l'empêcher d'être ligaturée :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 \time 2/4
@@ -2447,7 +2444,7 @@ toujours optimal.  Les propriétés @code{stemLeftBeamCount} et
 Lorsque l'une ou l'autre de ces propriétés est définie, elle ne
 s'applique qu'une seule fois, après quoi sa définition est effacée.
 Dans l'exemple qui suit, le dernier @code{fa} n'a de ligature
-supplémentaire que sur sa gauche@tie{}; autrement dit, c'est la ligature
+supplémentaire que sur sa gauche ; autrement dit, c'est la ligature
 à la croche qui est importante.
 
 @lilypond[quote,relative=2,verbatim]
@@ -2498,7 +2495,7 @@ Référence des propriétés internes :
 Les ligatures en soufflet permettent d'indiquer qu'un petit groupe de
 notes se joue en accélérant ou en ralentissant sans pour autant
 modifier le tempo du morceau.  L'étendue du soufflet s'indique par
-@code{[} et @code{]}, et son orientation est déterminée par la propriété
+@code{[} et @code{]}, et son orientation est déterminée par la propriété
 @code{grow-direction} de l'objet @code{Beam}.
 
 Lorsque la sortie MIDI doit refléter les @emph{ritardando} ou
@@ -2579,14 +2576,14 @@ en respectant la métrique en vigueur.
 
 Il est possible de forcer l'impression d'une barre de mesure spéciale,
 avec la commande @code{\bar} -- c'est d'ailleurs l'habitude en fin de
-morceau, où l'on voit une double barre@tie{}:
+morceau, où l'on voit une double barre :
 
 @lilypond[quote,relative=1,verbatim]
 e4 d c2 \bar "|."
 @end lilypond
 
 Rien ne s'oppose à ce que la dernière note d'une mesure ne s'arrête
-avant la barre de mesure@tie{}; on considère simplement qu'elle se
+avant la barre de mesure ; on considère simplement qu'elle se
 prolonge sur la mesure suivante.  Des débordements à répétition
 finissent par générer une musique comprimée ou qui sort de la page, pour
 la simple et bonne raison que les sauts de ligne automatiques ne peuvent
@@ -2601,7 +2598,7 @@ conduit à une musique compressée, voire à un débordement de la page.}
 @cindex invisible, barre de mesure
 
 Il est possible d'autoriser un saut de ligne même s'il n'y a pas
-de barre de mesure visible, en utilisant@tie{}:
+de barre de mesure visible, en utilisant :
 
 @example
 \bar ""
@@ -2629,7 +2626,7 @@ Lorsqu'une barre manuelle est insérée à l'endroit où viendrait se placer
 une barre normale, seul l'effet visuel en sera modifié.
 
 Vous disposez de deux types de barres simples et de cinq différentes
-doubles barres@tie{}:
+doubles barres :
 
 @lilypond[quote,relative=1,verbatim]
 f1 \bar "|"
@@ -2643,7 +2640,7 @@ e1
 @end lilypond
 
 @noindent
-ainsi que d'une barre en pointillé et d'une discontinue@tie{}:
+ainsi que d'une barre en pointillé et d'une discontinue :
 
 @lilypond[quote,relative=1,verbatim]
 f1 \bar ":"
@@ -2652,7 +2649,7 @@ a1
 @end lilypond
 
 @noindent
-et de cinq types de barre de reprise@tie{}:
+et de cinq types de barre de reprise :
 
 @lilypond[quote,relative=1,verbatim]
 f1 \bar "|:"
@@ -2663,23 +2660,21 @@ c1 \bar ":|"
 e1
 @end lilypond
 
-De plus, une barre de mesure peut s'imprimer sous la forme d'une
-coche@tie{}:
+De plus, une barre de mesure peut s'imprimer sous la forme d'une coche :
 
 @lilypond[quote,relative=1,verbatim]
 f1 \bar "'"
 @end lilypond
 
-On rencontre habituellement ces signes dans le chant grégorien@tie{};
-nous vous invitons dans ce cadre particulier à plutôt utiliser
+On rencontre habituellement ces signes dans le chant grégorien ; nous
+vous invitons dans ce cadre particulier à plutôt utiliser
 @code{\divisioMinima}, comme indiqué au paragraphe @ref{Divisions} du
 chapitre consacré au grégorien.
 
 @cindex segno
 
 L'insertion d'un @emph{segno} directement sur la portée s'obtient à
-l'aide de trois types de barre de mesure, comme indiqué
-ci-dessous@tie{}:
+l'aide de trois types de barre de mesure, comme indiqué ci-dessous :
 
 @lilypond[quote,relative=2,verbatim]
 c4 c c c
@@ -2707,7 +2702,7 @@ différentes commandes de reprise (voir @ref{Répétitions et reprises})
 qui se chargeront d'imprimer le type de barre approprié.
 
 Dans les faits, un @code{"||:"} équivaut à un @code{"|:"} sauf s'il
-intervient à un saut de ligne@tie{}: une double barre sera alors
+intervient à un saut de ligne : une double barre sera alors
 imprimée en fin de portée, et la barre de reprise au début de la
 nouvelle.
 
@@ -2720,7 +2715,7 @@ c4 c c c
 @end lilypond
 
 LilyPond dispose de six différents moyens de combiner une barre de
-reprise avec un signe @emph{segno}@tie{}:
+reprise avec un signe @emph{segno} :
 
 @lilypond[quote,relative=2,verbatim]
 c4 c c c
@@ -2782,13 +2777,12 @@ les portées d'un @code{StaffGroup}, d'un @code{PianoStaff} ou d'un
 @funindex bartype
 
 La commande @samp{\bar @var{type_de_barre}} sert de raccourci pour
-@samp{\set Timing.whichBar = @var{type_de_barre}}.  Dès
-que l'on définit @code{whichBar}, une barre de mesure est créée selon le
-style défini.
+@samp{\set Timing.whichBar = @var{type_de_barre}}.  Dès que l'on définit
+@code{whichBar}, une barre de mesure est créée selon le style défini.
 
 Le type de barre de mesure par défaut utilisé pour l'insertion
-automatique est @code{"|"}.  Vous pouvez en changer à tout moment grâce
-à @samp{\set Timing.defaultBarType = @var{type_de_barre}}.
+automatique est @code{"|"}.  Vous pouvez en changer à tout moment grâce
+à @samp{\set Timing.defaultBarType = @var{type_de_barre}}.
 
 @seealso
 Manuel de notation :
@@ -2817,7 +2811,7 @@ Référence des propriétés internes :
 Les numéros de mesure sont imprimés par défaut à chaque début de
 ligne, sauf la première.  Ce nombre est stocké par la propriété
 @code{currentBarNumber} qui sera mise à jour à chaque mesure.  Vous
-pouvez aussi le définir de manière arbitraire@tie{}:
+pouvez aussi le définir de manière arbitraire :
 
 @lilypond[verbatim,quote,fragment,relative=1]
 c1 c c c
@@ -2838,10 +2832,10 @@ temps annuler le comportement par défaut afin que les numéros puissent
 la propriété @code{break-visibility} du @code{BarNumber}.  Elle se
 compose de trois commutateurs -- définis à @qq{vrai} (@code{#t}) ou
 @qq{faux} (@code{#f}) -- pour spécifier si le numéro de mesure est
-visible ou non.  Les valeurs sont rangées dans l'ordre suivant@tie{}:
+visible ou non.  Les valeurs sont rangées dans l'ordre suivant :
 @code{visible en fin de ligne}, @code{visible en cours de ligne},
 @code{visible en début de ligne}.  Voici comment imprimer partout les
-numéros de mesure@tie{}:
+numéros de mesure :
 
 @lilypond[verbatim,quote,relative=1]
 \override Score.BarNumber #'break-visibility = #'#(#t #t #t)
@@ -2911,7 +2905,7 @@ positionnement.
 
 Les tests de limite de mesure (ou tests de mesure) aident à détecter
 les erreurs dans les durées.  Un test de mesure s'écrit avec une barre
-verticale, @code{|}.  Lors du traitement, elle doit correspondre à une
+verticale, @code{|}.  Lors du traitement, elle doit correspondre à une
 barre de mesure.  Sinon, un avertissement est émis qui indique le numéro
 de ligne où est détectée l'erreur.  Dans l'exemple suivant, le deuxième
 test de mesure signale une erreur.
@@ -2921,7 +2915,7 @@ test de mesure signale une erreur.
 @end example
 
 Le test de mesure peut être aussi utilisé dans les paroles, par
-exemple@tie{}:
+exemple :
 
 @example
 \lyricmode @{
@@ -2945,7 +2939,7 @@ L'origine du problème est de fait plus évidente.
 
 Il est aussi possible d'attribuer une autre valeur au symbole
 @code{|}, en assignant une expression musicale à @code{pipeSymbol}.
-Dans l'exemple suivant, le @code{|} servira à insérer une double barre
+Dans l'exemple suivant, le @code{|} servira à insérer une double barre
 là où il apparaît, au lieu de simplement vérifier que la fin de la
 mesure est atteinte.
 
@@ -2972,7 +2966,7 @@ l'on recopie.  Cela se fait avec @code{\barNumberCheck}.  Par exemple,
 
 @noindent
 affiche un avertissement lors du traitement si le numéro de mesure à ce
-point (variable @code{currentBarNumber}) n'est pas@tie{}123.
+point (variable @code{currentBarNumber}) n'est pas 123.
 
 @seealso
 Morceaux choisis :
@@ -2999,7 +2993,7 @@ c1 \mark \default
 
 @noindent
 Lorsque vous utilisez @code{\mark \default}, le repère s'incrémente
-automatiquement@tie{}; toutefois donner un nombre en argument permet de
+automatiquement ; toutefois donner un nombre en argument permet de
 spécifier manuellement le repère en question.  La valeur à utiliser
 est enregistrée dans la propriété @code{rehearsalMark}.
 
@@ -3012,10 +3006,10 @@ c1 \mark \default
 @end lilypond
 
 @noindent
-La lettre@tie{}@strong{I} n'est pas utilisée, conformément aux usages de
-la gravure.  Cependant, vous pourrez intégrer la lettre @strong{I} en
+La lettre @strong{I} n'est pas utilisée, conformément aux usages de
+la gravure.  Cependant, vous pourrez intégrer la lettre @strong{I} en
 utilisant l'une des commandes suivantes selon que ce repère doive être
-simple, inclus dans un rectangle ou dans un cercle@tie{}:
+simple, inclus dans un rectangle ou dans un cercle :
 
 @example
 \set Score.markFormatter = #format-mark-alphabet
@@ -3066,10 +3060,10 @@ définitions de @code{format-mark-numbers} (comportement par défaut),
 d'autres fonctions de formatage.
 
 @code{format-mark-barnumbers}, @code{format-mark-box-barnumbers} et
-@code{format-mark-circle-barnumbers}  permettent d'imprimer le numéro
+@code{format-mark-circle-barnumbers} permettent d'imprimer le numéro
 de mesure au lieu des compteurs alphabétique ou numérique.
 
-On peut aussi spécifier manuellement une marque de repère@tie{}:
+On peut aussi spécifier manuellement une marque de repère :
 
 @example
 \mark "A1"
@@ -3205,8 +3199,8 @@ pour chaque petite croche.
 
 La commande @code{\afterGrace} sert à placer une petite note après une
 note réelle -- et non @emph{avant} comme d'ordinaire.  Cette commande
-requiert deux arguments@tie{}: la note réelle, et la ou les petites
-notes qui s'y rattachent.
+requiert deux arguments : la note réelle, et la ou les petites notes qui
+s'y rattachent.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 c1 \afterGrace d1 { c16[ d] } c1
@@ -3236,7 +3230,7 @@ moitié de la durée de base.
 
 Des silences invisibles permettent d'ajuster l'espace entre les petites
 notes et la note réelle.  Nous pourrions positionner ces petites notes à
-sept huitièmes de la durée de la note de base@tie{}:
+sept huitièmes de la durée de la note de base :
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
 \new Voice {
@@ -3256,7 +3250,7 @@ Les expressions @code{\grace} obéissent à des règles typographiques
 particulières, notamment en matière d'orientation et de taille des
 objets.  De ce fait, toute subtilité de mise en forme devra être
 indiquée @strong{à l'intérieur} de l'expression introduite par
-@code{\grace}@tie{}; ces réglages additionnels doivent également être
+@code{\grace} ; ces réglages additionnels doivent également être
 désactivés dans cette même expression.
 
 @lilypond[quote,verbatim,relative=2]
@@ -3317,7 +3311,7 @@ apparaîtra comme une @emph{appoggiatura}, c'est-à-dire sans trait.
 La synchronisation des petites notes se fait de façon parfois
 surprenante, car les autres objets de la portée -- barre de mesure,
 armure, etc. -- sont eux aussi synchrones.  Pensez-y lorsque vous
-mêlez des portées comprenant des petites notes et d'autres sans@tie{}:
+mêlez des portées comprenant des petites notes et d'autres sans :
 
 @lilypond[quote,relative=2,verbatim]
 <<
@@ -3329,7 +3323,7 @@ mêlez des portées comprenant des petites notes et d'autres sans@tie{}:
 @noindent
 Il est possible de remédier à cela en insérant, sur les autres portées,
 des silences invisibles dans une expression précédée de @code{\grace} et
-correspondant à la durée des petites notes@tie{}:
+correspondant à la durée des petites notes :
 
 @lilypond[quote,relative=2,verbatim]
 <<
@@ -3367,7 +3361,7 @@ accMusic = {
 @end lilypond
 
 Seules des expressions musicales séquentielles peuvent être utilisées
-pour des petites notes@tie{}; il n'est pas possible d'imbriquer ni de
+pour des petites notes ; il n'est pas possible d'imbriquer ni de
 juxtaposer des sections de petites notes, faute de quoi le traitement du
 code peut échouer ou produire des erreurs.
 
@@ -3476,14 +3470,14 @@ chapitre @ref{Numéros de mesure}.
 
 @item measureLength
 La longueur de la mesure, dans la métrique en cours.  Pour une mesure
-à 4/4, elle est de@tie{}1, et de 3/4 pour une mesure à 6/8.  Sa valeur
+à 4/4, elle est de 1, et de 3/4 pour une mesure à 6/8.  Sa valeur
 détermine où peut s'insérer une barre et comment seront générées les
 ligatures automatiques.
 
 @item measurePosition
 Le moment où l'on en est dans la mesure en cours.  Cette quantité est
-remise à@tie{}0 dès lors qu'on dépasse @code{measureLength}@tie{}; la
-variable @code{currentBarNumber} est alors incrémentée.
+remise à 0 dès lors qu'on dépasse @code{measureLength} ; la variable
+@code{currentBarNumber} est alors incrémentée.
 
 @item timing
 Lorsqu'on lui assigne la valeur @emph{vrai}, les valeurs ci-dessus
@@ -3494,10 +3488,10 @@ graveur restera indéfiniment dans la mesure en cours.
 
 Le calage peut être modifié en réglant explicitement l'une de ces
 variables.  Dans l'exemple qui suit, nous réglons la métrique à 4/4,
-tout en fixant @code{measureLength} à 5/4.  Arrivé à 4/8 dans la
-troisième mesure, nous avançons de 1/8, en assignant 5/8 à
+tout en fixant @code{measureLength} à 5/4.  Arrivé à 4/8 dans la
+troisième mesure, nous avançons de 1/8, en assignant 5/8 à
 @code{measurePosition}, raccourcissant donc cette mesure d'une croche.
-La barre de mesure suivante tombera donc à 9/8 et non à 5/8.
+La barre de mesure suivante tombera donc à 9/8 et non à 5/8.
 
 @lilypond[quote,verbatim]
 \new Voice \relative c' {
@@ -3513,10 +3507,9 @@ La barre de mesure suivante tombera donc à 9/8 et non à 5/8.
 
 @noindent
 Comme le montre cet exemple, @code{ly:make-moment n d} construit une
-durée de n/d fois une ronde.
-Par conséquent, @code{ly:make-moment@tie{}1@tie{}8} correspond à une
-croche, et @code{ly:make-moment@tie{}7@tie{}16} à la durée de sept
-doubles croches.
+durée de n/d fois une ronde. Par conséquent, @code{ly:make-moment 1 8}
+correspond à une croche, et @code{ly:make-moment 7 16} à la durée de
+sept doubles croches.
 
 @seealso
 Manuel de notation :